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PAYS DU MONDE - AFRIQUE : COMORES COMMENT DEVENIR CORRESPONDANT (E) DE PRESSE BENEVOLE !
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Drapeau des Comores



Offre n° 1



 
 


Offre n° 2

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Situation géographique des Comores
 
COMORES (LES)
 
Nom officiel
Le nom officiel du pays, depuis 2002, est l'Union des Comores (en français), Udzima wa Komori (en comorien) ; Jumhuriyat al Qamar al Muttahidah (en arabe)
Administration
L'archipel des Comores se compose de 4 îles dont seules les 3 premières se sont regroupées pour former la République fédérale islamique des Comores, membre de la Ligue arabe : Ngazidja (ancienne Grande Comore), où se trouve la capitale Moroni ; Moili (ancienne Mohéli) ; Ndzouani (ancienne Anjouan). La quatrième île, Mayotte , est située à 70 kilomètres au sud-est. Restée sous souveraineté française, l'île de Mayotte forme un territoire d'outre-mer à statut spécial. Situées à l'entrée du Canal du Mozambique, à la hauteur de la frontière entre la Tanzanie et le Mozambique, elles représentent un point de passage stratégique pour le trafic pétrolier international.
Capitale
Moroni
Chronologie politique
Lieu d'escale pour les Anglais, Français et Néerlandais, qui se rendent en Inde par la route du canal du Mozambique, les Comores sont envahies par les Malgaches côtiers (Betsimisaroakas) qui occupent l'île de 1785 à 1820, dans le but de capturer des esclaves destinés à être revendus aux Mascaraignes. L'île sert également de repères aux pirates européens chassés des Caraïbes. Ramanetaka, chef mérina, qui a conquis Mobéli, livre une guerre sans merci au sultan d'Anjouan.

1803 :
Le Premier Consul Napoléon Bonaparte fait déporter à Mutsamudu (Anjouan) le général Rossignol et ses compagnons accusés d'avoir préparé un attentat .

1816 :
Le sultan Abdallah Ier, qui a construit la forteresse de Mutsamudu (Anjouan), pour se défendre contre les incursions malgaches, se rend à Bourbon pour solliciter la protection de Louis XVIII.

1828 :
Ramanateka, un Hova, vient, après la mort de Radama Ier se réfugier à Anjouan, avec une centaine de compagnons. Le sultan lui permet de s'installer à Moheli.Ramanateka y prend le pouvoir et, converti à l'Islam, en devient le sultan, sous le nom d'Abderahmane.

Avril 1841 :
Mayotte est conquise par les Français, conquête reconnue officiellement en 1843. En riposte à la conquête de Mayotte les Anglais installent un consulat à Anjouan.

1886 :
Protectorat français sur les 3 îles de Mobéli, d'Anjouan et de la Grande Comore.

1953 :
Visite du Général de Gaulle.

1912 :
Abolition du protectorat français. Les îles sont rattachées à Madagascar.

25 sept. 1942 - 13 oct 1946 :
Les forces britanniques envahissent les Comores et Madagascar pour renverser le pouvoir de Vichy qui s'y trouvait, et restituent quelque temps plus tard les îles au gouvernement du général De Gaulle.

1946 :
Les îles des Comores sont dotées du statut de territoire d'outremer et disposent à partir de 1961 d'un statut d'autonomie interne élargie en 1968.

1958 :
Les Comoriens se prononcent au référendum du 28 septembre pour le maintien de l'archipel au sein de la République française.

1963 :
Un Mouvement de Libération des Comores, basé à Dar-es-Salaam, lance le mot d'ordre d'indépendance pour l'archipel. La revendication est reprise par différents mouvements politiques.

1963 :
Le président du Conseil du gouvernement écrit au général de Gaulle affirmant que "l’Etat comorien doit être créé".

1968 :
Création du premier drapeau comorien.

1972 :
Les îles des Comores demandent leur indépendance.

22 décembre 1974 :
Les Comores proclament leur indépendance par référendum avec 94 % des suffrages. Seule Mayotte refuse et reçoit l'appui du parlement français pour obtenir un statut particulier.

7 juillet 1975 :
Ahmed Abdallah n'accepte pas ce statut et proclame l'indépendance de l'ensemble des îles des Comores, formant ainsi l'Etat des Comores.

