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PAYS DU MONDE - AFRIQUE : CAMEROUN_ COMMENT DEVENIR CORRESPONDANT (E) DE PRESSE BENEVOLE !
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Le drapeau du Cameroun



Offre n° 1



 

Offre n° 2

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CAMEROUN
 
Nom officiel
République du Cameroun.
Administration
Le Cameroun est divisé en 10 provinces : Adamaoua, Centre, Est, Extreme-Nord, Littoral, Nord, Nord-Ouest, Ouest, Sud, Sud-Ouest.
Capitale
Yaoundé
Chronologie politique

Copyright www.fil-info-france.com

12 juillet 1884 :
Protectorat allemand.

Jusqu'en 1907:
Les Allemands vont explorer le Cameroun et délimiter ses frontières en passant des accords avec la France et l'Angleterre.

1914 - 1918 :
Seconde guerre mondiale : les Allemands sont attaqués au Cameroun ; au sud par les Français et les Belges, à Douala par les Français et les Anglais, au nord par les Anglais. Ils se réfugient en Guinée équatoriale.

10 juillet 1919 :
La Société des Nations confie à la France et à l'Angleterre le mandat d'administrer le Cameroun en deux territoires distincts.

1940 :
Les Allemands envahissent la France. Le 27 août 1940, le Cameroun se rallie au général De Gaulle. Des Camerounais s'engagent pour la libération de la France sous la conduite du général Leclerc.

1939 - 45 :
Le Cameroun manifeste sa volonté de devenir indépendant.

25 octobre 1946 :
Création de ARCAM (Assemblée Représentative du Cameroun).

1948 : R
uben Um Nyobe, qui veut l'indépendance et dénonce la colonisation, lance l'Union des Populations Camerounaises (UPC). Il crée des syndicats qu'il fédère en unions syndicales régionales puissances qui lancent des grèves.

1952 :
L'ARCAM est remplacée par l'ATCAM (Assemblée Territoriale du Cameroun).

Décembre 1952 :
Ruben Um Nyobe se rend à New York où il prononce un réquisitoire contre la France à l'Organisation des Nations Unies (ONU) devant la commission de tutelle. Dans ce réquisitoire, il démontre que la France administre le Cameroun de la même façon que ses propres colonies, avec l'intention d'incorporer dans l'empire français alors que le Cameroun est une pupille de l'ONU qui en a seulement confié la tutelle à la France. Il dénonce les lenteurs de la France pour mettre en place les réformes politiques au Cameroun.

18 avril 1955 :
Le domicile de Ruben Um Nyobe est attaqué par la police. Sa femme et une vingtaine de ses partisans sont pris en otage par la police. Ruben Um Nyobe se réfugie alors à Boumyebel, son village natal.

22 mai 1955 : L
es autorités interdisent une réunion de l'UPC à Mbanga. L'UPC maintient son rassemblement. La police intervient.

26 mai 1955 :
Le Gouverneur Roland Pré fait venir les forces françaises stationnées au Congo. L'insurrection à Douala est matée. La répression française fait 10 000 morts.

13 juillet 1955 :
L'UPC et toutes ses organisations annexes sont interdites.

Décembre 1956 :
Ruben Um Nyobe prend le maquis.

Septembre 1958 :
La loi d'amnistie, votée le 17 Février 1958, ne s'appliquant qu'aux actes commis avant le 2 janvier 1956, Ruben Um Nyobe entre dans la clandestinité et poursuit ses activités politiques et armées. Il est abattu le 13 septembre 1958 par une patrouille française. Son corps sera ensuite exposé au public.

13 décembre 1956 :
Création de l'ALCAM (Assemblée Législative du Cameroun).

10 mai 1957 :
Le Cameroun d'expression française devient un Etat autonome (avec un gouvernement, un hymne , un drapeau et une devise) avec pour Premier Ministre André Marie Mbida.

1er janvier 1960 :
Le Cameroun français devient indépendant avec une scission avec le Cameroun britannique. Le nord fusionne avec le Nigeria et le sud avec le Cameroun français.

5 mai 1960 :
Ahmadou Ahidjo est élu Président de la République.

