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Fil info Togo

Le drapeau du Togo



Offre n° 1



 


Offre n° 2

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La situation géographique du Togo
 
Nom officiel
République du Togo
Administration
Le Togo est divisé en 5 régions : De La Kara, Des Plateaux, Des Savanes, Du Centre, Maritime.
Capitale
Lomé.
Chronologie historique et politique

XVe siècle : les Portugais, puis les Danois, arrivent sur la côte du Golfe de Guinée.

XVIe siècle :
premiers missionnaires portugais. Commerce des esclaves florissant. Protectorat exercé par le Danemark.

1884 :
protectorat allemand du Togo établi par l'explorateur Gustav Nachtigal. Les plantations d'huile de palme sont développées.

1894-1914 :
protectorat allemand.

1897 :
Lomé devient la capitale du Togo.

Août 1914 :
les troupes françaises et britanniques s'emparent du Togo. Les Britanniques occupent les riches terres à cacao pendant toute la durée de la guerre.

Juillet 1919 :
convention du 10 juillet qui partage le Togo entre la France, qui obtient la côte de Lomé (55 000 km2), et les Britanniques, qui se voient attribuer les Terres de l'ouest (Togoland, 30 000 km2).

1922 :
la Société des Nations donnent des mandats à la France et la Grande-Bretagne.

1936 :
le Togo est intégré à l'Afrique-Occidentale française (AOF).

13 décembre 1946 :
le Togo passe sous la tutelle des Nations unies.

9 mai 1956 :
les territoires du nord du Togo britannique sont rattachés à la Côte de l'or, qui devient l'Etat indépendant du Ghana.

26 août 1956 :
fin du mandat britannique.

30 août 1956 :
proclamation de la République autonome du Togo. Nicolas Grunitzky, du Parti togolais du progrès (PTP) devient premier ministre.

27 avril 1958 :
élections sous le contrôle de l'ONU. Le PTP s'effondre. Sylvanus Olympio (du parti Comité d'unité togolaise, CUT) devient premier ministre.

27 avril 1960 :
proclamation de l'indépendance du Togo français, le Togo britannique s'unit au Ghana.

Septembre 1960 :
le Togo est admis au sein de l’ONU.

9 avril 1961 :
élection présidentielle. Sylvanus Olympio devient le premier président du Togo, au détriment de son rival, soutenu par la France, Nicolas Grunitzky.

13 janvier 1963 :
Sylvanus Olympio est assassiné. Un comité insurrectionnel militaire prend le pouvoir, mené par Nicolas Grunitzky.

5 mai 1963 :
élections générales.

Novembre 1966 :
tentative de coup d'Etat.

13 janvier 1967 :
coup d'Etat militaire. L'armée suspend la constitution, dissout l'Assemblée.

14 avril 1967 :
le lieutenant-colonel Etienne Gnassingbé Eyadéma prend les rênes du pouvoir et instaure le régime de parti unique.

1974 :
nationalisation de l'industrie du phosphate.

1979 :
Etienne Gnassingbé Eyadéma est élu président.

1980 :
proclamation de la 3e République.

1982 :
début de la politique de privatisation et de baisse des dépenses publiques.

Janvier 1983 :
exode d'un million de Ghanéens chassés du Nigeria qui traversent le Togo lors de leur retour dans leur pays.

1985 :
série d'attentats à Lomé.

1985 :
tentative de coup d'Etat. Le Togo accuse le Ghana et le Burkina Faso d'implication. La frontière du Togo avec le Ghana restera fermée jusqu'en 1987.

1982 :
début de la politique de privatisation et de baisse des dépenses publiques.

Janvier 1983 :
exode d'un million de Ghanéens chassés du Nigeria qui traversent le Togo lors de leur retour dans leur pays.

14 janvier 1983 :
le président françois François Mittrrand effectue une visite officielle au Togo.

25 septembre 1986 :
la France accepte d'envoyer près de 200 militaires à Lomé à la demande du général Gnassingbe Eyadema.

1986 : l
e chef de l'opposition en exil, Gilchrist Olympio, est condamné à mort par contumace pour complicité de tentative de coup d'Etat en 1985.

21 décembre 1986 :
Gnassingbe Eyadema est réélu président pour un nouveau mandat de 7 ans avec 99,95 % des voix.

Juillet 1988 :
suppression des monopoles commerciaux.

Août 1990 :
nomination d'une commission pour élaborer une nouvelle constitution.