5 août 1975 :
Ahmed Abdallah est renversé par un coup d'Etat de mercenaires français mené par Bob Denard et remplacé par Ali Soilih, chef du Front national uni. Bob Denard prend la direction de la garde présidentielle

1975 :
Admission des Comores à l’ONU.

Février 1976 :
Lors d'un référendum contesté par la communauté internationale, le maintien de Mayotte comme territoire français est confirmé.

12-13 mai 1978 :
Des mercenaires, sous le commandement de Bob Denard, débarquent secrètement, arrêtent Ali Soilih, l'abattent au cours d'une tentative de fuite. Une junte constituée pour l'occasion rappelle l'ancien président destitué, Ahmed Abdallah.

30 septembre 1984 :
Ahmed Abdallah est réélu pour un nouveau mandat de 5 ans avec 99 % des voix.

26 novembre 1989 :
Ahmed Abdallah est assassiné par les mercenaires de Bob Denard, chef de la garde présidentielle. Il se réfugie en Afrique du Sud.

1990 :
Premières élections démocratiques aux Comores. Said Mohamed Djohar est élu Président. L'opposition conteste les résultats.

1995 :
Said Mohamed Djohar est déposé par un coup d'état mené par Bob Denard et ses mercenaires. Le Président est exilé à la Réunion.

1996 :
Nouvelle tentative de coup d'Etat mené par Bob Denard. Echec grâce à l'intervention des forces françaises.

16 mars 1996 :
Mohamed Taki Abdoulkarim est élu président. Il fait réécrire une nouvelle constitution, qui élargit les pouvoirs du président et établit le régime sur la base de l'Islam.

Août 1997 :
Proclamation de l'indépendance d'Anjouan, condamnée par la communauté internationale.

1998 :
Mohamed Taki Abdoulkarim meurt officiellement des suites d'une crise au moment ou il revenait de voyage. Selon certaines rumeurs, sa mort serait due un empoisonnement. Aucune autopsie n'a été faite sur le corps. L'Intérim est assuré par Tadjidine Ben Said Masonde.

23 avril 1999 :
Accords d’Antanarivo sous l’initiative de l’OUA, la délégation anjouanaise ne signe pas et cherche d’abord à consulter la population de l’île.

30 avril 1999 :
Coup d'Etat militaire du Colonel Assoumani Azali - Instauration d'un régime militaire pour rétablir l'ordre après les manifestations violentes.

6 Mai 1999 :
Charte constitutionnel énonçant que chaque île est placée sous l’autorité d’un gouverneur nommé par le chef de l’Etat.

26 Août 2000 :
Signature des accords de Fomboni par les trois île. Relance du processus de réconciliation nationale.

23 décembre 2001 :
Referendum sur la constitution de l’union des Comores, qui mettra fin à la République Fédérale Islamique des Comores.

Lundi 11 mars 2002 :
Les élections présidentielles ont été annulées au dernier moment hier dans l'île de la Grande Comore, 8 des 9 candidats ayant annoncé le boycott du scrutin à cause des fraudes massives qui ont été découvertes. Près de 20 000 bulletins auraient disparu. Le scrutin est reporté à mercredi. (Source : Fil-info-France)

Mardi 19 mars 2002 : Le colonel Azali Assoumani a remporté le premier tour de l'élection présidentielle de dimanche. (Source : Fil-info-France)

7 avril 2002 : Election des présidents des îles autonomes de Mwali et de Ndzouani.

14 avril 2002 :
Assoumani Azali est élu président.

Mardi 16 avril 2002 :
Le colonel Azali Assoumani a été réélu président avec 56,25 %. Le scrutin a été émaillé de nombreux incidents, qui ont fait 5 blessés, et de fraudes. Les rivaux du colonel Assoumani, le colonel Madahi et le prince Said Ali Kemal avaient appelé au boycott de l'élection. (Source : Fil-info-France)

Lundi 22 avril 2002 : Le premier tour de l'élection présidentielle a été annulé à Moroni dans l'île de la Grande Comore. (Source : Fil-info-France)

19 mai 2002 : Election du président de l’île autonome de Ngazidja. (Source : Fil-info-France)

Mardi 21 mai 2002 : L'opposition représentée par Abdou Soulé Elbak a remporté l'élection présidentielle au détriment d'Abdallah Boina candidat soutenu par le général Assoumani, président de l'Union des Comores. (Source : Fil-info-France)