11 février 1961 :
Référendum d'autodétermination pour la colonie britannique : le Nord, principalement musulman, choisit d'intégrer le Nigeria ; le Sud, principalement chrétien, choisit de rejoindre la République du Cameroun pour former la République fédérale du Cameroun.

14 août 1961 :
Adoption de la Constitution fédérale.

1er octobre 1961 :
La république du Cameroun devient république fédérale du Cameroun avec deux Etats : le Cameroun oriental ayant pour capitale Yaoundé et le Cameroun occidental qui a pour capitale Buéa.

1962 :
Le franc CFA devient la monnaie officielle du pays.

23 mars 1965 :
Réélection d'Ahmadou Ahidjo.

1er septembre 1966 :
Création de l'Union Nationale Camerounaise qui regroupe les partis politiques légaux. Ce parti est dirigé par Ahmadou Ahidjo. Régime de parti unique.

28 mars 1970 :
Victoire d'Ahmadou Ahidjo à l'élection présidentielle pour un 3ème mandat.

20 mai 1972 :
Suite à un référendum, la république fédérale du Cameroun devient république unie du Cameroun.

4 novembre 1982 :
Démission du président Ahmadou Ahidjo au pouvoir depuis le 1er janvier 1960, officiellement pour raisons de santé et est remplacé par le premier ministre, Paul Biya, en poste depuis 1975.

20 mai 1983 :
Tentative de coup d'Etat fomentée par des proches de l'ancien président Ahmadou Ahidjo.

18 juin 1983 :
Nouvelle tentative de coup d'Etat fomentée par des proches d'Ahmadou Ahidjo.

Juillet 1983 :
Ahmadou Ahidjo est contraint à l'exil.

22 août 1983 :
Tentative de coup d'Etat.

4 février 1984 :
La République unie du Cameroun devient République du Cameroun.

28 février 1984 :
Le président Ahmadou Ahidjo est condamné à mort par contumace par le tribunal militaire de Yaoundé pour tentative de coup d'Etat. Il s'exile au Sénégal où il y mourra le 30 novembre 1989. Le président Paul Biya est réélu président avec 99 % des voix.

24 mars 1984 :
L' UNC est remplacée par le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC).

21 août 1986 :
Eruption de gaz toxiques au lac Nyos qui fait près 1746 morts.

24 avril 1988 :
Réélection de Paul Biya pour un second mandat.

30 novembre 1989 :
Décès de l'ancien président Ahmadou Ahidjo.

26 mai 1990 :
Création du Front social démocrate (SDF) par John Fru Ndi.

5 décembre 1990 :
Le parlement vote une loi instituant le multipartisme.

Avril 1991 :
Création du poste de Premier Ministre, Chef du Gouvernement, conformément à la loi portant révision constitutionnelle du 23 avril 1991.

25 avril 1991 :
Sadou Hayatou est nommé premier ministre.

Juin 1991 :
Paul Biya refuse la conférence nationale.

Septembre 1991 :
Emeutes dans tout le pays qui ont fait une trentaine de morts en 2 mois. Paul Biya déploie l'armée dans 7 des 10 provinces du Cameroun.

1er mars 1992 :
Premières élections législatives libres qui voient la victoire du parti de Paul Biya, le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC). La participation a été de 60,6 %.

9 avril 1992 :
Simon Achidi Achu, anglophone, est nommé premier ministre en remplacement de Sadou Hayatou.

11 octobre 1992 :
Première élection présidentielle pluraliste de l'histoire du pays. Paul Biya, au pouvoir depuis novembre 1982, remporte le scrutin face à l'anglophone, John Fru Ndi. L'opposition conteste les résultats.

29 mars 1994 :
Le Cameroun saisit la Cour internationale de justice sur la souveraineté sur la péninsule de Bakassi, riche en pétrole et en poissons, contestée par le Nigeria.

1er novembre 1995 :
Adhésion du Cameroun au Commonwealth.

18 janvier 1996 :
Nouvelle loi constitutionnelle qui révise la loi fondamentale de juin 1972 et instaure un régime semi présidentiel, crée un sénat et limite la durée du mandat présidentiel à 7 ans, renouvelable une seule fois.