1991 :
grèves et manifestations à Lomé la capitale pour exiger des réformes démocratiques. Le président Eyadéma accepte de partager le pouvoir. Il instaure le multipartisme sous la pression de l'opposition.

7 juillet 1991 :
après 25 années d'exil, Gilchrist Olympio revient au Togo pour participer à la Conférence nationale souveraine dans le processus de démocratisation du Togo.

8 juillet au 26 août 1991 :
réunion de la Conférence nationale qui transfère des pouvoirs du président au premier ministre pas encore nommé.

28 novembre 1991 :
un groupe de militaires prend le contrôle de la radio-télévision et tente de redonner au président Gnassingbe Eyadema les pouvoirs qu'il a perdus.

3 décembre 1991 :
coup d'Etat militaire. Le gouvernement tombe. Le processus de démocratisation est ralenti.

Février 1992 :
Gilchrist Olympio fonde l'Union des Forces de Changement (UFC).

5 mai 1992 :
l'opposant Gilchrist Olympio, président de l'Union des froces du changement (UTP), échappe à une tentative d'attentat.

27 septembre 1992 : r
éférendum sur la constitution, approuvée avec 98,1 % des suffrages. La nouvelle constitution est promulguée le 14 octobre 1992.

26 janvier 1993 :
une manifestation est réprimée à Lomé la capitale, faisant une centaine de morts.

8 février 1993 :
l'Union européenne suspend sa coopération avec le Togo.

25 août 1993 :
Gnassingbe Eyadema remporte l'élection présidentielle , avec 96,4 % des suffrages. Le scrutin est boycotté par l'opposition.

Février 1994 :
le Comité d'action pour le renouveau (CAR) remporte les élections législatives.

23 avril 1994 :
Edem Kodjo de l'Union des Forces du Changement (UTD) est nommé premier ministre.

15 décembre 1994 :
adoption par le parlement d'une loi d'amnistie générale.

1996 :
lors d'élections législatives partielles, le parti du président Gnassingbe Eyadema, Rassemblement du peuple togolais (RPT), remporte le scrutin.

20 août 1996 :
nomination d'un nouveau premier ministre en la personne de Kwassi Klutse, qui forme un gouvernement favorable au président.

13 janvier 1997 :
Gnassingbe Eyadema organise une cérémonie pour célébrer le trentième anniversaire de son accession au pouvoir. Il devient le doyen des chefs d'Etat africains.

21 juin 1998 :
Gnassingbe Eyadema remporte dès le premier tour l’élection présidentielle avec 52,1 % des suffrages. L’opposition crie à la fraude. Le président de la Commission électorale nationale démissionne. Les bailleurs de fonds suspendent leur aide au Togo.

21 mars 1999 :
le parti au pouvoir, Rassemblement du peuple togolais (RPT), remporte les élections législatives boycottées par l’opposition.

21 mai 1999 :
Eugène Abodoli est nommé premier ministre.

31 août 2000 :
Agbeyome Kodjo est nommé premier ministre après le renversement du parlement.

24 février 2001 :
répression d’une manifestation de l’opposition à Lomé.

8 février 2002 :
le code électoral est modifié avant la Constitution en décembre 2002 qui ne limite plus à deux le nombre de mandats présidentiels. Ce qui permet à Gnassingbé Eyadéma de briguer un nouveau mandat.

27 juin 2002 :
Koffi Sama est nommé premier ministre en remplacement d’Agbeyome Kodjo.

27 octobre 2002 :
les élections législatives, boycottées par l’opposition, sont remportées par le parti au pouvoir, Rassemblement du peuple togolais (RPT).

2 juin 2003 :
élection présidentielle. Gnassingbe Eyadema réélu avec 57,78 % des voix.

Mercredi 26 mai 2004 : 9 personnes, dont 6 étudiants, arrêtées à la suite de violences qui avaient opposé le 30 avril 2004 des policiers aux étudiants et des casseurs "venus de l'extérieur" sur le campus de l’Université de Lomé, ont été condamnées lundi par le tribunal de Lomé à 18 mois d’emprisonnement ferme. 15 personnes dont 11 étudiants arrêtés lors des incidents, ont été jugées pour "action concertée et voie de fait". Les étudiants réclamaient que le gouvernement leur verse immédiatement 4 tranches des aides accordées par l’Etat à tous les étudiants togolais. Ces aides sont versées en 3 tranches au cours de l’année, a expliqué le ministre de l'Enseignement supérieur, Charles Kondi Agba, estimant qu’il s’agit de "réclamations fantaisistes". Le montant d’une tranche d’aide s’élève à 20 000 F CFA (environ 30 euros) par étudiant, soit environ 300 millions de francs CFA (environ 457 000 euros) d’enveloppe financière pour les 15 000 étudiants inscrits dans les universités de Lomé et de Kara (420 km au nord-est de la capitale). Charles Kondi Agba avait ordonné la fermeture de l'Université de Lomé à compter du dimanche 2 mai à la suite de ces violentes échauffourées qui avaient fait 18 blessés, dont 16 policiers, et d'importants dégâts. (Source Fil info France)

