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Le drapeau du Niger



Offre n° 1



 
 


Offre n° 2

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La situation géographique du Niger
 
Nom officiel
République du Niger
Administration
Le Niger est divisé en 7 départements et 1 district* : Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Niamey*, Tahoua, Tillaberi, Zinder. Voir la carte administrative du Niger. Voir la carte détaillée du Niger.
Capitale
Nyamey.
Chronologie politique
Du Xème siècle au début du XIXème siècle : Les Etats haoussa islamisés dominent le Niger méridional, époque à laquelle ils sont soumis par la guerre sainte des Peul menés par Ousman dan Fodio. Les Songhaïs exercent une forte influence sur la vallée du fleuve durant la dernière partie du Moyen Age, tandis que l'empire de Kanem-Bornou domine la frontière orientale.

A partir du XIème siècle :
Les Touaregs arrivent par vagues dans l'Aïr, se répandent dans l'Azawak et commencent à lancer des raids sur les sédentaires du Sud.

XVème siècle :
Les Touaregs établissent un sultanat à Agadez.

Entre 1883 et 1901:
Les Français entrent dans la région et provoquent la dissolution du puissant empire de Sokoto.

1900 :
Les Français font du Niger un territoire militaire administré à partir de l'ancien sultanat de Zinder.

1922 :
Le Niger devient une colonie française, administrée à partir de Niamey pour rééquilibrer les pouvoirs économiques et politiques locaux, diminuer le poids de la communauté haoussa de Zinder ainsi que l'influence du nord du Nigeria, une région riche et peuplée. Le pays est intégré au sein de la fédération de l'Afrique occidentale française.

1946 :
Le Niger devient un Territoire d'outre-mer.

1958 :
Le Niger est une République autonome au sein de la Communauté française (ou communauté franco-africaine), malgré une campagne pour le "non" au référendum de Djibo Bakary, opposé au chef du gouvernement Hamani Diori, élu président du Conseil par une Assemblée constituante.

3 août 1960 : L
e Niger accède à l'indépendance. Hamani Diori est élu président par l’Assemblée nationale, sous régime de parti unique. Djibo Bakary, contraint à l'exil à la veille de l'indépendance, perpètre un coup d'Etat qui n'aboutit pas.

Avril 1965 :
Hamani Diori échappe à une tentative d'assassinat.

1965 :
Hamani Diori est réélu, soutenu par le Parti progressiste nigérien (PPN), qu’il avait fondé à partir de la section nigérienne du Rassemblement démocratique africain (RDA).

1968 :
Les Français ouvrent les mines d'uranium.

1973 :
Une grave sécheresse touche le Niger, affectant principalement les tribus nomades.

15 avril 1974 :
Hamani Diori, accusé de corruption, est renversé par un coup d'Etat perpétré par le lieutenant-colonel Seyni Kountché et est exilé dans l'est du pays.Seyni Kountché interdit les partis politiques.

Fin 1983 :
Coup d'Etat manqué contre le colonel Kountché.

10 novembre 1987 :
Mort à Paris en France du colonel Kountché, le colonel Ali Seibou le remplace. Il libère l'ancien président Hamani Diori.

2 août 1988 :
Création d’un parti unique, le Mouvement national de la société de développement (MNSD).

1989 :
Ali Seibou est réélu après le vote d'une nouvelle constitution qui ramène le pouvoir civil, mais avec toujours un parti unique.

1990 :
Grèves et manifestations. Ali Seibou légalise les partis d'opposition.

2 mars 1990 :
Aliou Mahamidou est nommé premier ministre.

7 mai 1990 :
Violents affrontements mortels entre Touaregs et l'armée nigérienne. Les Touaregs réclament un partage plus équitable des richesses.

Septembre 1990 :
La France renonce à une créance de 275 millions de dollars sur le Niger.

15 novembre 1990 :
La Constitution est révisée.

Avril 1991 :
Le multipartisme est autorisé.

Du 2 juillet au 3 novembre 1991 :
Ouverture d'une Conférence nationale visant à préparer la transition démocratique et organiser des élections.

3 novembre 1991 :
Fin de la Conférence nationale. Nomination d'Amadou Cheffou au poste de premier ministre de transition avec des pouvoirs étendus. Il forme un gouvernement le 7 novembre 1991 qui durera jusqu'au 31 janvier 1993.

23 mars 1992 :
Le premier ministre de transition Amadou Cheffou dissout le gouvernement.

22 juillet 1992 :
Le Niger reconnaît Taïwan, ce qui entraîne la rupture des relations diplomatiques avec la Chine.

Février 1993 :
Des élections générales voient la victoire de l'Alliance des forces du changement (AFC).

Mars 1993 :
Lors de l'élection présidentielle, Mahamane Ousmane, chef d'un parti membre de l'AFC, est élu Président avec 55 % des suffrages.

1994 :
Nouveaux affrontements meurtriers entre la rébellion touareg et l'armée.

17 octobre 1994 :
Le parlement est dissous.

12 janvier 1995 :
L'opposition remporte les élections législatives.

7 février 1995 :
Amadou Cissé est nommé premier ministre. Il est remplacé le 21 par Hama Hamadou.

24 avril 1995 :
Le gouvernement et 6 mouvements de la rébellion touareg signe un accord de paix qui met fin à 5 ans de conflit.

27 janvier 1996 :
Coup d'Etat militaire. Le colonel Ibrahim Baré Maïnassara prend le pouvoir et organise, au sein d'un Conseil de salut national, l'adoption d’une nouvelle constitution de type présidentiel.

30 janvier 1996 :
Le Conseil de salut national nomme un premier ministre civil, Boukary Adji.

8 juillet 1996 :
Le Colonel Ibrahim Baré Maïnassara est proclamé président par la junte militaire lors de l'élection présidentielle face à Mahamane Ousmane. L'opposition dénonce des fraudes.

23 novembre 1996 :
Les élections législatives donnent la victoire au parti présidentiel. L'opposition conteste le résultat du scrutin.

12 décembre 1996 :
Le Conseil de salut national est dissous.

Avril 1999 :
Le colonel Ibrahim Baré Maïnassara est assassiné par des membres de sa garde personnelle. Le commandant Daouda Mallam Wanké, chef de la Garde présidentielle, qui a qualifié cette mort de "malencontreux accident", est nommé chef de l'Etat par un Conseil de réconciliation nationale composé uniquement de militaires. L'armée, qui avait promis de rendre le pouvoir aux civils, interdit les partis politiques et confirme la tenue d'un référendum constitutionnel en juin et d'une élection présidentielle au suffrage universel à la fin de l'année.