Janvier-mai 1996 :
Affrontements entre le Cameroun et le Nigeria à propos de la péninsule de Bakassi. Les deux pays finissent par accepter une médiation de l'ONU.

19 septembre 1996 :
Peter Mafany Musonge est nomm premier ministre.

17 mai 1997 :
Elections législatives remportées par le RDPC.

12 octobre 1997 :
Paul Biya remporte l'élection présidentielle et entame un 4ème mandat ; élection boycottée par les principaux partis de l'opposition.

Mardi 30 septembre 2003 :
A l'occasion de la célébration le 1er octobre de la réunification, en 1961, du Cameroun francophone au Cameroun anglophone, le gouvernement a interdit, dans un communiqué lu à la radio nationale, toute manifestation de quelle que nature que ce soit pendant toute la semaine dans les deux provinces anglophones du nord-ouest en du sud-ouest. L'anniversaire de cette réunification fait l'objet de nombreuses manifestations de la part de mouvements sécessionnistes qui prônent l'indépendance des provinces anglophones. (Source : Fil-info-France.com)

Jeudi 22 avril 2004 : L'organisation de défense des droits de l'homme et de promotion de la démocratie, Terre des Hommes, a appelé au report des élections présidentielles prévues pour le mois d'octobre en raison du "peu d'engouement des Camerounais à s'inscrire sur les listes électorales". (Source : Fil-info-France.com)

Samedi 24 avril 2004 : Le président Paul Biya a procédé à un remaniement ministériel. Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Pierre Ismaël Bidoung Mpkatt et le ministre des Postes et Télécommunications, Maximin Paul NKoué Nkongo, ont été limogés. Des manifestations quasiment quotidiennes qui durent depuis 2 mois appelaient à la formation d'un nouveau gouvernement. (Source : Fil-info-France.com)

Mardi 8 juin 2004 :
Les autorités ont démenti les rumeurs qualifiées "en grande partie de fallacieuses et mal intentionnées", selon lesquelles le président Paul Biya, 71 ans, "en voyage en Europe à titre privé" était mort dans un hôpital suisse. (Source : Fil-info-France.com)

Jeudi 15 juillet 2004 : Selon un représentant local de la chaîne de télévision britannique BBC, 2 de ses journalistes, Farouk Chotia, et Ange Ngu, ont été arrêtés dimanche et accusés d'espionnage dans la partie camerounaise de la péninsule de Bakassi (sud-ouest) où ils devaient réaliser un reportage. Ils étaient pourtant en possession d'une autorisation signée par le ministre camerounais de la Communication, le Professeur Jacques Fame Ndongo. Les 2 journalistes ont été transférés dans la ville côtière de Limbé à 210 km à l'ouest de Yaoundé, où ils ont été placés en résidence surveillée dans un hôtel. La presqu'île de Bakassi, supposée riche en pétrole, jusqu'ici majoritairement sous administration nigériane est revendiquée tant par Abuja (Nigéria) que Yaoundé. Elle a été attribuée le 10 octobre 2002 au Cameroun par la Cour Internationale de Justice (CIJ) de la Haye. Le retrait des forces nigérianes de ce territoire d'environ 1 600 km2, commencé vendredi, devrait être achevé d'ici le 15 septembre 2004. Plus de détails : L'arrêt de la CIJ ; Récapitulatif de l'affaire de la péninsule de Bakassi ; Dates marquantes de la crise de Bakassi. (Source : Fil-info-France.com)

Lundi 11 octobre 2004 : 4,6 millions d'électeurs sont appelés aux urnes lundi pour élire leur président. Paul Biya, 71 ans, Président sortant, au pouvoir depuis le 6 novembre 1982, est donné gagnant parmi les 15 autres candidats. Plus de 230 observateurs nationaux et internationaux ont été déployés dans le pays afin de s'assurer du bon déroulement du scrutin. (Source : Fil-info-France.com)

