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PAYS DU MONDE - AFRIQUE : GUINEE EQUATORIALE COMMENT DEVENIR CORRESPONDANT (E) DE PRESSE BENEVOLE !
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Drapeau de la Guinée Equatoriale



Offre n° 1



 
 


Offre n° 2

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La situation géographique de la Guinée équatoriale
 
Nom officiel
République de Guinée Equatoriale.
Administration
La Guinée Equatoriale est divisée en 7 provinces : Annobon, Bioko Norte, Bioko Sur, Centro Sur, Kie-Ntem, Litoral, Wele-Nzas.
Capitale
Malabo.
Chronologie politique
Domination espagnole jusqu'en 1939.

1964 : Autonomie.

1968 : Proclamation de la République. Francisco Macias Nguema établit un régime autoritaire, marxiste et proclame l'indépendance.

5 août 1979 : Coup d'Etat militaire dirigé par Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.

Août 1982 : Approbation de la nouvelle Constitution avec 95 % des voix.

13 mai 1983 : Tentative de coup d'Etat contre le président Teodoro Obiang Nguema.

28 août 1983 : Elections législatives.

19 décembre 1983 : La Guinée équatoriale devient membre de l'UDEAC, Union douanière et économique de l'Afrique centrale, passant de l'influence espagnole à l'influence française.

2 janvier 1985 : Entrée de la Guinée équatoriale dans la zone franc. La devise du pays, le Bipkwele, est abandonnée au profit du France CFA.

21 septembre 1985 : En visite en France, le président Teodoro Obiang Nguema demande l'entrée de la Guinée équatoriale dans la francophonie.

Juin 1989 :
Le président Teodoro Obiang Nguema est réélu.

8 janvier 1992 :
Instauration du multipartisme.

29 février 1996 :
Le président Teodoro Obiang Nguema est réélu pour un nouveau mandat. Il est le seul candidat.

20 septembre 1997 :
La Guinée équatoriale, seul pays africain de langue espagnole, adopte le français comme seconde langue officielle.

Mars 1999 :
Le Parti démocratique de Guinée équatoriale au pouvoir (PDGE, ancien parti unique) remporte les élections législatives.

28 mai 2000 :
L'opposition boycotte le scrutin municipal. Le PDGE remporte toutes les municipalités.

Mercredi 27 août 2003 :
Le ministre de la Fonction publique, Ricardo Mangue Obama, a, au cours d'une déclaration diffusée à la radio d'Etat, annoncé la nomination d'inspecteurs affectés dans chaque ministère et chargés de lutter contre la corruption. Cette mesure intervient après la découverte de "nombreuses irrégularités" dans le traitement des fonctionnaires. (Source : www.fil-info-france.com)

Jeudi 26 février 2004 : Le ministère de la Santé a annoncé le lancement d'une campagne de lutte contre le paludisme sur l'île de Bioko, où se trouve la capitale Malabo. Co-financé par le ministère de la Santé et 3 compagnies pétrolières américaines ce programme va coûter 9 millions de dollars. Les zones marécageuses et les habitations seront "pulvérisées par un puissant insecticide non toxique pour l'homme" selon un communiqué officiel. Les compagnies pétrolières financent habituellement ces campagnes car le paludisme, qui représente plus de 37 % des décès en Guinée équatoriale, est la première cause d'absentéisme au travail. (Source : www.fil-info-france.com)

Samedi 24 avril 2004 : 210 000 électeurs sont appelés aux urnes dimanche pour des élections législatives visant à renouveler les 100 sièges de la Chambre des représentants du Peuple (Parlement) et des élections municipales pour élire 244 conseillers des 30 municipalités. 13 partis participent officiellement à ces scrutins, mais 8 partis de l'opposition dite "démocratique", en réalité proche du pouvoir, ont formé avec le Parti démocratique de Guinée Equatoriale (PDGE), une "coalition électorale". 4 autres partis, la Convergence pour la démocratie sociale (CPDS), seule véritable formation d'opposition intérieure, l'Union populaire (UP), la Convergence sociale démocratique et populaire (CSDP) et l'Action populaire de Guinée Equatoriale (APGE), se présentent contre le PDGE. (Source : www.fil-info-france.com)

Mercredi 16 juin 2004 : La radio nationale a annoncé mardi que le président Teodoro Obiang Nguema a nommé un nouveau Premier ministre, Miguel Abia Biteo Borico, 43 ans, ancien ministre d'Etat chargé des Relations avec le Parlement et des affaires juridiques de la présidence, après les élections législatives du 25 avril 2004. (Source : www.fil-info-france.com)

