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vaut mieux hasarder de
sauver un coupable
que de condamner un
innocent."
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1694 - 1778
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adresse email pour ce service est : redaction@fil-info-france.com
Correspondance
suisse de Cedric
Morgenstern
MARC-ETIENNE BURDET,
PRISONNIER POLITIQUE AU
"PROCES-BIDON"
D'APPEL-AU-PEUPLE - 9
novembre 2008
Contrairement à Gerhard
ULRICH, fondateur
d'APPEL-AU-PEUPLE,
l'Association qui
dénonce les
dysfonctionnements de la
justice en Suisse,
Marc-Etienne BURDET, son
bras droit, n'a pas opté
pour la clandestinité.
Il a préféré assumer
une peine totalement
délirante de 18 mois de
prison ferme pour avoir
osé exprimer
publiquement ses opinions
politiques, ce qui est
parfaitement légal selon
la Constitution
Fédérale, mais
manifestement pas à la
convenance de certains
membres de l'appareil
judiciaire suisse, qui
ont intenté en 2006 à
l'Association
APPEL-AU-PEUPLE, le
"procès-bidon
truqué" que l'on
connaît. Incarcéré
depuis le 2 octobre 2008
dans la cellule 6320 de
la Prison de la Croisée
à Orbe, Marc-Etienne
BURDET a immédiatement
entamé une grève de la
faim.
De son côté,
l'Association
APPEL-AU-PEUPLE poursuit
sans relâche son action
sur internet en dépit de
la censure dont est
frappé son site (Pour
contourner cette censure
illégale, taper
http.//www.c9c.net/appel-au-peuple).
Le dernier message qu'on
peut y lire, daté du 31
octobre 2008, laisse
songeur. Il est adressé
à "Feu Thierry de
Haller, Commandeur de
l'Ordre de St.-Jean, dans
son au-delà" avec
copie "à la Cour
Européenne des Droits de
l'Homme, à
www.swissjustice.net et
aux délinquants
judiciaires
concernés". Il
s'intitule :
"Pardonne-nous nos
offenses comme nous
pardonnons à ceux qui
nous ont offensés".
"Monsieur le
Commandeur, écrit
Gerhard ULRICH, Noël
2006 : Sorti depuis 3
jours de l'hôpital suite
à mon 2ème infarctus,
je venais d'assister au
culte du temple de
Morges. Soudain, vous
m'avez accosté par
derrière, vous avez
saisi ma main droite :
"Est-ce que nous ne
pouvions pas faire la
paix ? m'avez-vous
demandé. Malgré l'effet
de surprise, je vous ai
instantanément reconnu.
Pris de court, j'ai
hésité un moment. En
effet, nous venions de
prier ensemble le
"Notre Père".
J'ai toujours ressenti le
passage
"Pardonne-nous nos
offenses comme nous
pardonnons aussi à ceux
qui nous ont
offensés" comme le
plus essentiel de cette
prière. Votre
proposition me prenait
alors de court, me posait
un dilemme. Après un
petit moment
d'hésitation, pendant
lequel vous teniez
toujours ma main, je vous
ai répondu par une autre
question : "Faire la
paix, après tout ce que
votre épouse et
vous-même m'avez causé
?" et je me suis
libéré de votre emprise
pour pouvoir sortir du
temple. J'ai repensé
souvent à cet incident,
après avoir appris que
vous aviez été frappé
à votre tour par un
infarctus, qui vous a
coûté votre vie 5 mois
plus tard, le 21.05.2007.
La question m'est restée
en travers jusqu'à ce
jour : aurais-je manqué
une opportunité dans ma
vie ? Je me souvenais
aussi de la remarque de
l'un de vos frères
Francs-maçons de jadis,
que vous aviez un bon
coeur, contrairement à
votre épouse, la
"juge" Sorel de
Haller. En effet, elle a
développé son énergie
criminelle dans d'autres
cas. Voir
www.swissjustice.net/affaires/vd106_ghelmini/vd106_fr.html.(...).
Co-plaignant au
"procès-bidon
truqué"
d'APPEL-AU-PEUPLE,
initié par l'avocat
lausannois Paul MARVILLE,
Thierry de HALLER est
effectivement mort
subitement à l'âge de
58 ans mais il n'est pas
le seul mort parmi les
personnes qui en veulent
à l'Association. A
l'instar de l'avocat Paul
MARVILLE et de tous les
autres plaignants,
Thierry de HALLER avait
menti, ce que les
accusés, condamnés à
tort dans ce
"procès-bidon
truqué" avaient pu
clairement démontrer
sans pour autant être
entendus du Président
Pierre-Henri WINZAP,
assisté des juges
Elisabeth VERMEIL,
Georges BORER et
Jewan-François
VUILLEUMIER tous quatre
complices des
dénonciations
calomnieuses de leurs
confrères du Barreau
vaudois et du Barreau
fribourgeois. Un peu plus
loin, Gerhard ULRICH
poursuit dans son message
:
"Avec le recul, je
peux vous pardonner les
éléments injustifiés
de votre plainte contre
moi. Après tout, je me
soustrais à l'exécution
de toutes les peines
(règlement de comptes de
la mafia judiciaire) et
je mène aujourd'hui le
combat contre les
dérapages des hommes de
loi dans la
clandestinité. Hélas,
j'ignore si Marc-Etienne
Burdet peut faire de
même, car lui paie un
prix très fort pour
avoir osé attaquer
l'immonde. (...).
Ce message surprenant
songeur. Il ne ressemble
pas aux précédents.
Certes, les méthodes
d'APPEL-AU-PEUPLE ont
radicalement changé mais
tout indique que
l'Association dispose
aujourd'hui de nouvelles
forces et de sérieux
atouts pour poursuivre
efficacement son combat
contre les
"délinquants
judiciaires" en
Suisse.
Cedric
Morgenstern
Correspondant www.fil-info-france.com
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