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POLITIQUE INTERNATIONALE

AFRIQUE


De notre correspondant,
Hamadoun DICKO



Attitude de certaines femmes intellectuelles lors des cérémonies de mariage - 1er juillet 2007



I- Introduction

Le mariage de tous les temps et à toutes les époques a été la base fondamentale de toute communauté.

Du mariage naissent les familles, les tributs, les communautés, les peuples et les nations. Tirant profit de cette union que l’on considères comme sacrées à travers les cérémonies rituelles, les alliances dans notre communauté constituent la base essentielle d’une solidarité sans faille de la cohésion sociale dans notre pays. Le "sinankounya" et les laydu ( cousinage et pacte) sont cause d’une parfaite symbiose au sein de notre société. La cohabitation à travers ces sinankouya et laydu ont permis une coexistence multi–dimensionnelle de plusieurs valeurs socioculturelles ; laissant une tache indélébile dans notre mode de vie quotidienne : "la fierté et l’orgueil" donne le rage de faire croître la valeur originelle dans une société multi-civilisationnelle.

Le Mali, pays de mille civilisations et cultures a dans l’histoire des peuples marqué sa supériorité par un brassage culturel ayant permis à chaque couche sociale de bénéficier d’une des valeurs qui la compose. Etant à prédominance islamique, cette nation tire ses valeurs sociales et culturelles d’un passé basé sur le "bonya" (le respect de soi-même) ayant permis la naissance d’un civilisation à multiples caractéristiques.

De l’époque islamico-animiste ajouté à la phase de christianisation, le Mali dans son essence demeure à nos jours à travers alliance et pactes la nation la plus stable de la sous région.

Les cérémonies sont multiples et diverses et méritent une sérieuse valorisation, parce qu‘elle reflètent un maillon essentiel de notre communauté " la solidarité et l’entraide ayant permis une stabilité sociale donnant l ‘aspect d’un paradis d’amour malgré la pauvreté qui bas son plein.

Victime quelquefois de son passé, malgré les guerres tribales , le Mali est aujourd’hui bénéficiaire des alliances et des pactes de paix constituantes essentielles de nos valeurs culturelles. Il est aujourd’hui grand et riche surtout par sa culture. Que serait le Mali d’aujourd’hui sans ces alliances et pactes ? ce bref aperçu de ce passé culturel doit permettre de traiter ce phénomène qui pourtant malgré ces valeurs qui sont des acquis risque au fils du temps à travers les mutations sociales et l’encrage dans une autre valeur civilisationelle de nous faire perdre les fils définissant les valeurs de notre société. La société malienne est un tout en acceptation de soit-même et celui de l’autre. La conjoncture économique et le tournant décisif des concepts des nouvelles politiques économique voit univers sociale sous un autre angle qu’il ne puis refléter.

"Le Mali, notre Mali est grand, il est riche ; grand il est par sa géographie et son histoire, riche, il l’est par sa population variée. La sagesse bamanan ramasse l’activité spécifique et rationnelle en six axes fondamentaux :

- Nous pensons
- Nous parlons
- Nous agissons
- Nous nous rencontrons les uns et les autres
- Nous nous reposons les uns sur les autres
- Nous ne faisons rien sans les autres
- Nous ne faisons rien sans raisons.

La racine symbolique de la solidarité humaine, les activités proprement humaine, l’espace vital de l’homme, les jours de l’homme nous donnes des droits élémentaire à chaque composante de la personne humaine" : Monseigneur Julien Marie SIDIBE évêque de Ségou".

Notre société est définie par l’identité de l’être humain : mettre nos valeurs sociaux culturelles socioculturelles au dessus pour notre bien mettre et notre savoir être.

Le choix de ce thème "Attitude de certaines femmes intellectuelles dans le District de Bamako" donne beaucoup à réfléchir.

Qu’est ce que le District de Bamako ? une ethnie ? une race ? une propriété familiale ?