Samedi 15 février 2003 : Echec jeudi d'une tentative de coup d'état contre le président de l'Union des Comores, Azali Assoumani. Le président de la Grande Comore, Abdou Soulé El'bak , est accusé d'être à l'origine de ce putsch. Des différends territoriaux opposent les deux hommes. Depuis 1975, date de l'indépendance, plus de 20 coups ont été perpétrés aux Comores, dont 4 ont réussi. 4 personnes, dont 2 ministres, ont été arrêtées. (Source : Fil-info-France)

Octobre 2003 : Ouverture de l’Université des Comores.

Vendredi 28 novembre 2003 : Une quinzaine de personnes a été blessée, dont 3 grièvement, mercredi par la police qui a ouvert le feu sur la foule en colère qui marchait sur le palais présidentiel de l'Union des Comores où le président Azali Assoumani prononçait son discours pour fêter la fin du Ramadan. Les manifestants protestaient contre le discours prononcé par le président de l'Ile de la Grande Comore, Abdou Soulé Elbak, qui appelait la population à se révolter contre la mainmise d'Assoumani sur la Grande-Comore. (Source : Fil-info-France)

Jeudi 18 décembre 2003 : Le ministre des Finances de l'île de la Grande-Comore, Younoussa Assoumani, a été arrêté lundi à Moroni pour "escroquerie à l'assurance". L'arrestation de M. Assoumani intervient au moment où des scandales financiers impliquant des proches du président de l'Union des Comores, Azali Assoumani, ont été mis au jour et alors que doit s'ouvrir samedi à Moroni un sommet régional, en présence du président sud-africain Thabo Mbeki, en vue de mettre un terme à la crise politique (provoquée par la sécession de l'île d'Anjouan et aggravée en 1999 par le coup d'Etat militaire du colonel Azali Assoumani) qui secoue cet archipel composé de trois grandes îles, Anjouan, Mohéli et la Grande-Comore. (Source : Fil-info-France)

Samedi 20 décembre 2003 : Ouverture samedi à Moroni d'un sommet régional visant à mettre un terme à la crise politique qui touche l'archipel depuis 1997. (Source : Fil-info-France)

Lundi 22 décembre 2003 : Lors du sommet régional qui s'est tenu ce week-end à Moroni, les représentants de l'Union des Comores et ses 3 îles sécessionnistes (Anjouan, Mohéli et la Grande-Comore) sont parvenus à un accord visant à mettre un terme à la crise politique qui paralyse l'archipel depuis 1997 et qui préconise un partage du pouvoir et prévoit la tenue d'ici avril 2004 d'élections législatives anticipées, la mise en place d'une "douane unique et commune" et le placement des forces de gendarmerie sous le contrôle du pouvoir central. (Source : Fil-info-France)

Mars 2004 : Elections législatives.

Avril 2004 :
Elections législatives de l’Union des Comores.

Mercredi 13 avril 2005 :
Le gouvernement de l'Union des Comores prépare un projet de loi qui permettra au président Azali Assoumani de briguer un second mandat à l'élection présidentielle prévue en avril 2006, au lieu de confier le pouvoir à la présidence tournante entre les îles. L'Union des Comores, ancienne République fédérale islamique des Comores (RFIC), a été instaurée en décembre 2001 et regroupe les 3 îles de la Grande-Comore, d'Anjouan et de Mohéli, qui disposent d'une large autonomie. Le président Azali, qui était arrivé au pouvoir par un coup d'Etat le 30 avril 1999, a été élu en avril 2002 pour un mandat de 4 ans. Depuis leur indépendance de la France en 1975, les Comores, à 400 km au nord-ouest de l’île de Madagascar et à 300 km des côtes africaines, à l’entrée du canal de Mozambique, ont connu une vingtaine de coups d'Etat ou tentatives, dont 4 réussis. (Source : Fil-info-France)

Lundi 17 avril 2006 : 117 000 électeurs sur les 270 000 habitants de l’île autonome d’Anjouan étaient appelés aux urnes pour choisir sur une liste de 14 candidats celui qui se présentera le 14 mai 2006 à la présidence de l'Union des Comores, qui regroupe 3 îles indépendantes de l’ancienne colonie française, Grande Comore, Anjouan et Mohéli. L’Union Africaine (UA) a envoyé plus de 450 soldats pour assurer la sécurité pendant le scrutin. (Source : Fil-info-France)