9 août 1999 :
Une nouvelle constitution est promulguée.

24 novembre 1999 :
Le colonel à la retraite, Mamadou Tandja est élu président au second tour de l'élection présidentielle avec 59 % des suffrages face au président du parlement dissous, Mahamadou Issoufou.

31 décembre 1999 :
Hama Hamadou est nommé premier ministre.

Mardi 21 mai 2002 :
Le chef de l'opposition, Parti Nigérien pour l'Auto-gestion, Sanoussi Jakou, a été arrêté il y a trois jours pour diffamation à l'encontre du ministre du commerce lors d'un débat à la radio et jeté en prison. Les associations de défense des droits de l'homme ont appelé à une manifestation en faveur de la libération du chef de l'opposition.

Mardi 6 août 2002 : Après la mutinerie d'un certain nombre de soldats nigériens qui avaient pris en otage une dizaine de personnes, dont le préfet, à Diffa, le mouvement s'est étendu à tout le pays et à la capitale Nyamey où la garde présidentielle a, selon le ministre de la défense, réussit à contenir les mutins. Les soldats réclament le paiement de leurs arriérés de salaire qu'ils ne touchent plus depuis des mois. Ils ont déclaré qu'ils se battront jusqu'aux derniers. Le gouvernement a fait publier un décret stipulant que tout journaliste ou correspondant de presse qui parlerait de cette mutinerie serait poursuivi. Un correspondant de RFI a été arrêté pendant quelques heures puis relâché.

Vendredi 9 août 2002 : Selon les autorités, l'armée a repris le contrôle de toutes les zones tombées aux mains des militaires mutins sauf la garnison de Ngourti, où les offensives se poursuivent. On ne connaît pas le nombre des victimes. Le gouvernement a mis en garde la presse : tout journaliste qui traitera encore de cette mutinerie sera poursuivi risquant soit la perte de son accréditation soit la prison.

Vendredi 4 avril 2003 : 10 000 personnes ont manifesté à Nyamey pour montrer leur opposition à la guerre en Irak. C'est la première fois qu'au cours d'une manifestation étaient réunies les organisations de défense des droits de l'homme et les associations religieuses. Les deux premières manifestations contre la guerre en Irak avaient été purement et simplement interdites par les autorités.

Jeudi 17 avril 2003 : Le président Mamadou Tandja a décidé de prendre des mesures répressives à l'encontre des magistrats qui commettent "de graves irrégularités qui dépassent le seuil du tolérable". Il a annoncé des sanctions immédiates pour "tout magistrat pris en flagrant délit". Le syndicat autonome des magistrats a expliqué que cette situation provenait de "la précarité des moyens mis à la disposition de la justice".

Mercredi 7 mai 2003 :
Le principal syndicat du pays, Confédération Démocratique des Travailleurs du Niger (CDTM), a lancé lundi un appel à la grève d'une semaine. L'administration du Niger sera entièrement paralysée : enseignement, santé et douanes (qui rapporte 15 milliards de francs CFA à l'économie nigérienne) ont répondu à cet appel. Les grévistes protestent contre le non respect par le gouvernement des engagements depuis 2 ans concernant le paiement d'arrièrés de salaires, d'indemnités et de primes ou le système des retraites anticipées.

Samedi 10 mai 2003 : L'Assemblée nationale du Niger a voté lundi à une écrasante majorité le nouveau code pénal qui considère dorénavant comme un crime passible de 10 à 30 ans de prison ferme les pratiques esclavagistes. Ilguilass Weila, président de Timidria, ONG qui lutte contre l'esclavage, a appelé les autorités judiciaires à appliquer la loi qui devrait punir quelque 580 000 "maîtres". Selon un rapport publié par cette organisation, 900 000 esclaves ont été identifiés dans les 8 régions du Niger, mais le chiffre pourrait atteindre le million.

Samedi 24 mai 2003 :
3 gendarmes qui avaient torturé deux hommes soupçonnés d'avoir volé un vélo ont été condamnés vendredi à des peines allant de 18 mois à 2 ans de prison et une amende. Une des deux victimes avait dû être amputée des mains et des pieds.

Jeudi 23 octobre 2003 : Le président français Jacques Chirac est arrivé mercredi à Nyamey pour une visite de 4 jours qui le conduira également au Mali, deux des pays les plus pauvres du monde afin "d'apporter aujourd'hui le témoignage d'amitié, d'estime et de solidarité du peuple français". Le président Chirac est accompagné des ministres de l'Agriculture Hervé Gaymard et de la Coopération Pierre-André Wiltzer, de parlementaires et d'une dizaine de chefs d'entreprise.

Mercredi 29 octobre 2003 : Le ministre de l'Hydraulique, de l'Environnement et de la Lutte contre la désertification, Adamou Namata, et l'ambassadeur de Chine au Niger, Sun Zhaotong, ont signé ce week-end à Nyamey, la capitale, un contrat portant sur un projet d'alimentation en eau de la ville de Zinder, à 950 km à l'est de Niamey. Une aide d'un montant de 48 milliards de F CFA sera débloquée par Pékin. Les travaux devraient débuter le 6 novembre prochain. Plus de détails : Le cycle de l'eau au Niger ; Quand l'eau devient toxique ; des enfants empoisonnés ; Niger, eau source de malheur ; Vivendi reine de l'or bleu au Niger ; Droit à l'eau potable au Niger, rapport de la FIDH (format pdf) ; L'eau au coeur de la lutte contre la pauvreté.

Mercredi 12 novembre 2003 : Le directeur et propriétaire de l'hebdomadaire "Le Républicain", Mamane Abou, incarcéré depuis le 5 novembre, a été condamné à 6 mois de prison ferme, à 300 000 F CFA d'amende (environ 450 euros) et 10 millions de F CFA de dommages et intérêts (plus de 15 000 euros) pour "diffamation" contre le chef du gouvernement Hama Amadou et le ministre des Finances Ali Badjo Gamatié, qu'il a décrit "dans son article comme des voleurs d'argent public", selon le ministre de la justice. Mamane Abou est également poursuivi pour "complicité de vol par salarié et recel de documents confidentiels" qui lui ont permis de rédiger un article paru en juillet dernier, qui révélait une affaire de "Paiement sans ordonnancement prélable" (PSOP) de 4 milliards de F CFA (6,1 millions d'euro) par le Trésor nigérien, et répertoriait de nombreux marchés publics accordés illégalement par les autorités, selon la rédaction du journal.