Le District peut se définir comme une capitale à caractère hybride abritant plusieurs ethnies, races et couches sociale dans le temps et l’espace a permis le mariage de plusieurs cultures, donc le District peut se définir comme un cadre civilisationnel ayant permis à chaque couche socio-ethnique de mettre en valeur les diversités culturelles. L’attitude de certaines femmes intellectuelles lors de cérémonies de mariage met en mouvement tout un mécanisme multiculturel quelque soit le degré d’intellectualisme dont on bénéficie. Dans ce District, plusieurs être se croisent, plusieurs civilisations existent, donc on ne peut définir le milieu intellectuel féminin qu'à travers les valeurs qu’il lui reflète. Les couches socio-ethniques définissant les à chacun donnent une logique de divergence et d’acceptation de différentes attitudes. La nouvelle donne économique internationale exige une autre éducation , donc un autre comportement peut être le facteur de dégradation de certaines de nos valeurs basées sur l’honneur, la dignité, l’orgueil et la solidarité. En axant la problématique des attitudes des femmes intellectuelles sur la base d’acte unitile ou nuisibles, nous risquons de biaiser les principes fondamentaux qui régissent nos valeurs socioculturelles. Pour beaucoup d’entre nous, intellectuels, nous trouvons ces attitudes extravagantes et excessives. En nous basant sur notre expression traditionnelle "togogniniya", notre société se définie par beaucoup de valeurs. De père en fils et de mère en fille, notre société, l’honneur et la dignité sont les principaux atouts de notre nature humaine.

L’histoire et les faits en sont les témoins.

Pour pouvoir définir ces attitudes, il faut pouvoir ressortir les différents comportements de ces femmes intellectuelles selon les couches sociales et les
ethnies. Savoir ce qu’elles pensent de ce qu’elles font. A cet effet il est nécessaire d’élaborer et d’administrer à un certain nombre de femmes intellectuelles dans un contexte multiculturel selon les catégories sociales : intellectuels riches, intellectuels aisés ( à moyens raisonnable) intellectuels à moyens limités, à cela, il faut obligatoirement tenir compte des composantes du District de Bamako. Comment savoir que cet problème est un handicap ou un facteur de développement économique et social de notre communauté à civilisation hybride de notre District. Tel doit être le principal objectif de ce mémoire.

Tout en nous basant sur nos réalités cultuelles qui sont d’origines diverses, l’attitude ou le comportement de qui que ça soit peut-il réellement refléter l’intellectualisme ou la profanie ? la réalité intellectuelle dans notre chère capitale dont peut être 20 % de sa population peut-elle constituer une élite capable de modifier les comportement ou les attitudes dans les différents milieux ?

Ces femmes soit disant intellectuelles, peuvent-elles faire fi à ce qui reflète une nation toute entière ? comment doivent –elles se comporter pour éviter ce que l’on qualifie d’extravagant ? A notre avis, elles risquent de se voire marginaliser dans une société dont les réalité sont basées sur l’orgueil, l’honneur, la fierté et la dignité.

L’envie de paraître est pour bon nombres d’entre nous la cause essentielle de l’attitude de la plupart d’entre elles, par contre les raisons de la conjoncture oblige la plupart d’entre elles à s’effacer d’une étape vitale par laquelle tout être souhaiterait passer : "le mariage".

Le mariage : cérémonie rituel et sacrée mérite pourtant un grand sacrifice parce qu’il est un passage obligé pour la constitution d’une base sociale : "se marier, c’est sauver". cet événement selon le milieu définie la solidarité sans faille dans une société dans laquelle, la contribution est condition sine qua non pour mieux aider les couples. Son principal facteur économique est "l’économie sociale solidaire". exemple : une fille ou un garçon dont les parent ont beaucoup contribué lors des cérémonies de mariage se voient rétribuer à sa juste valeur quelque soit son statut social.

Ce thème peut être traiter sous plusieurs angles et plusieurs aspects, mais nous allons spécialement orienter notre recherche sous trois angles :

- les femmes intellectuelles riches ,
- les femmes intellectuelles aisées ;
- les femmes intellectuelles à moyens limités.

Ces trois catégorie pourrons permettre de définir les différentes attitudes savoir le pourquoi et le comment.

Les trois aspects seront basés sur :

- l’honneur ;
- le remboursement ;
- l’orgueil ;

la démarche méthodologique définira de manière assez précise les différentes attitudes sans biaiser les réalités reflétant les différents milieux socioculturels nous concernant. A cet effet, il est nécessaire de faire une analyse logique des différentes composantes du District de Bamako.

Ce document comportera trois chapitres :

I – le mariage dans notre société à travers ses valeurs socioculturelles dans sa généralité ;
II- l’attitude des femmes intellectuelles par rapport au déroulement des cérémonies de mariage dans leur milieux respectifs ;
III- la vision des femmes intellectuelles par rapport au déroulement des cérémonies de mariage dans le district de Bamako.

Ces trois aspects peuvent servir d’hypothèse et doivent permettre de faire des proposition de solution à ce que l’on peut appeler "le mal nécessaire" : le mariage.



Hamadoun DICKO


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