Mercredi 25 août 2004 :
Un nouveau code de la presse a été adopté mardi par l'Assemblée nationale conformément à un des engagements pris par le Togo à Bruxelles pour la reprise de la coopération avec l'Union européenne. Ce nouveau code dépénalise les délits de presse passibles de peines privatives en matière de diffamation et d'atteinte à l'honneur. "Le délit d'offense au président de la République, au président de l'Assemblée nationale, au président du Sénat, au Premier ministre, aux députés, aux sénateurs, aux membres du gouvernement et des institutions constitutionnelles est puni d'une amende de 2 à 5 millions de F CFA" (3 000 à 7 500 euros) contre 1 à 5 ans de prison ferme et une amende de 1 à 5 millions de F.CFA" (1 500 à 7 500 euros) auparavant. La nouvelle loi prévoit également des amendes allant de 500 000 à 2 millions de F CFA (750 à 3 000 euros) pour "toute reproduction, par un organe national de publication ou de diffusion d'informations contraires à la réalité, publiées ou diffusées par un organe étranger de publication ou de diffusion". La détention préventive à l'encontre des gens de presse, très fréquemment utilisée, est supprimée. Le premier code de la presse au Togo avait été adopté en novembre 1990. Il a été modifié 3 fois en moins de 5 ans. (Source Fil info France)

Samedi 25 décembre 2004 :
Le président Gnassingbé Eyadéma a annoncé qu'il allait dissoudre en 2005 l'Assemblée nationale et organiser des élections législatives anticipées afin d'aboutir "à une normalisation totale" de ses relations avec l'Union européenne (UE) qui avait demandé lors de négociations, en suspens depuis 1993, de "réduire le déficit démocratique" du pays en procédant à des élections. Le scrutin de 2002 avait été boycotté par les principaux partis d'opposition. (Source Fil info France)

Lundi 7 février 2005 : Le président Gnassingbé Eyadéma (69 ans), en poste depuis 38 ans après avoir pris le pouvoir le 13 janvier 1967 par un coup d'Etat, est mort samedi d'une crise cardiaque. Le chef d'état-major des Forces armées togolaises (FAT), le général Zakari Nandja, a, dans un message lu à la télévision, nommé un des fils du Président, Faure Gnassingbé Eyadéma, ministre de l'Equipement et des Mines pour lui succèder. Un deuil national de 2 mois a été décrété. Le président de la Commission de l'Union Africaine, Alpha Oumar Konaré, a condamné le "coup de force" de l'armée qui déroge aux dispositions prévues par la Constitution qui prévoit un intérim du président de l'Assemblée nationale, Fambaré Natchaba Ouattara, et l'organisation d'une élection présidentielle dans les 60 jours. Le Président nigérien, Mamadou Tandja, président en exercice de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a également "condamné fermement cette prise du pouvoir anti-constitutionnelle" et "réaffirme l’attachement de la communauté" à ses principes qui s’opposent, notamment, aux "changements anti-constitutionnels de gouvernement en Afrique". Le parlement, réuni dimanche en session extraordinaire, a amendé la constitution en supprimant le passage qui exigeait la tenue d'un nouveau scrutin dans les 60 jours suivant le décès du chef de l'Etat. Faure Gnassingbé, fils du président défunt, a été élu président de l’Assemblée nationale, à l’unanimité des 67 députés, sur un total 81 après avoir voté la destitution de Fambaré Natchaba Ouattara, présenté comme "absent du territoire national". La constitution précise en effet que l'intérim, en cas de décès du président, est assuré par le président de l'Assemblée. Or, après que le gouvernement ait décrété la fermeture de toutes les frontières du pays, Fambaré Natchaba Ouattara, président de l'Assemblée nationale, membre du parti présidentiel Rassemblement du Peuple Togolais (RPT), en visite à Paris, n'a pas pu rentrer dans son pays, son avion ayant été obligé d'atterrir au Bénin. NDRL. Le 30 décembre 2003, l’article 59 de la Constitution qui prévoyait que le président était élu " pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois " a été modifié pour permettre au Général Eyadéma déjà élu à 2 reprises de se représenter aux élections présidentielles. Le principal opposant togolais, Gilchrist Olympio, en exil à Paris depuis une tentative d'assassinat contre lui en 1992, a déclaré à l'Agence France Presse (AFP) qu'il souhaitait que la mort du général Eyadéma permette au Togo de "se mettre sur le chemin de la démocratie" et appelé à "des élections transparentes et libres". Selon lui, le général Eyadéma est "mort d'une crise cardiaque dans l'avion qui le transportait en Israël pour des soins". (Source Fil info France)