Mardi 26 octobre 2004 : La Cour suprême a déclaré vainqueur de l'élection présidentielle du 11 octobre 2004 le président sortant Paul Biya réélu avec 71 % des suffrages. (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 24 juin 2005 : La présidence a annoncé dans un communiqué officiel que "des incidents regrettables sont survenus dans la péninsule de Bakassi, en territoire camerounais, les 5, 17, 18 et 21 juin 2005, suite à des attaques répétées des forces nigérianes sur les positions camerounaises" ajoutant que "ces attaques se sont soldées par la mort d'un soldat camerounais, d'un blessé grave et de dégâts matériels" et précise que "le caractère brutal et unilatéral des attaques et provocations de l'armée nigériane a contraint l'armée camerounaise, en situation de légitime défense, à la riposte". Le communiqué conclut : "Face à ces actes répétés d'agression et de provocation de l'armée nigériane, M. Paul Biya, président de la République du Cameroun, a décidé de saisir l'organisation des Nations Unies". (Source : Fil-info-France.com)

Mercredi 14 juin 2006 : Après d'intenses négociations sous les auspices des Nations Unies, les présidents du Nigeria, Olusegun Obasanjo et du Cameroun, Paul Biya, ont signé lundi 12 juin 2006 un accord mettant fin au différend territorial qui dure depuis plus de 10 ans entre les deux pays à propos de la péninsule de Bakassi, riche en pétrole. Le Nigeria a accepté de retirer ses troupes dans un délai de 60 jours de la péninsule de Bakassi. Le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a précisé qu'un délai supplémentaire de 30 jours pourrait être accordé au Nigeria si des problèmes survenaient au cours du retrait, mais cette décision relèverait des Nations Unies. Lire notre édition du 25 octobre 2004. (Source : Fil-info-France.com)

Lundi 24 juillet 2006 :
Le président Paul Biya, qui n'avait pas de rival, a été réélu à la tête de son parti, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), qu'il dirige depuis 1985, pour un nouveau mandat de 5 ans, à l'issue du 3ème congrès extraordinaire du RDPC qui s'est tenu vendredi 21 juillet 2006 à Yaoundé la capitale. (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 19 janvier 2007 : Aux termes d'un accord signé mercredi 17 janvier 2007 entre le ministre de l'Economie et des Finances, Polycarpe Abah Abah et l'ambassadeur des Etats-Unis à Yaoundé, Niels Maquart, les Etats-Unis ont annulé 30,2 millions de dollars de la dette totale du Cameroun vis-à-vis des Etats-Unis. Le ministre a estimé que cette contribution apportait au Cameroun des ressources supplémentaires pour une lutte plus efficace contre la pauvreté. (Source : Fil-info-France.com)

Mardi 8 mai 2007 : Aucun survivant n'a été retrouvé autour de l'épave du Boeing 737 de la Kenya Airways qui s'est écrasé dans la nuit de vendredi 5 à samedi 6 mai 2007 au Cameroun, à Mbanga-Pongo, dans une zone de marécages située à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Douala, avec 114 personnes à bord. (Source : Fil-info-France.com)

Jeudi 28 juin 2007 : L'ancien directeur général du Fonds d'équipement intercommunal (Féicom), Emmanuel Gérard Ondo Ndong, et 8 coaccusés ont été reconnus coupables mercredi 27 juin 2007 par le tribunal de grande instance de Yaoundé la capitale de détournement de fonds pour environ 19,8 millions d'euros. La sentence sera prononcée jeudi 28 juin 2007. Il s'agit des premières personnalités reconnues coupables dans le cadre de l'opération anti-corruption "Epervier" lancée par le Premier ministre camerounais Ephraïm Inoni à son arrivée à la tête du gouvernement fin 2004, sous la pression des bailleurs de fonds internationaux. (Source : Fil-info-France.com)

Mardi 24 juillet 2007 : Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) du président Paul Biya, au pouvoir depuis le 6 novembre 1982, a largement remporté les législatives et municipales qui se sont tenues dimanche 22 juillet 2007, d'après des résultats encore provisoires, remportant au moins 150 des 180 sièges de députés. (Source : Fil-info-France.com)