Vendredi 21 novembre 2003 : La Cour Internationale de Justice de La Haye a nommé jeudi deux juges, un Nigérien et un Béninois pour travailler avec une chambre de 5 juges de la CIJ chargés de tenter de résoudre le litige frontalier qui oppose le Bénin et le Niger, le long du fleuve Niger, essentiellement dans la perspective de recherches pétrolières, depuis presque 40 ans.

7 décembre 2004 : Mamadou Tandja est réélu pour un second mandat avec 65,5 % des suffrages.

Mercredi 28 juin 2006 : Le président Mamadou Tandja a limogé mardi 27 juin 2006 par décret le ministre de l’Education et le ministre de la Santé pour leur implication présumée dans des malversations relatives à des fonds européens destinés à l’éducation.

Samedi 2 juin 2007 : Le gouvernement du premier ministre Hama Amadou, en poste depuis décembre 2004, a été renversé jeudi 31 mai 2007 par le Parlement, pourtant largement dominé par la mouvance présidentielle, à la suite d'une motion de censure déposée par l'opposition qui visait à dénoncer "une justice à double vitesse", après le refus d'Hamas Amadou d’être auditionné par une commission d’instruction de la Haute cour de justice de la République qui enquêtait sur une affaire de détournements de fonds de quelque 4 milliards Francs CFA au ministère de l’Education (environ 6 millions d'euros). Selon la Constitution, le président doit nommer son Premier ministre parmi 3 personnalités choisies par la majorité parlementaire. Le chef de file de l’opposition Mahamadou Issoufou a invité le président Mamadou Tandja "à désigner un nouveau Premier ministre crédible (...) qui va promouvoir la bonne gouvernance, lutter contre la corruption et contre les détournements des deniers publics".

Vendredi 8 juin 2007 : Le nouveau premier ministre Seyni Oumarou (57 ans) a prêté serment sur le Coran jeudi 7 juin 2007 à Niamey, la capitale. Le chef du gouvernement précédent Hama Amadou, avait été renversé jeudi 31 mai 2007 à la suite d'une motion de censure votée par le Parlement où la mouvance présidentielle est pourtant majoritaire.

Vendredi 27 juillet 2007 : Le Niger a décidé mercredi 25 juillet 2007 d'expulser le directeur local du numéro un mondial du nucléaire civil, le groupe français Areva, Dominique Pin, sous l'accusation de financer les rebelles touareg du Mouvement des Nigériens pour la justice (MNJ). Selon Areva, "l'argent versé par le groupe Areva était destiné à financer la protection de ses salariés sur le site d'exploration d'Imouraren (nord), démarche qui relève du devoir de l'entreprise envers son personnel". Des milliers de personnes avaient manifesté samedi 21 juillet 2007 accusant la Libye et Areva de financer la rébellion touareg "avec pour but d'entretenir des troubles dans le nord en vue d'y empêcher toute prospection et exploitation minières et pétrolière". Après l'Etat, Areva est le premier employeur du Niger, où il exploite depuis 40 ans l'uranium dans le nord du pays.

Lundi 24 septembre 2007 : Le procureur général près la Cour d'Appel de Niamey, Adama Harouna, a déclaré vendredi 21 septembre 2007 à la télévision nationale que Moussa Kaka, directeur de la station privée Radio Saraounia, correspondant au Niger de Radio France Internationale (RFI) et Reporters sans frontières, arrêté le 20 septembre 2007 et placé en détention à Niamey, est "poursuivi pour atteinte à la sûreté de l'Etat" pour des liens présumés avec les rebelles touaregs du Mouvement des Nigériens pour la justice (MNJ), ajoutant : "Si l'intéressé n'est pas au service du MNJ, il est de connivence avec ce mouvement". Lire l'édition de Fil-info-france du samedi 22 septembre 2007 (Niger).

Lundi 24 décembre 2007 : 2 journalistes français, Thomas Dandois et Pierre Creisson, travaillant pour la chaîne de télévision franco-allemande "Arte", écroués vendredi 21 décembre 2007 ont été inculpés pour "intelligence avec des "bandes armées" et "atteinte à la sécurité de l'Etat". Ils risquent la peine de mort pour ce dernier chef d'inculpation. Ils sont accusés d'avoir enfreint l'interdiction de se rendre dans le nord du Niger pour réaliser un reportage sur la rébellion touareg du Mouvement des Nigériens pour la justice (MNJ) alors qu'ils étaient munis d'un visa et d'une autorisation de tournage pour un reportage sur la grippe aviaire. Le nord du Niger est strictement interdit aux journalistes depuis l’instauration, en août 2007, prolongée de 3 mois en novembre 2007, de "l’état de mise en garde", donnant des pouvoirs étendus aux militaires dans la zone. Leur avocat a dénoncé "un grave recul pour la liberté et l'état de droit".

Samedi 28 juin 2008 : L'ancien premier ministre, Hama Amadou, a été arrêté et placé en détention. Il est accusé d'avoir versé des pots-de-vin à un fonds spécial destiné à la presse nationale pour un montant qui avoisinerait 100 millions de francs CFA (152 000 euros). S'il est reconnu coupable, il pourrait renoncer à se présenter à l'élection présidentielle de 2009 dont il est donné favori.

Lundi 29 septembre 2008 : Moussa Kaka, directeur de la station privée Radio Saraounia, correspondant au Niger de Radio France Internationale (RFI) et Reporters sans frontières, arrêté le 20 septembre 2007 et placé en détention à Niamey, "poursuivi pour atteinte à la sûreté de l'Etat" pour des liens présumés avec les rebelles touaregs du Mouvement des Nigériens pour la justice (MNJ), et qui a bénéficié d'un non lieu qui lui a été notifié le 23 juillet 2008, est toujours en prison. Lire l'édition de Fil-info-france du samedi 22 septembre 2007 (Niger). Le président de l'audiovisuel extérieur de la France et président de RFI, Alain de Pouzilhac, s'est rendu la semaine dernière à Niamey pour solliciter la clémence du président Mamadou Tandja.