Lundi 15 mai 2006 : 310 000 électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 14 mai 2006 pour élire leur président. 3 candidats sélectionnés lors des primaires du 16 avril 2006 s'affrontent : le favori est le guide religieux, islamiste modéré et chef d'entreprise, Ahmed Abdallah Sambi, 48 ans, surnommé "Ayatollah" par la population, qui a notamment promis de lutter contre la pauvreté et de rétablir la justice. Il est opposé à Ibrahim Halidi, ancien enseignant de philosophie. Il a été plusieurs fois ministre et Premier ministre, il est soutenu par 8 partis, dont la Convention pour le renouveau démocratique (CRC) du président sortant Azali Assoumani, qui ne peut se représenter car originaire de la Grande-Comore. Le troisième candidat est Mohamed Djaanfari, 54 ans, retraité de l'armée de l'air française devenu hommes d'affaires. Selon la loi électorale, les résultats définitifs devront être proclamés aux maximum 72 heures après le scrutin, soit le 17 mai, mais ce délai avait été largement dépassé lors des primaires. (Source : Fil-info-France)

Mercredi 17 mai 2006 : La Commission nationale des élections aux Comores (CNEC) a annoncé mardi 16 mai 2006 que Ahmed Abdallah Sambi a été élu président de l'Union des Comores après l'élection présidentielle qui s'est tenue dimanche 14 mai 2006 avec 58,14 % des suffrages exprimés contre 28,11 % à Ibrahim Halidi et 23,51 % à Mohamed Djaanfari. (Source : Fil-info-France)

Jeudi 25 mai 2006 : La cérémonie d'investiture du nouveau président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, aura lieu le 26 mai 2006 à Moroni. Pierre-André Wiltzer, ancien ministre, Haut Représentant pour la sécurité et la prévention des conflits, dirigera la délégation française. (Source : Fil-info-France)

Mardi 30 mai 2006 : Le président Ahmed Abdallah Sambi, élu le 14 mai avec 58,02% des suffrages, a prêté serment vendredi 26 mai 2006 devant la Cour constitutionnelle à Moroni la capitale en présence de nombreux chefs d'Etat et de gouvernement et d'une forte délégation américaine d'une vingtaine de membres. Rappelons que le gouvernement Bush a versé une aide d'1,8 millions de dollars aux Comores dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Ahmed Abdallah Sambi, 43 ans, a formé son premier gouvernement, composé de 8 ministres. Il a confié le domaine de la Défense, à son directeur de cabinet, Mohamed Abdoulwaha. Une seule femme au sein de ce gouvernement : Siti Kassim, est nommée à l’Agriculture, la Pêche, l’Industrie, l’Artisanat et l’Environnement. (Source : Fil-info-France)

Vendredi 4 mai 2007 :
Le gouvernement de l’île autonome comorienne d’Anjouan a fait savoir à la fin du mois d'avril 2007 qu'il "n'acceptait pas" la nomination par le président de l’Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, d’un nouveau chef de l’exécutif à Anjouan, après que la justice eût déclaré la vacance du poste, estimant cette décision "anticonstitutionnelle" à un mois des élections (des présidents des îles de l'Union des Comores). Le mandat du président d'Anjouan, le colonel Mohamed Bacar, avait expiré le 27 avril 2007. Mercredi 2 mai 2007, l'armée s'est déployée autour des sites stratégiques du ministère de l'Intérieur et des Finances d'Anjouan, après des tirs à Mutsamudu, capitale de l'île d'Anjouan. Selon le représentant de l'Union des Comores, Anissi Chamsidine, "des forces de gendarmerie d'Anjouan, loyales au président sortant d'Anjouan Mohamed Bacar, ont attaqué, à l'arme lourde, le bâtiment abritant la représentation de la présidence de l'Union à Mutsamudu". (Source : Fil-info-France)

