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De notre correspondant à Talence (34), Patrick DUPART

Les trois vaccins obligatoires en France, du vent
- 11 juin 2012


Le Ministère de la santé contacté par mes soins, fait l'autruche devant mon sujet.


L’obligation vaccinale n’a pas de justification

Nous avons trop tendance, submergés que nous sommes par l’évolution des techniques, à oublier que les droits de l’homme sur son propre corps se trouvent placés, dans notre civilisation, au sommet de la hiérarchie des valeurs. La responsabilité de l’individu face à sa santé ou à la maladie, les choix qu’il doit faire dans la conduite de sa vie relèvent de lui-même et non de l’Etat.

Le vieux principe fondamental du droit civil : "Noli me tangere" (ne me touchez pas) est foulé au pied dès lors qu’une vaccination devient obligatoire, car elle constitue une atteinte caractérisée à la liberté physique la plus élémentaire. Bien plus, le principe même de la méthode vaccinale, déclencher une maladie bénigne pour préserver d’une maladie infectieuse aiguë, est en contradiction formelle avec "le droit de tout individu de protéger sa propre santé par les moyens qui lui semblent les mieux appropriés" [1].

En outre, le fait de ne pas se faire vacciner n’implique pas un danger pour le reste de la société. Par conséquent ce fait doit prévaloir et doit garantir la sauvegarde de la liberté individuelle face à la vaccination.

Dirigisme médical et impérialisme sanitaire

Lorsque les défenseurs de l’obligation vaccinale se réfèrent au "droit à la santé" tel que défini par l’OMS Organisation mondiale de la santé, ils font un glissement de sens en donnant à cette expression valeur d’obligation, conférant à l’Etat le pouvoir d’imposer aux citoyens des contraintes abusives sous le prétexte de préserver la santé publique. Les vaccinations, comme mesures sociales d’importance collective, illustrent ce qui progressivement s’est mis en place, à savoir, un "dirigisme médical" et un "impérialisme sanitaire". En officialisant une seule médecine, largement influencée par les intérêts économiques de l’industrie pharmaceutique, et en donnant aux vaccinations valeur de dogme imposé par la loi, l’Etat commet une faute et déroge à ses devoirs.

"Ce qui faisait le prix de la médecine, c’était le lien qui s’établissait d’homme à homme entre le patient et le médecin : la rencontre d’une conscience et d’une confiance. Dès que la médecine se voulut préventive, s’écartant ainsi de l’art de soigner et de guérir, elle perdit son essence. Ne s’adressant plus à des malades mais à des bien portants, c’est-à-dire à des sujets n’attendant rien d’elle ni soins ni secours, elle crut devoir imposer et s’imposer alors même qu’on ne l’appelait pas. Elle perdit ainsi son caractère "ému" ; elle devint froide et impersonnelle, puis théorique et technique. Elle était mûre pour tomber aux mains des affairistes, économistes et technocrates de tous poils" souligne Fernand Delarue (op. cité).

Pour une clause de conscience

La véritable raison pour laquelle on persécute les "récalcitrants" (ou les "hérétiques"), ce n’est pas qu’ils constituent un danger pour les vaccinés (les milieux compétents savent bien que c’est là une absurdité, même si c’est l’argument constamment avancé), c’est qu’ils sont de mauvais consommateurs, des citoyens rebelles, des résistants réfractaires à la discipline de troupeau prônant une liberté qui ne sied pas aux moutons bêlants embrigadés !

Aurait-on besoin de tout cet arsenal, de toute cette propagande, de cette énorme machine à conformer, de tous ces sbires formés pour faire obéir les populations, de la mise en place de toute une coûteuse logistique si les vaccinations étaient aussi excellentes qu’on le dit ? Si tel était le cas, elles s’imposeraient d’elles-mêmes sans aucune contrainte. L’obligation est bien la preuve que les vaccinations sont contestables.

Seule la liberté vaccinale, c’est-à-dire l’abolition des lois d’obligation assortie d’une clause de conscience donnant le droit de refuser toute vaccination en toute circonstance, pourra mettre un terme à la coercition : les parents cesseront d’être persécutés, l’administration n’aura plus à les contraindre à subir un acte qu’ils réprouvent, les médecins retrouveront leur souveraineté pour recommander les mesures préventives qu’ils jugent les mieux appropriées aux patients venus les consulter. Et la santé publique ne s’en portera que mieux.

1 – Franck Moderne, agrégé des Facultés de Droit, in "Droit Administratif ", 20 avril 1965.



Patrick DUPART


 
 
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