Mercredi 8 octobre 2008 : Moussa Kaka, correspondant au Niger de la radio française Radio France Internationale (RFI), et directeur de la station privée Radio Saraounia, inculpé et incarcéré le 26 septembre 2007 à Niamey pour "complicité d'atteinte contre l'autorité de l'Etat" en raison de ses liens présumés avec les rebelles touareg du Mouvement des Nigériens pour la Justice (MNJ), a été libéré de prison mardi 7 octobre 2008 après plus d'un an de détention, les charges ayant été requalifiées de crime à simple délit. Lire l'édition de Fil-info-France du 22 septembre 2007

Lundi 16 mars 2009 : En visite au Niger, au titre de président en exercice de l'Union Africaine, le chef de l'Etat libyen, Mouammar Kadhafi, s'est déclaré favorable "aux amendements des Constitutions africaines. Je suis pour la liberté de la volonté populaire, il faut que le peuple choisisse celui qui doit le gouverner, même pour l'éternité". Il a ajouté : "Ce que je voudrais dire, c'est qu'annuler ou supprimer tout article qui limite le mandat du président, ce n'est pas antidémocratique". Cette déclaration intervient alors que les partisans du président nigérien, Mamadou Tandja, souhaitent que ce dernier reste au pouvoir à la fin de son second mandat qui expire fin 2009. Une modification de la Constitution s'avère nécessaire, mais la majorité de la classe politique est opposée à toute modification de la constitution. Mouammar Kadhafi a également indiqué : "Si le peuple est d'accord avec les performances du programme d'un chef d'Etat, il peut lui demander de continuer un troisième, un quatrième et cinquième mandat" et a demandé à "l'opposition de ne pas s'y opposer", soulignant : "A supposer que la Constitution interdise à un président de briguer plus de 2 mandats et que le peuple dise 'moi je veux de ce président', est-il raisonnable de respecter le texte écrit sur un bout de papier et ne pas respecter la volonté populaire ?". Copyright www.fil-info-france.com/

Samedi 28 mars 2009 : Le président français Nicolas Sarkozy a terminé sa tournée de 2 jours en Afrique par le Niger, vendredi 27 mars 2009. Il a été accueilli à Niamey la capitale par le chef de l'Etat nigérien, Mamadou Tandja. Nicolas Sarkozy a déclaré au terme de sa visite de quelques heures que la France et le Niger "ont tourné la page des malentendus et se sont engagés dans un partenariat stratégique". 2 accords, l'un portant sur une aide budgétaire de 5 millions d'euros et l'autre de 11 millions d'euros pour l'aménagement de la vallée de Badaguichiri dans la région de Tahoua (nord-est du pays) ont été signés. Cette visite fait suite à l'accord signé début janvier 2009, après de longues négociations, entre le gouvernement nigérien et le groupe nucléaire français, Areva, qui va investir 1,2 milliard d'euros au Niger pour exploiter le deuxième gisement d'uranium au monde, à Imouraren dans le nord du pays. Le gouvernement de Niamey détiendra un tiers de cette mine, qui devrait produire 5 000 tonnes d'uranium par an à partir de 2012. Une association touareg et une ONG allemande de défense des droits de l'homme ont annoncé qu'elles entamaient des poursuites contre le groupe français et un de ses représentants locaux pour provocation à la discrimination, à la haine et à la violence raciales. Dans son interview à des journaux locaux, le président français a condamné sans appel les agissements du Mouvement nigérien pour la justice (MNJ), un groupe rebelle touareg actif depuis début 2007 et qui réclame un partage plus équitable des ressources du nord du pays. Il a déclaré : "Le Niger est une démocratie vivante dans laquelle il existe de nombreux canaux pour faire valoir son point de vue ou ses revendications sans avoir besoin de poser des mines. Il n'est pas acceptable que des individus ou des groupes prétendent défendre par les armes des idées ou des revendications qu'ils peuvent promouvoir par la voie des urnes". Copyright www.fil-info-france.com/

Lundi 27 avril 2009 :
L'ancien premier ministre, Hama Amadou, a été mis en liberté provisoire jeudi 23 avril 2009 par la Haute cour de justice après une demande formulée par ses avocats pour problème de santé. Incarcéré depuis le 26 juin 2008 dans une prison de Niamey la capitale, l'ancien premier ministre Hama Amadou est jugé pour détournement de fonds publics par une juridiction d’exception. Il est accusé d'avoir versé des pots-de-vin à un fonds spécial destiné à la presse nationale pour un montant qui avoisinerait 100 millions de francs CFA (152 000 euros). S'il est reconnu coupable, il pourrait renoncer à se présenter à l'élection présidentielle de 2009 dont il est donné favori. Le président de la Haute cour a indiqué qu'Hama Amadou ne devra "adopter aucune attitude arrogante et de provocation" et devra pouvoir "répondre à tout moment" aux convocations de la Haute cour en vue de "l'examen de la question au fond", et l'informer de tous ses déplacements. Copyright www.fil-info-france.com/

arti nigérien pour la démocratie et le socialisme, principal parti d'opposition, pour protester contre le projet de référendum constitutionnel du président Mamadou Tandja, qui lui permettrait de se maintenir au pouvoir. Selon la constitution adoptée en 1999, le chef de l'Etat ne peut pas briguer un troisième mandat consécutif. Son deuxième et dernier mandat expire le 22 décembre 2009. Copyright www.fil-info-france.com/

Jeudi 14 mai 2009 : Le principal mouvement armé touareg au Niger, MNJ (Mouvement des Nigériens pour la Justice) a annoncé mardi 12 mai 2009 qu'il ne déposerait pas les armes avant la tenue de négociations avec les autorités, qui devront se "dérouler sur un terrain neutre" sur ses "revendications politiques". Le président Mamadou Tandja avai rencontré dimanche 3 mai 2009 à huis clos à Agadez dans le nord du pays les représentants de 3 mouvements de la rébellion du Nord-Niger, en provenance de Tripoli, en Libye, auxquels il a promis une amnistie s'ils déposent les armes. Le gouvernement libyen a oeuvré pour l'ouverture du dialogue entre les Touaregs et le gouvernement nigérien. C'est la première fois qu'il se rendait dans la zone de conflit depuis plus de 2 ans. Copyright www.fil-info-france.com/