Lundi 7 avril 2008 : L'opposition a dénoncé samedi 5 avril 2008 le projet de réforme constitutionnelle déposé vendredi 4 par le gouvernement et visant à supprimer la limite au nombre de mandats présidentiels, ce qui permettrait au président Paul Biya, au pouvoir depuis 26 ans, de se présenter à nouveau mandat, à l'expiration de son mandat de 7 ans en 2011. Le pouvoir contrôle 153 des 180 sièges au parlement. (Source : Fil-info-France.com)

Samedi 12 avril 2008 : Le parlement a adopté mardi 8 avril 2008 un projet de révision de la Constitution qui vise à permettre au président Paul Biya, au pouvoir depuis 25 ans, de se présenter pour un nouveau mandat au terme de son mandat en 2011. L'article 51 doit être également modifié. Il stipule que le président ne peut être poursuivi pour les actes qu'il a accomplis au terme de son mandat. (Source : Fil-info-France.com)

Mardi 29 juillet 2008 : NIGERIA/CAMEROUN :
Des échanges de tirs ont eu lieu entre l'armée camerounaise et des "assaillants" dans la presqu'île de Bakassi, région riche en pétrole, qui doit être officiellement restituée par le Nigéria au Cameroun le 14 août 2008 aux termes d'un accord, dit de Greentree, signé le 12 juin 2006 à New York aux Etats-Unis, et qui fixe les conditions de retrait du Nigéria de cette péninsule. 2 soldats camerounais et 10 "assaillants" ont été tués. Des armes de guerre ont été confisquées. Un groupe armé qui se nomme le Conseil pour la Sécurité et la Défense du Delta du Niger (CSDDN) a revendiqué les attaques dans la péninsule de Bakassi et demande "des négociations avec le gouvernement du Cameroun portant sur le sort des populations vivant à Bakassi". (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 15 août 2008 : NIGERIA / CAMEROUN : Le Nigéria a procédé jeudi 14 août 2008 au transfert de la presqu'île de Bakassi, région riche en pétrole, au Cameroun aux termes d'un accord, dit de Greentree, signé le 12 juin 2006 à New York aux Etats-Unis, et qui fixe les conditions de retrait du Nigéria de cette péninsule. La cérémonie de rétrocession a eu lieu à Calabar, chef-lieu de l'Etat de Cross River, dans le sud-est du Nigeria, en présence de représentants des 2 pays et de l'ONU, en la personne du représentant spécial du secrétaire général de l'ONU pour l'Afrique de l'Ouest, Kieran Prendergast, qui a indiqué "célébrer un triomphe pour l'état de droit". Il a rendu "hommage à la hauteur de vue et à la volonté politique démontrés par les gouvernements et les peuples de la République du Cameroun et de la République du Nigéria". Le représentant du Secrétaire général a souhaité que les parties fassent les mêmes efforts pour protéger les droits des populations locales affectées par ce transfert de souveraineté "historique". (Source : Fil-info-France.com)

Samedi 1er novembre 2008 : 10 employés du secteur pétrolier, (6 Français, 2 Camerounais, un Tunisien et un Sénégalais), membres de l'équipage d'un navire du groupe français Bourbon, le "Bourbon Sagitta", opérant sur un terminal pétrolier, ont été enlevés vendredi 31 octobre 2008 dans les eaux camerounaises à la frontière du Nigeria. La prise d'otages a été revendiquée par les Combattants pour la liberté à Bakassi (Bakassi Freedom Fighters (BFF). Les ravisseurs menacent d'exécuter les otages si les autorités camerounaises ne viennent pas discuter avec eux dans la péninsule de Bakassi, rétrocédée au Cameroun par le Nigéria le 14 août 2008 après 15 ans de litige frontalier, zone riche en pétrole et où selon le BFF, "la population souffre et n'a pas de nourriture". La présidence camerounaise a indiqué dans un communiqué que "tout est mis en oeuvre pour préserver la vie des otages et pour identifier les ravisseurs" ajoutant : "Le président de la République Paul Biya (actuellement en voyage privé en Suisse) qui suit de près la situation condamne fermement cet acte de piraterie perpétré dans les eaux territoriales nationales". (Source : Fil-info-France.com)