Mardi 8 février 2005 : Faure Gnassingbé, le fils du président décédé vendredi d'une crise cardiaque, a été investi par les 6 membres de la cour constitutionnelle lors d'une cérémonie d'un quart d'heure au palais présidentiel de Lomé, boycottée par les diplomates occidentaux mais à laquelle assistaient des diplomates de Libye, d'Egypte et du Gabon, ainsi que des députés togolais. Les partis d'opposition ont appelé leurs partisans à la grève générale, et à rester chez eux mardi et mercredi en signe de protestation. (Source Fil info France)

Samedi 12 février 2005 : Une manifestation organisée vendredi à Lomé par l'opposition a été réprimée vendredi par les forces de sécurité qui ont tiré des grenades lacrymogènes pour disperser des centaines de manifestants. La Communauté Economique des Etats d'Afrique de l'Ouest CEDEAO a annoncé qu'elle renonçait à participer à une réunion prévue samedi dans le nord du Togo, estimant qu'une telle "rencontre légitimait le nouveau pouvoir en place." (Source Fil info France)

Lundi 14 février 2005 : Les forces de sécurité ont empêché samedi l'opposition de débuter une marche de protestation prévue dans la capitale Lomé. Elles ont dispersé les manifestants avec des gaz lacrymogènes. 3 personnes ont trouvé la mort selon des sources officielles, 7 d'après l'opposition. (Source Fil info France)

Lundi 14 mars 2005 :
Les obsèques nationales du président Gnassingbé Eyadéma, décédé le 5 février 2005, ont été célébrées officiellement dimanche à Lomé en présence de nombreuses personnalités étrangères. Le ministre français des Affaires étrangères Michel Barnier, ainsi que Michel de Bonnecorse, le conseiller pour l'Afrique du président français Jacques Chirac, assisteront aux obsèques. Le commissaire au développement de l'Union européenne (UE) Louis Michel, le président en exercice de l'Union Africaine (UA) le chef de l'Etat nigérian Olusegun Obasanjo, participaient également à la cérémonie. (Source Fil info France)

Jeudi 17 mars 2005 : Harry Olympio, président du Rassemblement pour le soutien à la démocratie et au développement (RSDD), a annoncé mercredi qu'il se présenterait à l'élection présidentielle prévue pour le 24 avril 2005 face à Faure Gnassingbé, fils du président Gnassingbé Eyadéma décédé le 5 février après 38 ans de pouvoir (voir notre édition du 7 février 2005) et a critiqué la désignation par 6 partis de l'opposition dite radicale Emmanuel Akitani Bob, premier vice-président de l'Union des forces du changement (UFC, principal parti de l'opposition), déclarant : "L'opposition traditionnelle (radicale) s'est royalement plantée de candidat. M. Akitani n'est pas l'homme de la situation (...). Il ne peut pas représenter l'opposition plurielle et encore moins la jeunesse". (Source Fil info France)

Mercredi 27 avril 2005 : La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a annoncé mardi que le chef du parti au pouvoir, Rassemblement du peuple togolais (RPT), Faure Gnassingbé, fils du président défunt Gnassingbé Eyadéma au pouvoir pendant 38 ans, a remporté l'élection présidentielle de dimanche, à un tour, avec 60,22 % des suffrages contre 38,19 % à son rival, le candidat de la coalition de l'opposition, Emmanuel Akitani Bob et 0,55 % à Harry Olympio (0,55 %). Le taux de participation a été évalué à 64 %. A l'annonce des résultats, des bandes de jeunes, favorables à l'opposition, ont manifesté dans la capitale, Lomé, où de violents incidents ont éclaté : barricades, pneus enflammés, pillages. La police est intervenue à coups de gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants. L'opposition a dénoncé les résultats et les fraudes massives. (Source Fil info France)