Mercredi 27 mai 2009 :
Le président Mamadou Tandja (71 ans), a dissout mardi 26 mai 2009 l’Assemblée nationale dans laquelle son parti, le Mouvement national pour la société de développement (MNSD), détient 88 sièges sur les 113 que compte le parlement. Cette décision n'a pas été justifiée par le président. L'Assemblée était en train d'examiner une lettre reçue du président Mamadou Tandja portant sur son projet de référendum constitutionnel visant à supprimer la limitation à 2 mandats fixés par la Constitution, ce qui lui permettrait de rester au pouvoir au-delà de son dernier mandat qui expire à la fin de l'année 2009. Ce projet a été rejeté lundi 25 mai par la Cour Constitutionnelle pour inconstitutionnalité. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 13 juin 2009 : La Cour constitutionnelle a annulé vendredi 12 juin 2009 le projet de référendum prévu le 4 août 2009 visant à amender la Constitution afin de permettre au président Mamadou Tandja de se présenter pour un troisième mandat. Selon la Constitution en vigueur, le mandat du président est limité à 2 mandats successifs. Ce projet de référendum a été rejeté lundi 25 mai par la Cour Constitutionnelle pour inconstitutionnalité. Le président Mamadou Tandja avait alors dissout l'Assemblée nationale et signé un décret le 5 juin 2009 autorisant la tenue d'un référendum. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Lundi 15 juin 2009 :
A l'appel du Front de défense de la démocratie (FDD), une coalition de partis, de syndicats et d'ONG, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues de Niamey la capitale dimanche 14 juin 2009 pour protester contre le projet de référendum décrété par le président Mamadou Tandja qui vise à supprimer la limitation de mandat afin qu'il puisse se rester indéfiniment au pouvoir. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 20 juin 2009 :
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a annoncé vendredi 19 juin 2009 que suite à l'annulation vendredi 12 juin 2009 par la Cour constitutionnelle du référendum prévu le 4 août 2009 visant à amender la Constitution afin de permettre au président Mamadou Tandja de se présenter pour un troisième mandat, des élections législatives anticipées se dérouleront le jeudi 20 août 2009. Ce projet de référendum a été rejeté lundi 25 mai par la Cour Constitutionnelle pour inconstitutionnalité. Le président Mamadou Tandja avait alors dissout l'Assemblée nationale et signé un décret le 5 juin 2009 autorisant la tenue d'un référendum. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Mardi 30 juin 2009 : Le président Mamadou Tandja a procédé lundi 29 juin 2009 à un remaniement de son gouvernement et limogé les 7 juges de la Cour constitutionnelle qui s'opposaient à son projet de référendum constitutionnel prévu pour le 4 août 2009. Mamadou Tandja s'est octroyé les pleins pouvoirs vendredi 26 juin 2009, après le refus de la Cour constitutionnelle d'avaliser son projet de consultation sur une nouvelle Constitution devant lui permettre de rester au pouvoir. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Vendredi 3 juillet 2009 : Le président Mamadou Tandja a nommé mercredi 1er juillet 2009 les nouveaux membres de la Cour constitutionnelle qu'il avait dissoute lundi 29 juin 2009, les 7 juges de la Cour constitutionnelle s'opposant à son projet de référendum constitutionnel prévu pour le 4 août 2009. Mamadou Tandja s'est octroyé les pleins pouvoirs vendredi 26 juin 2009, après le refus de la Cour constitutionnelle d'avaliser son projet de consultation sur une nouvelle Constitution devant lui permettre de rester au pouvoir. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Lundi 6 juillet 2009 : Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dimanche 5 juillet 2009 à l'appel du FDD, Front de défense de la démocratie, qui regroupe plusieurs partis politiques, syndicats et ONG, pour dénoncer la tenue du référendum prévu le 4 août 2009 visant à amender la Constitution afin de permettre au président Mamadou Tandja de se présenter pour un troisième mandat. La Cour constitutionnelle avait annulé le décret présidentiel le 12 juin 2009 après l'avoir rejeté le lundi 25 mai 2009 pour inconstitutionnalité. Le président Mamadou Tandja avait alors dissout l'Assemblée nationale et signé un décret le 5 juin 2009 autorisant la tenue d'un référendum. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Mercredi 5 août 2009 : Le référendum convoqué mardi 4 août 2009 par le président Mamadou Tandja, portant sur une révision constitutionnelle qui supprime la limitation de mandats du président, qui selon la constitution adoptée en 1999, ne peut pas briguer un troisième mandat consécutif, permettant ainsi au président Mamadou Tandja de se maintenir indéfiniment au pouvoir, a été suivi de heurts dans l'ouest du pays entre les opposants au président nigérien et les forces de l'ordre qui ont procédé à de nombreuses arrestations. Les résultats devraient être connus d'ici à 5 jours. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mercredi 19 août 2009 : Le président Mamadou Tandja a signé mardi 18 août 2009 un décret promulguant la nouvelle constitution adoptée par référendum en date du 4 août 2009 avec 92,5 % des voix, qui supprime la limitation de mandats du président, lui permettant ainsi de conserver indéfiniment le pouvoir. L'opposition avait dénoncé l'organisation de ce référendum estimant qu'il s'agissait d'un "coup d'Etat" du président. Cette promulgation a entraîné de fait la démission du premier ministre Seïni Oumarou et de son gouvernement. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 11 septembre 2009 : Le principal opposant au président Mamadou Tandja, Mahamadou Issoufou, a indiqué jeudi 10 septembre 2009, alors qu'il s'apprêtait à prendre l'avion pour Cotonou au Mali, que la police lui a retiré son passeport et lui a signifié qu’il figurait sur une liste de 124 anciens parlementaires désormais interdits de quitter le pays. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 24 octobre 2009 : Selon des résultats encore partiels publiés vendredi 23 octobre 2009, le Mouvement national pour la société de développement (MNDS, au pouvoir), a obtenu la majorité absolue lors des élections législatives qui se sont déroulées mardi 20 octobre 2009, boycottées par l'opposition. Le président Mamadou Tandja avait signé mardi 18 août 2009 un décret promulguant la nouvelle constitution adoptée par référendum en date du 4 août 2009 avec 92,5 % des voix, qui supprime la limitation de mandats du président, lui permettant ainsi de conserver indéfiniment le pouvoir. L'opposition avait dénoncé l'organisation de ce référendum estimant qu'il s'agissait d'un "coup d'Etat" du président. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Mardi 15 décembre 2009 : Une importante manifestation, regroupant plusieurs dizaines de milliers de personnes, s'est déroulée dimanche 13 décembre 2009 à Niamey la capitale, à l'appel de la Coordination des forces démocratiques pour la république (CFDR), une coalition de partis politiques, d'organisations de défense des droits de l'Homme et de syndicats, qui dénonce le coup d'Etat du président Mamadou Tandja, qui a obtenu par un référendum controversé de rester au pouvoir jusqu'en 2012. Les manifestants ont exhorté le président nigérien à quitter le pouvoir le 22 décembre 2009, date légale de la fin de son mandat. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

18 février 2010 : Mamadou Tandja est renversé par un coup d'Etat militaire mené par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou.