Mercredi 1er septembre 2004 : 9 accusés d'une tentative de coup d'Etat contre le président Teodoro Obiang en mars 2004 sont actuellement jugés. Le procès a été suspendu sans qu'aucun verdict ne soit prononcé, pour une durée indéfinie à la demande du procureur "après de nouveaux éléments" (NDLR. l'arrestation le 25 août 2004 en Afrique du Sud de Mark Thatcher, fils de l'ancienne Premier-ministre britannique, conservateur, Margaret Thatcher). Voir notre édition du 26 août 2004 (Source : www.fil-info-france.com)

Mardi 26 octobre 2004 : Le diplomate français Henri Deniaud (56 ans) a été nommé nouvel ambassadeur de France en Guinée équatoriale par un décret signé par le président français Jacques Chirac. (Source : www.fil-info-france.com)

Mercredi 17 novembre 2004 : Le procureur général José Olo Obono a requis mardi devant un tribunal de Malabo, la capitale, la peine de mort contre le Sud-Africain Nick du Toit, ancien des forces spéciales sud-africaines du temps de l'apartheid, chef présumé des mercenaires et l'opposant Severo Moto pour leur participation présumée à une tentative de coup d'Etat contre le président Teodoro Obiang Nguema en mars 2004 et entre 26 et 86 ans de prison contre les autres 19 co-inculpés, dont 6 Arméniens. Mark Thatcher, fils de l'ancien Premier ministre britannique Margaret Thatcher est suspecté d'être le bailleur de fonds du complot. (Source : www.fil-info-france.com)

Samedi 20 novembre 2004 : Le ministre de la Justice, Jose Olo Obono, a officiellement confirmé jeudi l'inculpation de Mark Thatcher, 51 ans, fils de l'ancienne première ministre britannique Margaret Thatcher, pour "tentative de coup d'Etat" et réclame son extradition d'Afrique du Sud. Mark Thatcher est suspecté d'être le bailleur de fonds du complot contre le président Teodoro Obiang Nguema en mars 2004. (Source : www.fil-info-france.com)

Lundi 29 novembre 2004 : Le Sud-Africain Nick du Toit et l'opposant Severo Moto ont été condamnés réciproquement vendredi par le tribunal de Malabo, la capitale, à 34 et 63 ans de réclusion pour leur participation à une tentative de coup d'Etat en mars 2004. Le Procureur avait réclamé la peine de mort. De très lourdes sanctions financières ont été également prononcées à l'encontre des 2 hommes. Le tribunal de Malabo a condamné par contumace à des peines de 52 années de prison et un milliard de francs CFA (1,5 million d'euros) de dommages et intérêts 8 ministres du "gouvernement en exil" formé en Espagne par Severo Moto. La justice a rendu publique une liste de 17 autres personnes qu'elle soupçonne d'avoir participé au complot contre le président Obiang parmi lesquels Mark Thatcher, le fils de l'ex-Premier ministre britannique, Margaret Thatcher qui sera entendu en Afrique du Sud début février 2005 par les enquêteurs de Malabo, et Simon Mann, condamné à 7 ans de prison par la justice zimbabwéenne en septembre dernier pour trafic d'armes. Ces 17 personnes sont désormais sous le coup d'un mandat d'arrêt international. (Source : www.fil-info-france.com)

Samedi 23 avril 2005 : Le ministre des Transports, des Technologies, des Postes et Télécommunications, Demetrio Elo Ndong Nsefumu, a décidé d'interdire de vol tous les avions de la compagnie aérienne privée, Union de Transportes Aereo de Guinea Ecuatorial (UTAGE), dans "l'espace aérien national" en raison de "l'insécurité de ses appareils" et après avoir constaté de "nombreuses pannes techniques enregistrées sur ses avions". La compagnie UTAGE dispose de 3 Antonov 24 de fabrication soviétique pilotés par des Russes. Elle relie notamment Malabo, la capitale du pays, à Bata, deuxième ville et capitale économique située sur la partie continentale du pays. Elle dessert également des villes africaines, telles que Cotonou au Bénin, Douala au Cameroun, ou Libreville au Gabon. (Source : www.fil-info-france.com)

15 décembre 2005 : Le président Teodoro Obiang Nguema est réélu pour un nouveau mandat. Il est le seul candidat. (Source : www.fil-info-france.com)

Jeudi 1er juin 2006 :
19 des 20 compagnies du pays ont été interdites vol par les autorités pour non-respect des normes de sécurité. (Source : www.fil-info-france.com)

Vendredi 11 août 2006 : Le Premier ministre Miguel Abia Biteo Borico a présenté jeudi la démission de l'ensemble de son gouvernement, en poste depuis juin 2004, soit 51 membres, au président Teodoro Obiang Nguema, qui l'a acceptée. Le chef de l'Etat avait à plusieurs reprises critiqué ce gouvernement, l'accusant de "corruption", d'"ignorance", d'"irrégularités" et d'une mauvaise gestion des affaires publiques. (Source : www.fil-info-france.com)