Mercredi 12 novembre 2008 :
10 employés du secteur pétrolier, (6 Français, 2 Camerounais, un Tunisien et un Sénégalais), membres de l'équipage d'un navire du groupe français Bourbon, le "Bourbon Sagitta", opérant sur un terminal pétrolier, enlevés vendredi 31 octobre 2008 dans les eaux camerounaises à la frontière du Nigeria, ont été libérés et conduits mardi 11 novembre 2008 à l'Ambassade de France à Yaoundé la capitale. La prise d'otages avait été revendiquée par les Combattants pour la liberté à Bakassi (Bakassi Freedom Fighters (BFF). Les ravisseurs menaçaient d'exécuter les otages si les autorités camerounaises ne venaient pas discuter avec eux dans la péninsule de Bakassi, rétrocédée au Cameroun par le Nigéria le 14 août 2008 après 15 ans de litige frontalier, zone riche en pétrole et où selon le BFF, "la population souffre et n'a pas de nourriture". (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 9 janvier 2009 : Le tribunal de Première instance de Douala Bonanjo, a condamné jeudi 7 janvier 2009 à 3 ans de prison ferme et 2 millions de francs FCFA d’amende (1 euro égale 655,97 FCFA) le directeur de publication de l'hebdomadaire privé "La Détente libre", Lewis Medjo, en détention depuis le 26 septembre 2008. Il était poursuivi pour "propagation de fausse nouvelle" suite à un article publié le 7 août 2008 intitulé "Coup de tonnerre à la Cour suprême : Biya limoge Dipanda Mouelle", dans lequel il commentait une décision présidentielle encore confidentielle, mettant à la retraite le président de la Haute Cour dès le 26 mai 2009. Lewis Medjo s'était alors étonné que "d’autres magistrats plus âgés encore que Dipanda Mouelle étaient curieusement exempts de cette mesure et demeuraient en poste jusqu’en 2011". (Source : Fil-info-France.com)

Mercredi 18 mars 2009 : Le Pape Benoit XVI est arrivé mardi 17 mars 2009 à Yaoundé la capitale pour son premier voyage en Afrique. Il a été accueilli par le président Paul Biya. Dans son discours, le Pape, s'exprimant sur l'épidémie de sida qui touche le continent africain, s'est dit contre l'usage du préservatif, estimant que l'on ne pouvait "pas régler le problème du sida avec la distribution de préservatifs. Au contraire, (leur) utilisation aggrave le problème". Le Pape a prôné l'abstinence. Benoït XVI quittera vendredi 20 mars 2009 le Cameroun pour l'Angola. (Source : Fil-info-France.com)

Samedi 13 juin 2009 : Le directeur de publication de l'hebdomadaire indépendant "La Nouvelle" et son rédacteur en chef, Charles René Nwé, ont été condamnés vendredi 12 juin 2009 à 5 ans de prison ferme par le tribunal militaire de Yaoundé la capitale pour "complicité d'outrage et de violation du secret de Défense" à l'issue d'un procès à huis clos. Un mandat d'arrêt avait été lancé à leur encontre. Les 2 journalistes avaient publié en 2008 un dossier présentant le ministre de la Défense, Rémy Zé Meka, comme le "commanditaire" d'une tentative présumée de coup d'Etat au Cameroun, en octobre 2007. (Source : Fil-info-France.com)

Mercredi 17 juin 2009 :
L'ancien ministre de l'Energie, Alphonse Siyam Siwé, condamné en première instance à 30 ans d'emprisonnement pour des "détournements de fonds" de près de 53 millions d'euros au Port autonome de Douala (PAD) dont il a été directeur pendant près de 7 ans, avant d'être nommé en 2009 ministre de l'Energie, a été condamné en appel de la prison à perpétuité. Le port de Douala assure 95 % des échanges du Cameroun avec l’extérieur. C’est le seul port en Afrique centrale qui dispose d’un portique à conteneurs. En 2004, plus de 6 millions de tonnes de marchandises ont été traitées au port de Douala. Les 12 co-accusés dans ce procès ont été condamnées à des peines de prison allant de 15 ans ferme à la perpétuité. (Source : Fil-info-France.com)