Mardi 23 février 2010 : Ali Sabo, vice-président du Mouvement national pour la société de développement (MNSD, ex-parti au pouvoir), a indiqué lundi 22 février 2010 que le président destitué à la suite d'un coup d'Etat militaire le jeudi 18 février 2010 mené par le colonel Djibrilla Hima Hamidou, est détenu dans une villa officielle luxueuse près du palais présidentiel. Les visites lui sont interdites, sauf celles de son médecin. Le colonel Djibrilla Hima Hamidou avait indiqué dimanche 21 février 2010 que la Croix Rouge avait été autorisées à lui rendre visite. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ? ** Le Conseil suprême pour la restauration de la démocratie (CSRD), junte militaire qui a pris le pouvoir jeudi 18 février 2010 à la suite d'un coup d'Etat militaire qui a destitué le président Mamadou Tandja, a annoncé lundi 22 février 2010 que le chef d'escadron, le commandant Salou Djibo, qui a mené le putsch, assurera les fonctions de président et de chef du gouvernement pour une "période de transition". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 1er mars 2010 : Le président du Conseil suprême pour la restauration de la démocratie (CSRD), junte militaire au Niger, Salou Djibo, s'est exprimé dimanche 28 février 2010 dans un discours à la Nation. Il s'est engagé à ce qu'aucun membre du CSRD et du gouvernement de transition ne soit candidat à la prochaine élection présidentielle qui sera organisée par la junte au pouvoir et a demandé à la communauté internationale de soutenir le processus de restauration de la démocratie au Niger. Un coup d'Etat militaire a été perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou, qui a annoncé la création d'un Conseil suprême pour la restauration de la démocratie (CSRD), la suspension de la Constitution, l'instauration du couvre-feu et la fermeture des frontières terrestres et aériennes. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 13 mars 2010 : Une ordonnance a été signée vendredi 12 mars 2010 par le chef de la junte militaire, le chef d'escadron, Salou Djibo, qui rend inéligibles les membres et le président du Conseil suprême de restauration de la démocratie (CSRD, junte), ainsi qu'au premier ministre et aux ministres du gouvernement de transition. Les gendarmes, les policiers, les agents des Forces nationales d'intervention et de sécurité, des Eaux et Forêts et les douaniers ne pourront pas se présenter aux élections. Un coup d'Etat avait été perpétré le 18 février 2010 destituant le président élu, Mamadou Tandja. Salou Djibo, qui a mené le putsch, avait été nommé président et chef du gouvernement le 22 février 2010 pour "une période de transition". Ce dernier avait désigné mardi 23 février 2010 Mahamadou Dan Dah au poste de Premier ministre. Salou Djibo s'était engagé, dimanche 28 février 2010 dans un discours à la Nation, à ce qu'aucun membre du CSRD et du gouvernement de transition ne soit candidat à la prochaine élection présidentielle qui sera organisée par la junte au pouvoir et a demandé à la communauté internationale de soutenir le processus de restauration de la démocratie au Niger. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 2 avril 2010 : Le Mouvement national pour la société de développement (MNSD), le parti du président déchu, Mamadou Tandja, déposé par un coup d'Etat militaire le 18 février 2010, a annoncé jeudi 1er avril 2010 que 17 personnalités proches du président déchu, dont plusieurs anciens ministres, arrêtées dimanche 28 mars 2010, ont été accusées "d’atteinte à la sûreté de l’Etat" et placées en détention. Le MNSD a demandé "la libération immédiate et sans condition" des personnes "illégalement détenues". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Jeudi 6 mai 2010 : La junte militaire dirigée par le commandant Salou Djibo, au pouvoir depuis le 18 février 2010 suite à un coup d'Etat militaire qui a renversé le président Mamadou Tandja, a annoncé mercredi 5 mai 2010 qu'elle remettrait le pouvoir aux civils d'ici le 18 février 2011. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Lundi 2 août 2010 : Le général Salou Djibo, qui exerce les fonctions de président et de chef du gouvernement, à la suite d'un coup d'Etat militaire qui a destitué le 18 février 2010 le président Mamadou Tandja, a indiqué, samedi 31 juillet 2010, lors d'une rencontre à Niamey la capitale avec 200 représentants de partis politiques et de la société civile du Niger, que Mamadou Tandja et son ministre de l'Intérieur Albadé Abouba, détenus depuis le coup d'Etat dans une villa officielle luxueuse près du palais présidentiel, ne seront pas "relâchés". Le parti de l'ancien chef de l'Etat, le Mouvement national pour la société de développement (MNSD), a exigé vendredi "la libération immédiate et sans conditions" des 2 hommes. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Vendredi 1er octobre 2010 : La présidente du groupe nucléaire français, Areva, Anne Lauvergeon, a été reçue jeudi 30 septembre 2010 par le président du Conseil suprême pour la restauration de démocratie (CSRD) du Niger, le général de corps d'armée Salou Djibo, chef de la junte militaire qui a pris le pouvoir le 18 février 2010 par un coup d'Etat militaire qui a destitué le président Mamadou Tandja. Cette visite intervient à la suite de l'enlèvement de 7 employés d'Areva et de Vinci, dont 5 Français, jeudi 16 septembre 2010 à Arlit dans le nord du Niger, par le mouvement Al- Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). La présidente d'Areva a indiqué que le groupe ne quittera pas le Niger, troisième producteur mondial d'uranium. Elle a affirmé que "toutes les procédures de sécurité allaient être revues" et "vérifier s'il n'y a pas eu une complicité interne" lors de ces enlèvements. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