Mardi 4 mars 2008 : Le président Teodoro Obiang Nguema a dissous le parlement lundi 3 mars 2008 et convoqué des élections législatives anticipées pour le 4 mai 2008, date des élections municipales afin "d'éviter les gaspillages". (Source : www.fil-info-france.com)

Lundi 31 mars 2008 : Le procureur général a annoncé samedi 29 mars 2008 avoir lancé un mandat d'arrêt international à l'encontre de Mark Thatcher, fils de l'ex-Premier ministre britannique Margaret Thatcher, accusé d'avoir participé à une tentative de coup d'Etat en mars 2004. Mark Thatcher, arrêté en Afrique du Sud le 23 août 2004, assigné à résidence au Cap pour son implication présumée dans une tentative de coup d'Etat en Guinée équatoriale contre le président Teodoro Obiang Nguema, avait plaidé coupable d'avoir "involontairement" contribué au financement de cette tentative de coup d'Etat. Le fils de l'ex-Premier ministre britannique avait été inculpé en août 2004 de violation de la Loi sur l'assistance militaire à l'étranger, qui interdit toute participation à une activité mercenaire ou para-mercenaire (entraînement, recrutement, financement). En échange de la reconnaissance de sa culpabilité, Mark Thatcher n'a été condamné qu'à une peine d'emprisonnement de 5 ans avec sursis et une amende de 3 millions de rand (385 000 euros). Suite à cet accord passé avec la justice sud-africaine, il va pouvoir quitter l'Afrique du Sud.

Lundi 5 mai 2008 : Environ 270 000 électeurs sont appelés aux urnes dimanche 4 mai 2008 pour des élections législatives et municipales. Le Parti Démocratique de Guinée Equatoriale (PDGE) du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, qui dirige le pays depuis 1979 après un coup d'Etat militaire, est donné vainqueur. La Convergence pour la démocratie sociale (CPDS), principale formation de l`opposition, qui ne compte que 2 députés dans l'actuel parlement, ne cesse de dénoncer des "fraudes" électorales depuis 1991 et l'instauration du "multipartisme". Elle a contesté les résultats de chaque scrutin.

Jeudi 18 septembre 2008 : Le Secrétaire général Ban Ki-moon a nommé mercredi l'ancien Conseiller juridique de l'ONU, Nicolas Michel, de la Suisse, au poste de Conseiller spécial et Médiateur du différend frontalier entre la Guinée équatoriale et le Gabon.

Lundi 3 novembre 2008 : Les autorités ont annoncé avoir accordé 2,5 millions d'euros d'aide à Cuba et Haïti, touchés par les ouragans Gustav et Ike à la fin août et en septembre 2008. La Guinée équatoriale, qui était parmi les pays les plus démunis de la planète il y a un peu plus de 10 ans, est actuellement classée au 3ème rang des producteurs de pétrole d'Afrique subsaharienne, après le Nigeria et l'Angola.

Samedi 22 novembre 2008 : Le rapporteur spécial de l'ONU sur la torture, Manfred Nowak, qui a achevé mardi 18 novembre 2008 une mission d'observation de 10 jours en Guinée équatoriale, a indiqué dans son rapport préliminaire que "la torture est systématiquement pratiquée" dans tout le pays contre les personnes qui refusent de coopérer avec la police, des détenus politiques ainsi que des personnes soupçonnées de crimes de droit commun, en particulier dans les commissariats de police à Bata et à Malabo. Manfred Nowak a fait état de coups sur différentes parties du corps, sur la plante des pieds et les fesses, avec des bâtons de police et des câbles solides en caoutchouc. Des décharges électriques sont provoquées par des câbles de démarrage de voitures attachés aux victimes par le moyen de pinces. Selon Manfred Nowak, la torture est appliquée pour arracher des aveux ou des informations des détenus, mais parfois aussi seulement pour les intimider et les punir et leur extorquer de l'argent. Le rapporteur spécial de l'ONU a également déploré les lieux de garde à vue qui sont "dans un état déplorable" avec "des cellules sales, humides" et qui "manquent d'installations sanitaires et de matelas. Il n'y a pas de toilettes et les détenus urinent dans des bouteilles et font leurs besoins dans des sacs en plastique. Il a également précisé que beaucoup de personnes sont détenues en garde de vue bien au-delà du délai de 72 heures stipulé par la loi. Certains détenus sont attachés avec des chaînes pratiquement 24 heures par jour. Manfred Nowak indique ne pas avoir eu accès aux installations militaires et dénoncé un système judiciaire complètement corrompu et où l'impunité est totale. (Reproduction interdite)