Mercredi 1er juillet 2009 : Le président Paul Biya a procédé mardi 30 juin 2009 à un remaniement ministériel. Le premier ministre Ephraïm Inoni, en poste depuis décembre 2004, a été remplacé par Yang Philemon, 62 ans, anglophone, originaire de la province du Nord-Ouest et membre du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC, pouvoir), qui était jusqu'alors secrétaire général adjoint de la présidence. (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 18 décembre 2009 :Jean Bosco Talla, directeur de publication de l'hebdomadaire camerounais "Germinal", arrêté le 10 décembre 2009, a été inculpé mercredi 16 décembre 2009 pour "outrage au président de la République" pour avoir publié le mercredi 2 décembre 2009 dans son journal l'extrait d'un livre de l'écrivain Ebale Angounou, évoquant "un pacte secret" entre l'actuel président camerounais Paul Biya et son prédécesseur Ahmadou Ahidjo, qualifié de " (petit) ami du Président Paul Biya", décédé il y a bientôt 10 ans dans les circonstances non clairement expliquées. Les responsables du magazine "Germinal" défendent leur directeur de publication estimant que "le livre de M. Ebale Angounou n’a fait l’objet ni d’une dénonciation publique ni d’une censure judiciaire par voie d’interdiction complète ou partielle. Donc son contenu est du domaine public et universel et peut à ce titre être repris par toute publication ou auteur, à condition simplement d’être exactement et explicitement de même que la signature de l’auteur de l’ouvrage". En juillet 2009, après avoir aidé à la publication d’un rapport du CCFD-Terre Solidaire sur "les biens mal acquis" du chef de l’Etat, Jose Bosco Talla avait reçu des menaces de mort par SMS. Il a comparu immédiatement devant un tribunal de Yaoundé. Son procès doit reprendre le 21 décembre 2009. (Source : Fil-info-France.com)

Mardi 4 mai 2010 : Une manifestation de journalistes organisée à l'occasion de la célébration de Journée mondiale de la liberté de la presse, lundi 3 mai 2010, a été réprimée par la police à Yaoundé la capitale, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes et de matraques, alors que les journalistes tentaient d'organiser un sit-in devant les bureaux du premier ministre, Yang Philemon. Plusieurs centaines de journalistes réclamaient toute la lumière sur la mort, le 22 avril 2010 de leur collègue Bibi Ngota alors qu’il était en détention, depuis le 10 mars 2010, à la prison centrale de Nkondengui à Yaoundé, et la libération de tous les journalistes emprisonnés. Le porte-parole du premier ministre a indiqué que "les journalistes n’ont pas respecté les délais légaux de déclaration de manifestation publique. Par conséquent, nous ne pouvons pas les autoriser à faire le sit-in devant les bureaux du premier ministre". Les autorités camerounaises avaient accusé Bibi Ngota d’avoir imité "la signature du secrétaire général de la présidence de la République sur des documents dont ils se servaient pour faire du chantage" et affirmé qu'il était mort suite à des "infections opportunistes" liées au virus du sida. L'épouse du journaliste, et ses proches, ont réfuté cette version, montrant son carnet de santé signé par le médecin de la prison, qui affirme qu’il était séronégatif au moment de son incarcération en mars 2010. Notons également que le père de Bibi Ngota, Ngota Essiane Emmanuel, a indiqué que les autorités l'ont empêché d'assister à l'autopsie de son fils. (Source : Fil-info-France.com)

Jeudi 25 novembre 2010 : Le mauvais temps à l'origine du crash d'un hélicoptère militaire qui transportait un ancien colonel israélien : Selon les premiers éléments de l'enquête, le mauvais temps a été la cause du crash, lundi 22 novembre 2010 dans la localité d'Eseka, d'un hélicoptère militaire qui transportait 5 personnes. 4 des occupants de l'appareil, ont été tuées, dont Avi Abraham Sivan, colonel israélien à la retraite, qui était en charge de la sécurité du président camerounais Paul Biya, et un autre grièvement blessé. (Source : Fil-info-France.com)