L'actu du Niger, jour après jour : Fil info Niger

Lundi 1er novembre 2010 : Référendum sur la nouvelle Constitution : 6,7 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 31 octobre 2010 pour se prononcer par référendum sur la nouvelle Constitution visant à un retour à la démocratie après le coup d'Etat militaire perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou et qui a destitué le président Mamadou Tandja. Lire l'édition du Fil-info-France du 19 février 2010 Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 4 novembre 2010 : Victoire du oui lors du référendum sur la nouvelle Constitution : Selon des résultats encore provisoires, le oui aurait l'emporté lors du référendum qui s'est tenu dimanche 31 octobre 2010 portant sur l'adoption d'une nouvelle Constitution. Le taux de participation est de 53 %. visant à un retour à la démocratie après le coup d'Etat militaire perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou et qui a destitué le président Mamadou Tandja. Lire l'édition du Fil-info-France du 19 février 2010 Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?


Mardi 16 novembre 2010 : L'opposition au président Mamadou Tanja demande à la junte militaire d'inculper le président déchu de "haute trahison" : La Coordination des forces démocratiques pour la République (CFDR), créée en 2009 par les opposants au président Mamadou Tandja, ont demandé lundi 15 novembre 2010 "aux autorités de la transition d'inculper l'ancien président de la République Mamadou Tandja pour tous les actes graves dont il avait été coupable" le déclarant également "coupable de haute trahison pour avoir violé son serment de 'respecter et de faire respecter la Constitution'". Mamadou Tanja a été destitué par un coup d'Etat militaire perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou et détenu depuis cette date "dans un local appartenant à l'intendance de la présidence et est gardé dans de très bonnes conditions". Lire les archives 2010 du Niger. Rappelons que la Cour de justice de la CEDEAO, Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest a ordonné lundi 8 novembre 2010 à la junte militaire au pouvoir à Niamey de remettre en liberté l'ancien président Mamadou Tandja, arrêté après un coup d'Etat militaire perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou. La Cour a indiqué : "Il semblerait que les droits de l'homme aient été bafoués dans le cas de Tandja". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 27 novembre 2010 : Promulgation de la nouvelle Constitution : Le chef de la junte militaire au pouvoir, le général Salou Djibo, a promulgué jeudi 25 novembre 2010 la nouvelle Constitution adoptée le 31 octobre 2010 à la suite d'un référendum qui a vu la victoire du oui avec plus de 80 % des suffrages, et qui instaure une VIIe République. Il s'agit du premier pas vers le retour à un régime civil. Des élections présidentielle et législatives sont fixées au 31 janvier 2011. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?


Mardi 11 janvier 2011 : Le ministre français de la Défense se rend au Niger après la mort de 2 Français tués lors d'une opération militaire française visant à les libérer : Le ministre d'Etat français, ministre de la Défense et des anciens combattants, Alain Juppé, a effectué lundi 10 janvier 2011 une visite à Niamey la capitale, où il a rencontré "les autorités nigériennes et la communauté française" après la mort samedi 8 janvier 2011 des 2 otages français, Antoine de Léocour et Vincent Delory, au cours d'une opération militaire française destinée à les libérer. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 17 janvier 2011 : L'ancien président Mamadou Tandja transféré dans une prison après son inculpation : L'ancien président Mamadou Tandja, destitué par un coup d'Etat militaire perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou et détenu depuis cette date "dans un local appartenant à l'intendance de la présidence et est gardé dans de très bonnes conditions", a été transféré dimanche 16 janvier 2011 à la prison civile de Kollo, près de Niamey la capitale après avoir été entendu par un juge, inculpé et placé sous mandat de dépôt. Les chefs d'accusation retenus contre lui n'ont pas été précisés. Cette arrestation intervient à moins de 2 semaines de l'élection présidentielle, fixée le lundi 31 janvier 2011, qui va mettre fin au régime militaire en vigueur. Lire les archives 2010 du Niger. Rappelons que la Cour de justice de la CEDEAO, Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest a ordonné lundi 8 novembre 2010 à la junte militaire au pouvoir à Niamey de remettre en liberté l'ancien président Mamadou Tandja, arrêté après un coup d'Etat militaire perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou. La Cour a indiqué : "Il semblerait que les droits de l'homme aient été bafoués dans le cas de Tandja". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?


Lundi 31 janvier 2011 : Premier tour de l'élection présidentielle : Près de 7 millions d'électeurs sont appelés aux urnes lundi 31 janvier 2011 pour le premier tour de l'élection présidentielle et pour élire leurs représentants à l'Assemblée nationale. 10 candidats sont en lice pour l'élection présidentielle visant à rétablir un régime civil après le coup d'Etat militaire du 18 février 2010 contre le président Mamadou Tandja. Le président, au pouvoir depuis 10 ans, avait dissous en mai 2009 le parlement afin de faire passer son projet de référendum constitutionnel visant à supprimer la limitation à 2 mandats fixés par la Constitution, lui permettant ainsi d'obtenir une prolongation de 3 ans de son mandat jusqu'en 2012. Le 25 mai 2009, la Cour constitutionnelle avait émis un avis négatif en déclarant le projet contraire à la Constitution. Le lendemain, le chef de l'Etat ordonnait la dissolution du Parlement, institution seule à même de le poursuivre pour haute trahison. Le 26 juin 2009, Mamadou Tandja s'octroyait les pleins pouvoirs. L'opposition avait alors organisé des manifestations et des grèves dénonçant "un coup d'Etat constitutionnel". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Vendredi 4 février 2011 : Mahamadou Issoufou et Seïni Oumarou s'opposeront lors du second tour de l'élection présidentielle le 20 mars 2011 : La Commission électorale a annoncé jeudi 3 février 2011 qu'après le dépouillement de près de 98 % des bulletins, le candidat du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme, Mahamadou Issoufou (59 ans), qui se présentait pour la cinquième fois, opposant au président Mamadou Tandja, et l'ancien premier ministre, Seïni Oumarou, candidat du Mouvement national pour la société de développement (MNSD), sont arrivés en tête du premier tour de l'élection présidentielle qui s'est tenue le 31 janvier 2011. Le second tour est fixé au dimanche 20 mars 2011. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France