Jeudi 28 avril 2005 : Le candidat de l'Union des forces du changement (UFC, opposition), Emmanuel Bob Akitani, s'est auto-proclamé président mercredi et a appelé la jeunesse à la résistance. Les violences se poursuivaient mercredi dans la capitale Lomé après l'annonce de la victoire à l'élection présidentielle de dimanche de Faure Eyadéma, fils du défunt général président Gnassingbé Eyadéma, arrivé au pouvoir par un coup d'état il y a 38 ans et candidat du Rassemblement du peuple togolais (RPT, au pouvoir), dénoncée par l'opposition qui parle de "fraude massive". 6 personnes ont été tuées et une centaine blessée. Selon la Croix Rouge Internationale, les victimes ont été blessées par balles ou frappées par des manifestants et des policiers. (Source Fil info France)

Mercredi 4 mai 2005 : Le président de la Cour constitutionnelle, Atsu-Koffi Amega, a officiellement proclamé vainqueur, mardi, Faure Gnassingbé, le candidat du Rassemblement du peuple togolais (RPT, parti au pouvoir) et fils du président défunt Gnassingbé Eyadéma, vainqueur de l'élection présidentielle du 24 avril 2005, avec 60,5 % des voix. Emmanuel Bob Akitani, qui s'était auto-proclamé président le 27 avril 2005, a obtenu 38,25 % des voix ; Harry Olympio (opposition modérée) et Nicolas Lawson (qui s'était retiré la veille du scrutin), ont obtenu respectivement O,55 % et 1,04 % des voix. (Source Fil info France)

Samedi 14 mai 2005 : Le Parlement européen a adopté jeudi une résolution qui indique qu'il ne pouvait pas "reconnaître la légitimité" du président togolais Faure Gnassingbé élu le 24 avril 2005, en raison de "graves irrégularités" qui ont entaché selon lui le scrutin. (Source Fil info France)

Jeudi 9 juin 2005 : Edem Kodjo, président de la Convergence patriotique panafricaine (CPP, opposition modérée), a été nommé mercredi Premier ministre par le président Faure Gnassingbé. Edem Kodjo a déjà occupé ce poste de 1994 à 1996 sous la présidence de Gnassingbé Eyadéma, président défunt et père de Faure Gnassingbé. (Source Fil info France)

Lundi 4 septembre 2006 : Le président togolais Faure Gnassingbé a quitté Lomé dimanche 3 septembre 2006 pour une visite officielle en Belgique, en Italie et en France, où il sera reçu par le président Chirac. (Source Fil info France)

Lundi 18 septembre 2006 : Le président Faure Gnassingbé a nommé samedi 16 septembre 2006 Yawovi Agboyibo, avocat de 63 ans, et l'un des chefs de l'opposition, au poste de premier ministre à la tête du gouvernement d'union nationale mis en place en août 2006. (Source Fil info France)

Lundi 9 juillet 2007 : Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Tozim Potopéré, a annoncé le report sine die des élections législatives prévues pour le 5 août 2007 pour la seconde fois en l'espace de 2 mois" pour des raisons techniques selon certains observateurs et notamment l'introduction d'un nouveau mode de recensement.

Vendredi 19 octobre 2007 : La commission électorale nationale indépendante (CENI) a annoncé mercredi 17 octobre 2007 les résultats provisoires et partiels des premières élections législatives pluralistes du pays depuis la mort, en février 2005, de son président Gnassingbé Eyadéma, au pouvoir pendant 38 ans, organisées le 14 octobre 2007, et qui donnent la victoire au Rassemblement du Peuple Togolais (RPT) dirigé par le fils du président, Faure Gnassingbé. L'opposition a dénoncé de nombreuses irrégularités. (Source Fil info France)

Mercredi 23 avril 2008 : Le Fonds monétaire international (FMI) a décidé lundi 21 avril 2008 de reprendre son aide au Togo, interrompue en 1994 pour sanctionner "le manque de réforme économique et la faible gouvernance des finances publiques".

Lundi 8 septembre 2008 : Le président Faure Gnassingbé a nommé par décret signé dimanche 7 septembre 2008 le secrétaire général adjoint des Nations Unies, directeur du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) pour l'Afrique, Gilbert Fossoun Houngbo, au poste de premier ministre, après la démission, vendredi 5 septembre 2008 de Komlan Mally.

Jeudi 11 septembre 2008 : Les autorités sanitaires ont annoncé mercredi 10 septembre 2008 la mise en quarantaine du village d'Agbata dans le sud-est du pays suite à la découverte, dans une ferme avicole, de cas de grippe aviaire qui a déjà provoqué la mort de 3 500 volailles. Le Togo avait déjà été touché par la grippe aviaire en juin 2006. Le gouvernement a interdit les importations de volailles et a renforcé ses contrôles dans les ports et aux frontières avec ses voisins, le Ghana, le Bénin et le Burkina Faso.

