Offre n° 2

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De notre correspondant à Marignane (13), Serge Llop


Médicalement parlant - 14 août 2012

Les étudiants en médecine font de longues études difficile avec ou sans le soutien financier des parents mais que de joie et de responsabilités une fois le diplôme en mains ; Seul dans son cabinet les seuls repères sont les livres de références ou les médicaments bien alignés indiquant la posologie et les contre-indications qui vous conduisent à plus ou moins long therme vers une autre maladie voire peut-être une opération plus ou moins grave, et, l'on se demande pourquoi les élus très bien rémunérés ne font rien pour inciter les laboratoires à fabriquer des médicaments sans contre-indication, la sécurité sociale s'en porterait mieux.

Les médecins dans leur ensemble aiment leur métier et font tout leur possible afin de soulager au maximum et guérir si possible les patients (clients) qui leurs font confiance.

Les médecins sont formés par les fabricants lors de congrès où sont présentées les nouveautés à vendre et certainement peu efficaces mais plus chères par rapport au précédent.

Les génériques quant à eux et pour en avoir pris sont inefficaces pour certains donc double dépense, (où est donc l'économie prôner par la sécu).

Il a fallu une Jeanne d'Arc de la médecine madame Irène Frachon qui a mis un grand coup de pied dans la léthargie de l'ANSM afin qu'elle prenne conscience du danger du Médiator, danger que d'autres pays avaient banni en interdisant la vente ; malheureusement en France certainement il y a eu des dessous de table, le médicament est une bonne manne financière il faut savoir que prescrit normalement il est bénéficiaire au bout de un an.

Il est à peu près certain que dans l'ensemble d'autres médecins étaient soupçonneux sur le Médiator et que par peur de perdre de la clientèle ils ont préféré se taire et faire l'autruche.

Monsieur le député Maxime GREMEZT disait sur Public Sénat avec raison que les responsables du Médiator devraient être jugés au titre de crime contre l'humanité.

Une légion d'Honneur bien méritée devrait être épinglée sur la poitrine de Hélène FRACHON, médecin pneumologue au CHU de Brest.


Serge Llop