Samedi 26 février 2011 : 3 des 7 otages occidentaux enlevés en septembre 2010, libérés : 3 des 7 otages occidentaux, 1 Togolais, 1 Malgache et 5 Français, collaborateurs des groupes français Areva et Satom, enlevés jeudi 16 septembre 2010 à Arlit au Niger, sur un site d'extraction d'uranium et transférés dans le désert malien par leurs ravisseurs, le mouvement Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) qui a revendiqué mardi 21 septembre 2010 l'enlèvement, ont été libérés jeudi 24 février 2011. Il s'agit de la Française Françoise Larribe, le Malgache Jean-Claude Rakotorilalao et le Togolais, Alex Awando, qui "sont tous en bonne santé", selon un communiqué de la présidence française. Une rançon aurait été versée. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Samedi 12 mars 2011 : Second tour de l'élection présidentielle : 6,7 millions d'électeurs sont appelés aux urnes samedi 12 mars 2011 pour le second tour de l'élection présidentielle qui opposera le candidat du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme, Mahamadou Issoufou (59 ans), qui se présentait pour la cinquième fois, opposant au président Mamadou Tandja, et l'ancien premier ministre, Seïni Oumarou, candidat du Mouvement national pour la société de développement (MNSD). Lors du premier tour qui s'était déroulé le 31 janvier 2011, Mahamadou Issoufou a obtenu 36,06 % des suffrages contre 23,24 % à son rival, Seïni Oumarou. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France


Samedi 9 avril 2011 : Le président Mahamadou Issoufou prête serment : Le président Mahamadou Issoufou, démocratiquement élu à l'issue du second tour de l'élection présidentielle du 12 mars 2011, a prêté serment jeudi 7 avril 2011 pour un mandat de 5 ans lors d'une cérémonie qui s'est déroulée à Niamey la capitale en présence de nombreux chefs d'Etat africains, dont le président du Sénégal, Abdoulaye Wade, de la Guinée, Alpha Condé, du Congo, Denis Sassou Nguesso, du Gabon, Omar Bongo Ondimba, et du Togo, Faure Gnassingbé. Le Conseil suprême pour la restauration de la démocratie (CSRD), junte militaire qui avait pris le pouvoir jeudi 18 février 2010 à la suite d'un coup d'Etat militaire qui a destitué le président Mamadou Tandja, avait promis de "rétablir la démocratie par des élections transparentes". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Jeudi 21 avril 2011 : L'ancien premier ministre Hama Amadou élu président du parlement : L'ancien premier ministre, Hama Amadou, a été élu mardi 19 avril 2011 lors d'une session extraordinaire du parlement, président de l'Assemblée nationale avec 103 voix des 104 députés présents. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Vendredi 22 avril 2011 : Le premier ministre prête serment : Le premier ministre Brigi Rafini, a prêté serment sur le Coran jeudi 21 avril 2011 à Niamey, devant l'Assemblée nationale, conformément à la Constitution nigérienne qui stipule dans son article 74 que le chef du gouvernement a pour obligation avant d'entrer en fonction de prêter serment sur le livre saint de sa confession. Il s'est engagé à respecter la Constitution, défendre la forme républicaine de l'Etat, travailler pour le bonheur du peuple nigérien, et défendre les droits humains. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France


Désertique. Chaud et sec avec des chutes de pluies quasi inexistantes.
Code ISO
NE
Devise nationale
Fraternité, travail, progrès.
Drapeau
Le drapeau du Niger
Economie
Bovins, ovins. Coton. Millet, sorgho, arachides. Uranium.
Fête nationale
3 août (1958, indépendance).
Langue officielle
Français.
Liens
Biographie du président Mamadou Tandja
La présidence du Niger
Biographie officielle du président Mamadou Tandja
Mouvement national pour la société de développement (MNSD-Nassara)
L'Ambassade de France au Niger
Lycée La Fontaine à Nyamey
Les Pages Jaunes du Niger
Le Niger par Denis qui y a vécu pendant 16 mois * Histoire, géo, économie, apprendre la langue Zarma, les enfants du Niger, etc.
Le Centre Biblique de Nyamey
Le Niger contre la pauvreté
Pratiques esclavagistes au Niger (en l'an 2000)
Solidarité Niger
Tourisme au Niger
Médias
Réseau des Journalistes pour les Droits de l'Homme
Le Républicain : Hebdomadaire nigérien indépendant
Alternative : bimensuel de réflexion et d'opinion
Stadium : bimensuel du sport et de la culture
Liste des médias du Niger
Offre n° 3

Monnaie
Franc CFA.
Partis politiques
RDP : Rassemblement Démocratique du Peuple
CDS-Rahama : Convention Démocratique et Sociale-Rahama
MNSD : Mouvement National pour une Société en Développement
Population
Nigériens.
10,3 millions d'habitants.
Hausa (56%), Djerma (22%), Fula (8.5%), Touareg (8%), Beri Beri (Kanouri) (4,3%), Arabe, Toubou et Gourmanche (1,2%). 1200 expatriés français.
Principales villes
Nyamey, Tessaoua, Djirataoua, Tahoua, Agadez, Loga.
Offre n° 4

Religion
Musulmans (80 %), Chrétiens et croyances indigènes (20 %).
Situation géographique
Etat enclavé de l'ouest de l'Afrique. Frontières avec l'Algérie, la Libye, le Tchad, le Nigéria, le Bénin, le Burkina Faso et le Mali.
Statut
Le processus de démocratisation commencé en 1992 a été interrompu par deux coups d'état, l'un en 1996 et l'autre en 1999. Président et chef du gouvernement : Mahamadou Issoufou (depuis le 7 avril 2011). Ancien président : Mamadou Tandja (22 décembre 1999-18 février 2010). Premier ministre : Brigi Rafini (depuis le 7 avril 2011).
Superficie
1 266 700 km2
Webcam
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A LIRE
L'extrême pauvreté au Niger : Mendier ou mourir de Patrick Gilliard (Auteur), Jean-Bernard Racine (Préface)
Niger, la magie d'un fleuve d'Eric Sellato
Niger 2005 : Une catastrophe si naturelle de Jean-Hervé Bradol (Postface), Xavier Crombé (Auteur), Jean-Hervé Jézéquel (Auteur)
Niger, le plus beau désert du monde : Sur la route des nomades - DVD - Thierry Caillibot


Offre n° 5



 

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