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ARCHIVES 2005 DE L'ERYTHREE


 
Jeudi 15 septembre 2005 : Le Conseil de Sécurité de l'ONU a adopté mardi 13 septembre 2005 la résolution 1622 (2005) qui proroge le mandat de la Mission des Nations Unies en Ethiopie et en Erythrée (MINUEE) jusqu'au 15 mars 2006 et approuvé la reconfiguration de sa composition militaire qui prévoit 10 observateurs militaires supplémentaires. Il a également demandé à l'Ethiopie d'accepter pleinement la décision de la Commission du tracé de la frontière et de permettre, sans condition préalable, à la Commission de procéder intégralement et rapidement à l'abornement de la frontière.

Jeudi 6 octobre 2005 :
Mihnea Ioan Motoc, représentant de la Roumanie, qui assure la présidence tournante du Conseil de Sécurité de l'ONU pour le mois d'octobre 2005, a indiqué que le Conseil de sécurité s'est déclaré "gravement préoccupé par la décision prise par le gouvernement érythréen de soumettre à des restrictions les vols d'hélicoptère, quel qu'en soit l'objet, de la Mission des Nations Unies en Ethiopie et en Erythrée (MINUEE) dans l'espace aérien érythréen ou à destination de l'Erythrée à partir du 5 octobre 2005. Il a ajouté que "cette décision du gouvernement érythréen est gravement contraire à l'appel qu'il a lancé aux parties dans sa résolution 1312 (2000), ainsi qu'à l'Accord de cessation des hostilités signé à Alger le 18 juin 2000 par le gouvernement de la République fédérale démocratique d'Éthiopie et le gouvernement de l'Etat érythréen leur demandant de laisser à la Mission le libre accès nécessaire […]".

Mercredi 19 octobre 2005 :
La Mission de l'ONU en Ethiopie et en Erythrée (MINUEE) a annoncé mardi qu'en "raison de la décision des autorités érythréennes d'interdire les vols d'hélicoptères de l'ONU (NDLR. A partir du 6 octobre 2005), la MINUEE "a étudié l'impact négatif de cette interdiction sur son efficacité opérationnelle et sa capacité de surveillance et a conclu que continuer à occuper de petits postes dans des endroits isolés est devenu intenable et non viable opérationnellement. Sur un total de 40 postes qu'elle avait jusqu'ici maintenus, la MINUEE a désormais décidé d'en évacuer 18, ainsi qu'un site d'observateurs militaires". Voir notre édition du 6 octobre 2005

Jeudi 24 novembre 2005 :
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mercredi la résolution 1640 qui ordonne à ce pays "d'annuler sans plus tarder sa décision d'interdire les vols d'hélicoptère de la Mission des Nations Unies" (MINUEE) , de même que les restrictions supplémentaires imposées aux opérations de la Mission, et qu'il fournisse à celle-ci l'accès, l'assistance, le soutien et la protection dont elle a besoin pour s'acquitter de sa tâche". La résolution exige par ailleurs de l'Ethiopie "qu'elle accepte pleinement et sans plus tarder la décision définitive et contraignante de la Commission du tracé de la frontière et prenne immédiatement des mesures concrètes pour permettre, sans préalable, à la Commission de procéder à l'abornement intégral et rapide de la frontière".

Jeudi 8 décembre 2005 : Les autorités, qui accusent les Nations Unies d’être trop favorables à l’Ethiopie, a donné 10 jours aux personnels américains, canadiens, européens et russes de la MINUEE (Mission de l’ONU en Ethiopie et en Erythrée) pour quitter le pays. Environ 3 800 membres (militaires et civils) sont concernés par cette mesure.

Samedi 10 décembre 2005 : Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a décidé d'envoyer le chef du département des opérations de maintien de la paix, Jean-Marie Guéhenno ainsi que le Conseiller militaire de l'ONU, le général Randir Kumar Mehta, en Ethiopie et en Erythrée, afin d'évaluer la situation sur le terrain après que l'Erythrée ait exigé le départ de tout le personnel occidental de la MINUEE. 180 personnes seraient affectés par la décision des autorités érythréennes : 91 observateurs militaires, près de 10 volontaires et 70 membres du personnel international. Sur un total de 44 pays contributeurs de troupes, 18 tombent sous le coup des restrictions imposées par l'Erythrée.

Vendredi 16 décembre 2005 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé mercredi 14 décembre 2005, en consultation avec le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, de redéployer temporairement de l'Erythrée vers l'Ethiopie les personnels civils et militaires de la Mission des Nations Unies en Ethiopie et en Erythrée (MINUEE), suite à la décision de l'Erythrée d'expulser certains membres - Américains, Canadiens, Russes et Européens - de la Mission. Le Conseil a rappelé qu'il a exigé, dans sa résolution 1640 (2005), que "l'Erythrée annule ces restrictions et fournisse à la MINUEE l'accès, l'assistance, le soutien et la protection dont elle a besoin pour s'acquitter de sa tâche".





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