Lundi 13 décembre 2010 : Rencontre historique entre le président Paul Biya et l'opposant John Fru Ndi : Le bureau présidentiel a annoncé samedi 11 décembre 2010 que le président Paul Biya a rencontré la veille son principal opposant, John Fru Ndi, chef du Front démocratique social (SDF, Social Democratic Front) à Bamenda, chef-lieu de la province anglophone du Nord-Ouest, ville natale de John Fru Ndi, lors d'une cérémonie de commémoration du cinquantenaire de l'armée du Cameroun. Cette rencontre a été qualifiée "d'historique", le première depuis plus de 20 ans, qui, selon le bureau présidentiel "a été ouverte et difficile, et a duré 35 minutes". (Source : Fil-info-France.com)

Jeudi 1er septembre 2011 N° 3004/24400

CAMEROUN - L'élection présidentielle fixée au dimanche 9 octobre 2011 (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 14 octobre 2011 N° 3041/24437

CAMEROUN - L'opposition demande l'annulation de l'élection présidentielle en raison de fraudes avérées (Source : Fil-info-France.com)

Samedi 22 octobre 2011 N° 3048/24444

CAMEROUN - Paul Biya réélu, l'opposition conteste les résultats et appelle à manifester (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 4 novembre 2011 N° 3059/24455

CAMEROUN - Investiture du président Paul Biya au pouvoir depuis 1982 (Source : Fil-info-France.com)

Vendredi 25 novembre 2011 N° 3077/24473

CAMEROUN - 3 Camerounais condamnés à 5 ans de prison ferme pour homosexualité (Source : Fil-info-France.com)


 
Climat
Tropical le long de la côte. Semi-aride et chaud au nord.
Code ISO
CM
Devise nationale
Paix, travail, patrie.
Drapeau
Le drapeau du Cameroun
Offre n° 2

Economie
Pétrole, gaz naturel, bauxite, fer, or, uranium. Hydroélectricité.
Fête nationale
20 mai (1972, proclamation de la république unitaire)
Langue officielle
Anglais et français.
Liens
Présidence de la République du Cameroun
Gouvernement de la République du Cameroun (en français et en anglais)
http://www.ambafrance-cm.org/ L'ambassade de France au Cameroun
Ambassade des Etats-Unis à Yaoundé
http://www.cameroun-infotourisme.com/ Office du tourisme du Cameroun à Paris
Drapeau, hymne national et heure locale
Les Pages Jaunes du Cameroun
La situation des femmes au Cameroun
Tout (ou presque) sur le Cameroun
Tout sur le Cameroun : histoire, géo, actu, guide touristique, etc.
BIDIL : auteur compositeur de la chanson africaine du Cameroun qui pratique du "makossa", musique populaire de son pays. Ce francophone compose aussi bien en langue douala qu'en français.
Médias
http://www.crtv.cm/ Cameroun Radio Television (Radio et télévision camerounaise)
Club des Journalistes Solidaires du Cameroun
http://www.cameroon-tribune.cm/ Cameroun Tribune : quotidien national bilingue
http://www.cameroon-info.net/ Cameroun Info
http://www.wagne.net/ouestechos/ Ouest-Echos
http://www.lemessager.net/ Le Messager
Le Patriote, hebdomadaire nationale
Offre n° 3

Monnaie
Franc CFA.
Partis politiques
RDPC : Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais
UNDP : Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès
UPC : Union des Peuples du Cameroun
MDR : Mouvement pour la Défense de la République
Population
Camerounais.
15,8 millions d'habitants
230 ethnies (Fang, boulou, yaoundé, douala, Mbum, Fulani, etc.)
Offre n° 4

Principales villes
Yaoundé, Douala, Maroua, Garoua.
Religion
Croyances indigènes (40 %), Chrétiens (40 %), Musulmans (20 %).
Situation géographique
Etat de l'ouest de l'Afrique bordé par l'Océan Atlantique. Frontières avec le Nigéria, le Tchad, la République de Centrafrique, le Congo Brazzaville et le Gabon.
Statut
République unitaire. Le régime présidentiel multipartiste a été légalisé en 1990. Président : Paul Biya (depuis le 6 novembre 1982). Premier ministre : Philemon Yang (depuis le 30 juin 2009).
Superficie
475 440 km²
Webcam
Aucune webcam n'a pu encore être trouvée.(Voir aussi espace Webcam)
 
 

Offre n° 5




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