Samedi 18 avril 2009 : Au cours d'une allocution à la télévision nationale, le président Faure Gnassingbé, a dénoncé vendredi 17 avril 2009 "une tentative de coup d'Etat" qui devait se dérouler alors qu'il devait effectuer une visite de travail en Chine dimanche 19 avril 2009. Kpatcha Gnassingbé, député du Rassemblement du peuple togolais (RPT, au pouvoir), et frère du président, arrêté devant l'ambassade des Etats-Unis à Lomé, a été inculpé mercredi 15 avril 2009 de "complot" et de "tentative d'attentat contre la sûreté de l'Etat". Il avait été a été attaqué chez lui dans la nuit de dimanche 12 à lundi 13 avril 2009 par des militaires. Il n'a pas été blessé. ** Essolizam Gnassingbé, un autre frère du président togolais Faure, a été arrêté jeudi 16 avril 2009 à Lomé. Il est accusé d'avoir pris part au complot organisé par son frère, Kpatcha Gnassingbé, et qui visait à prendre le pouvoir au Togo lors d'un déplacement du chef de l'Etat en Chine. Copyright www.fil-info-france.com/

Mercredi 29 avril 2009 : Le Togo a célébré lundi 27 avril 2009 le 49e anniversaire de son indépendance. Le principal parti d'opposition, l'Union des Forces de Changement (UFC), a boycotté les cérémonies officielles et dénoncé, par la voix de son président Gilchrist Olympio, l'interdiction qui lui a été faite d'organiser une marche de protestation, "une pratique totalitaire d'un autre temps". Gilchrist Olympio a indiqué que "cette mesure d’interdiction de la marche est une pure violation de la loi, qui démontre que le gouvernement n’a aucune volonté de respecter les droits et libertés publics". Copyright www.fil-info-france.com/