Mercredi 9 décembre 2009 : Le président sortant, Teodoro Obiang Nguema (67 ans), arrivé au pouvoir en 1979, à la suite d'un coup d'Etat, a prêté serment mardi 8 décembre 2009 pour un nouveau mandat de 7 ans après avoir remporté l'élection présidentielle du dimanche 29 novembre 2009 avec 95,37 % des voix. Dans son discours d'investiture, il a promis la continuité dans son programme afin de conduire le pays, troisième producteur de pétrole d'Afrique subsaharienne, vers "la paix, la stabilité et le développement économique". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 18 décembre 2009 :Le président Teodoro Obiang Nguema, au pouvoir depuis 1979 et réélu pour un nouveau mandat de 7 ans lors de l'élection présidentielle du dimanche 28 novembre 2009, a limogé par décret jeudi 17 décembre 2009 le directeur général de la présidence en charge de la démocratie, José Esono Edong, et le directeur du cabinet civil de l'épouse du président, Nicanor Ondo Monsuy, pour "irrégularités flagrantes". Aucune autre précision n'a été fournie par la présidence. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 16 janvier 2010 : Le premier ministre, Ignacio Milam Tang (69 ans) qui a donné sa démission mardi 12 janvier 2010 avec celle de son gouvernement, a été reconduit dans ses fonctions par le président Teodoro Obiang Nguema, qui a prêté serment le 8 décembre 2009 après avoir été réélu lors de l'élection présidentielle du 28 novembre 2009 pour un nouveau mandat de 7 ans. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 16 août 2010 : 11 personnes sur les 23 jugées depuis le 15 juin 2010 ont été condamnées samedi 14 août 2010 à des peines de prison allant de 6 mois à 21 ans, pour "faux, malversations de fonds publics, appropriation illicite", par la Cour d'appel de Malabo. Les personnes condamnées, accusées de détournement de fonds publics évalués à 3,8 millions d'euros, doivent également rembourser les sommes détournées. Un député du parti au pouvoir (Parti démocratique de Guinée équatoriale, PDGE), Martin Nzeng Monsuy, figurait parmi les accusé. Il a été condamné à 19 ans de prison. Il avait reconnu avoir reçu 5 millions de FCFA (7 600 euros) d'un autre accusé. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Vendredi 15 juillet 2011 :

GUINEE EQUATORIALE - Création par l'Union africaine d'un Prix Jacques Diouf

Mercredi 19 octobre 2011 N° 3045/24441

GUINEE EQUATORIALE - Référendum sur la réforme constitutionnelle convoqué pour le 13 novembre 2011

Mercredi 16 novembre 2011 N° 3069/24465

GUINEE EQUATORIALE - L'opposition rejette les résultats du référendum sur la Constitution

Climat
Tropical, toujours chaud et humide.
Code ISO
GQ
Devise nationale
Unité, Paix, Justice.
Drapeau
Le drapeau de la Guinée Equatoriale
Offre n° 2

Economie
Pétrole. Petits gisements d'or, de manganèse et d'uranium encore inexploités. Bois, cacao, café.
Fête nationale
12 octobre (1968, indépendance).
Langue officielle
Espagnol et français.
Liens
Site officiel de la République de Guinée équatoriale
Ambassade de France à Malabo
Le portail de la Guinée Equatoriale
Drapeau, hymne national, heure locale
Le parc national de Monte Alen.
La justice constitutionnelle en Guinée Equatoriale : histoire et perspectives
Médias
L'actualité en Guinée Equatoriale
Offre n° 3

Monnaie
Franc CFA.
Partis politiques
CSDP : Parti de la Convergence pour la Démocratie Populaire
PDGE : Parti Démocratique de Guinée Equatoriale
PPGE : Parti du Progrès de Guinée Equatoriale
APGE : Action Populaire de Guinée Equatoriale
UP : Union Populaire
UDI : Union des Démocrates Indépendants
Population
Equato-Guinéens.
487 000 habitants.
Bioko (Bubi et Fernandinos) et Rio Muni (Fang) 99 %, Européens (principalement Espagnols) 1 %.
Principales villes
Malabo, Acalayong, Evinayong, Bata, Luba.
Offre n° 4

Religion
Catholiques (90 %), rites païens (1 %).
Situation géographique
La Guinée Equatoriale est composée de cinq îles plus une partie continentale qui a des frontières avec le Cameroun et le Gabon.
Statut
Bien qu'elle ait le statut de démocratie constitutionnelle et pluraliste depuis 1991, la Guinée Equatoriale bafoue encore les droits des partis d'opposition où de nombreux chefs de parti sont arrêtés. Les résultats des élections présidentielles de 1996 et législatives de 1999 ont été contestés par les observateurs internationaux. Président : Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (depuis 3 août 1979 après un coup d'état militaire). Chef du gouvernement : Vicente Ehate Tomi (depuis le 22 mai 2012).
Superficie
28 051 km2
Webcam
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Offre n° 5



 

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