Vendredi 11 septembre 2009 : Le ministre d’Etat, chargé de l’Industrie, l’Artisanat et des Innovations technologiques, Léopold Gnininvi et le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Messan Aduayom, membres du parti de l'opposition, Convention démocratique des peuples africains (CDPA) ont annoncé jeudi 10 septembre 2009 qu'ils démissionnaient du gouvernement pour "reprendre leur liberté de militants" à l’approche de la présidentielle prévue en 2010, mais dont la date n'a pas encore été arrêtée. Selon la Cour constitutionnelle, le scrutin doit se dérouler entre le 18 février et le 5 mars 2010. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mercredi 9 décembre 2009 : Le ministère français des Affaires étrangères et européennes a confirmé mardi 8 décembre 2009 l'ordre donné par les autorités togolaises au premier secrétaire de l'ambassade de France, chargé du suivi de la politique intérieure, en poste depuis 2006, Eric Bosc, de quitter le Togo dans un délai de 15 jours. Il est accusé par le Togo "d'activités incompatibles avec son statut de diplomate". On lui reprocherait notamment "des contacts trop suivis" avec l’un des candidats à la prochaine présidentielle, Kofi Yamgnane, qui après une carrière politique en France, s'est porté candidat à l'élection présidentielle prévue le 28 février 2010. Originaire de Bassar dans le nord du pays, ancien secrétaire d’Etat français aux Affaires sociales sous la présidence socialiste de François Mitterrand, ancien député et maire de la commune de Saint-Coulitz en Bretagne, Kofi Yamgnane est détenteur de la double nationalité française et togolaise. La France "a immédiatement pris une mesure réciproque et a demandé le départ d'un diplomate de l'ambassade du Togo", selon un communiqué du ministère français des Affaires étrangères. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 11 janvier 2010 : Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi 9 janvier 2010 à Lomé la capitale, à l'appel de l’Union des forces de changement (UFC), principal parti d’opposition de Gilchrist Olympio, pour demander un scrutin à 2 tours pour l'élection présidentielle du 28 février 2010, la reprise de la révision des listes électorales et la réduction du montant de la caution à verser par les candidats, fixée à 20 millions de Francs CFA (30 489 euros) contre 10 millions de Francs CFA (15 245 euros) pour les législatives d'octobre 2007. Selon la Constitution togolaise modifiée en 2002 par le Parlement, l'élection a lieu au scrutin uninominal majoritaire à un tour et le président est élu à la majorité des suffrages exprimés. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 4 mars 2010 : Les électeurs sont appelés aux urnes jeudi 4 mars 2010 pour élire leur président. 7 candidats sont en lice dont le chef de l'Etat sortant, Faure Essozimma Gnassingbé, Jean-Pierre Fabre, leader du principal parti de l’opposition, l’UFC (Union des Forces du Changement). Pour la première fois une femme est candidate en la personne de Brigitte Kafui Adjamagbo Johnson, de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA, opposition) de Léopold Gnininvi. Faure Gnassingbé, a succédé en avril 2005 à son père Gnassingbé Eyadéma au pouvoir pendant 38 ans, décédé le 5 février 2005 d'une crise cardiaque, et élu président le 24 avril 2005 lors d'une élection dont les résultats ont été contestés par l'opposition qui a dénoncé des fraudes massives. Des manifestations de protestation contre les résultats avaient été réprimées violemment par l'armée faisant entre 400 et 500 morts, selon des chiffres de l'ONU. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 8 mars 2010 : La Commission électorale a annoncé samedi 6 février 2010 que le président sortant, Faure Gnassingbé, a été réélu lors de l'élection présidentielle du 4 mars 2010 avec 60,92 % des voix Son principal rival, Jean-Pierre Fabre, a obtenu 33,94 % des suffrages. Le parti d’opposition Union des Forces de Changement (UFC), mené par Jean-Pierre Fabre, candidat à l'élection présidentielle du 4 mars 2010, a rejeté les résultats et manifesté dimanche dans les rues de la capitale Lomé. Jean-Pierre Fabre a affirmé avoir remporté le scrutin avec 55 à 60 % des suffrages sur l’ensemble du territoire. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 12 avril 2010 : Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi 10 avril 2010 dans les rues de Lomé la capitale pour dénoncer la réélection du président Faure Essozimma Gnassingbé le 4 mars 2010. Toutes les semaines depuis les élections, les partisans de Jean-Pierre Fabre, leader du principal parti de l’opposition, l’UFC (Union des Forces du Changement), vaincu dans cette élection, contestent cette élection et dénoncer les fraudes massives. Faure Gnassingbé a succédé en avril 2005 à son père Gnassingbé Eyadéma au pouvoir pendant 38 ans, décédé le 5 février 2005 d'une crise cardiaque, et élu président le 24 avril 2005 lors d'une élection dont les résultats ont été contestés par l'opposition qui a dénoncé des fraudes massives. Des manifestations de protestation contre les résultats avaient été réprimées violemment par l'armée faisant entre 400 et 500 morts, selon des chiffres de l'ONU. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Vendredi 7 mai 2010 : Le premier ministre, Gilbert Fossoun Houngbo, en poste depuis septembre 2008, a démissionné de ses fonctions mercredi 5 mai 2010. Cette démission intervient au lendemain de la prestation de serment de Faure Gnassingbé, réélu pour un nouveau mandat de 5 ans lors du scrutin présidentiel du 4 mars 2010, et qui souhaite "former un nouveau gouvernement de large ouverture politique". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Samedi 29 mai 2010 : Gilchrist Olympio, chef de l'Union des Forces de Changement (UFC), principal parti d'opposition au Togo, a annoncé jeudi 27 mai 2010 que son parti va entrer au gouvernement, suite à un accord politique signé le 26 mai 2010 avec les représentants du Rassemblement du peuple togolais (RPT, au pouvoir). Il a souligné l' "engagement historique" de l'UFC "devant le peuple après avoir longuement réfléchi sur les causes réelles de la crise profonde qui mine notre pays depuis des décennies". L'UFC, depuis sa création en 1992, n'a participé à aucun gouvernement. 7 portefeuilles ministériels lui seront accordés. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Lundi 1er novembre 2010 : Signature d'accords de coopération avec l'Iran : En visite au Togo, le ministre iranien des Affaires étrangères, Manucher Mottaki, a signé samedi 30 octobre 2010 à Lomé la capitale, avec le ministre togolais des Affaires étrangères et de la Coopération, Elliot Ohin, 2 accords, l'un portant sur l'exemption de visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques ou de service, et l'autre sur une possibilité pour l'Iran de prospecter des mines au Togo. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 13 mai 2011 : La France annule 100 % de la dette du Togo : Le ministre des Finances, Adji Ayassor, et l'ambassadeur de France au Togo, Dominique Renaux, ont signé mercredi 11 mai 2011 à Lomé la capitale un accord portant sur l'annulation par la France de 100 % de la dette du Togo, soit plus de 100 millions d'euros (66,3 milliards de Francs CFA). Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Samedi 4 juin 2011 : Annulation par la Suisse de la totalité de la dette du Togo : La Suisse a annulé la totalité de la dette contractée par le Togo, soit plus de 51,8 millions d'euros. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Lundi 25 juillet 2011 :

TOGO - L'ancien chef d'Etat Major des Forces armées togolaises arrêté et écroué

Vendredi 15 juin 2012 N° 3253/24649

FIL INFO TOGO - Manifestation de l'opposition réprimée à Lomé

Vendredi 13 juillet 2012 N° 3277/24673

FIL INFO TOGO - Le premier ministre et son gouvernement démissionnent

Mercredi 1er août 2012 N° 3293/24689

FIL INFO TOGO - Annonce de la formation d'un nouveau gouvernement composé de 31 ministres

Jeudi 23 août 2012 N° 3312/24708

FIL INFO TOGO - Une manifestation interdite par les autorités, dispersée par la police

Vendredi 14 septembre 2012 N° 3331/24727

FIL INFO TOGO - L'ancien ministre Pascal Bodjona, inculpé de complicité d'escroquerie internationale et placé sous mandat de dépôt

Lundi 17 septembre 2012 N° 3333/24729

FIL INFO TOGO - Loïk Le Floch-Prigent arrêté en Côte d'Ivoire a été extradé vers le Togo dans le cadre d'une affaire d'escroquerie
 
 
Climat
Tropical ; chaud et humide au sud ; semi-aride au nord.
Code ISO
TG
Devise nationale
Travail, liberté, patrie.
Drapeau
Le drapeau du Togo
Economie
Phosphates, fer, chromite, bauxite, marbre. Ovins.
Fête nationale
27 avril (1960, indépendance).
Langue officielle
Français, éwé, kabyé.
Liens
Faure Gnassingbe, président du Togo - Biographie
Gnassingbe Eyadema, l'ancien président du Togo - Biographie
La République du Togo
L'Ambassade de France au Togo
PNUD, Programme des Nations-Unies pour le Développement au Togo
Université de Lomé
IciLome, le portail du Togo
Découvrir la ville de Lomé, ville messagère de la Paix...
Air Togo, la compagnie aérienne togolaise
ADV, Aide Directe aux Villageois togolais
Togo, la terre de nos aïeux : Un site à découvrir absolument pour tout connaître du Togo !
Découverte du Togo
Découvrez les villages du Togo ! Une visite virtuelle agréable !
FTF, Fédération Togolaise de Football
Médias
La liste des médias présents au Togo
Togo Confidentiel
Mediatogo, Le portail de la presse togolaise
Cité Mag, le premier journal togolais en ligne !
TVT, le site officiel de la télévision togolaise !
Monnaie
Franc CFA.
Offre n° 3

Partis politiques
CAR : Comité d'Action pour le Renouveau
CDPA : Convention Démocratique des Peuples Africains
CFN : Coordination de la Nouvelle Force
RPT : Rassemblement du Peuple Togolais (au pouvoir)
UFC : Union des Forces de Changement
UTD : Union Togolaise pour la Démocratie
ULI : Union des Indépendants Libéraux
Population
Togolais.
5,1 millions d'habitants.
Africains (99 %)(37 tribus dont les plus importantes sont : Ewe, Mina et Kabre). Européens et Syriens Libanais (moins de 1 %)
Principales villes
Lomé, Kara, Sansanné-Mango, Bassar, Niamtougou, Kpalimé, Ountivou.
Offre n° 4

Religion
Croyances locales (59 %), Chrétiens (29 %), Musulmans (12 %).
Situation géographique
Etat d'Afrique de l'Ouest avec une ouverture sur le Golfe du Bénin et l'Océan Atlantique. Frontières avec le Ghana, le Burkina Faso et le Bénin.
Statut
Le général Eyadéma tient les rênes du pouvoir depuis 1967. Des élections libres ont eu lieu en 1993 mais ont été boycottées par l'opposition qui protestait contre l'arrestation du rival de Gnassingbe Eyadema, Gilchrist Olympio. Président : Faure Gnassingbe (depuis le 6 février 2005), fils du Général Gnassingbé Eyadéma (au pouvoir depuis le 14 avril 1967) décédé le 5 février 2005. Premier ministre : Kwesi Ahoomey-Zuni (depuis le 23 juillet 2012)
Superficie
54 390 km2.
Webcam
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Offre n° 5



 

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