Mercredi 27 juin 2007 : Les résultats de l'élection présidentielle qui se sont tenues dimanche 24 juin 2007 sur l'Ile de la Grande Comore et sur l'Ile de Mohéli ont été confirmés mardi 26 juin 2007 par la Cour constitutionnelle de l'Union des Comores. L'ancien ministre Mohamed Abdouloihabi a été élu à la présidence de l'île comorienne autonome de Grande-Comore avec 55,05 % des voix et l'homme d'affaires Mohamed Ali Said à la tête de l'île de Mohéli avec 57,15 % des suffrages. (Source : Fil-info-France)

Samedi 30 juin 2007 : Les autorités fédérales de l'Union des Comores ont demandé vendredi 29 juin 2007 à l'Union africaine d'intervenir militairement dans l'île d'Anjouan "pour rétablir l'ordre et faciliter l'organisation rapide d'élections libres et démocratiques". (Source : Fil-info-France)

Vendredi 12 octobre 2007 : Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union Africaine a approuvé, jeudi 11 octobre 2007, des sanctions individuelles à l'encontre des personnalités de l'Ile d'Anjouan pour une durée de 45 jours. Le colonel Mohamed Bacar, qui a été réélu président de l'île le 10 juin 2007 à la suite d'une élection contestée à la fois par l'Union africaine et les autorités fédérales de l'Union des Comores, rejette depuis la demande de ces dernières d'organiser de nouvelles élections. (Source : Fil-info-France)

Mercredi 7 novembre 2007 : L'Union africaine a débuté samedi 3 novembre 2007 un blocus de l'île d'Anjouan, une des 3 îles qui forment l'Union des Comores, pour faire pression sur le colonel Mohamed Bacar, réélu en juin 2007, afin qu'il organise de nouvelles élections, le scrutin ayant été contesté. (Source : Fil-info-France)

Mardi 25 mars 2008 : Le président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, a annoncé lundi 24 mars 2008 dans un discours télévisé en direct qu'il avait "donné ordre à l'armée nationale de se joindre aux forces de l'Union africaine pour rétablir la légalité républicaine à Anjouan". Mohamed Bacar s'est emparé du pouvoir sur la petite île d'Anjouan à la suite d'une élection en juin 2007 jugée illégale par l'Union Africaine. (Source : Fil-info-France)

Jeudi 27 mars 2008 : L'armée comorienne, sur l'ordre du président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et les troupes mandatées par l'Union africaine, lors d'une opération baptisée "Démocratie aux Comores", ont repris le contrôle de l'île d'Anjouan, la plus pauvre des trois îles de l'archipel des Comores (Grande-Comore, Mohéli, Anjouan) ,"pour rétablir la légalité républicaine". Mohamed Bacar avait pris le contrôle de cette île en juin 2007 à la suite d'une élection jugée illégale par l'Union Africaine. Mahomed Bacar se serait réfugié dans l'île française de Mayotte où il a demandé l'asile politique. Les autorités comoriennes n'ont ni infirmé ni démenti cette information. L'un des vice-présidents de l'Union, Ikililou Dhoinine, a été nommé pour administrer Anjouan. (Source : Fil-info-France)

Vendredi 28 mars 2008 : Les autorités comoriennes ont demandé à la France l'extradition du colonel Mohamed Bacar, président de l'île d'Anjouan depuis 2002. Ce dernier s'était enfui sur l'île française de Mayotte lorsque les troupes comoriennes et de l'Union africaine avaient repris le pouvoir à Anjouan. La France a transféré jeudi 27 mars 2008 le Colonel Mohamed Bacar, et 23 de ses fidèles, de Mayotte vers la Réunion. Il est accusé d'entrée clandestine sur le territoire français et détention d'armes. (Source : Fil-info-France)

Lundi 31 mars 2008 : Le président déchu de l'île comorienne d'Anjouan, Mohamed Bacar, et 23 de ses hommes, ont été assignés à résidence samedi à La Réunion dans une enceinte militaire après que le tribunal correctionnel de Saint-Denis ait déclaré nulle la procédure à leur encontre. Ils étaient poursuivis pour "séjour sans titre, importation, port et transport d'armes prohibées", des faits passibles de cinq ans de détention maximum. Plusieurs centaines de manifestants comoriens qui attendaient devant le tribunal ont dénoncé cette décision, accusant la France "d'être complice" de l'ancien président déchu. Lire l'édition de Fil-info-France du 27 mars 2008 (Comores) (Source : Fil-info-France)

Mardi 1er avril 2008 : Le président de la cour d’appel d’Anjouan, Lailizamane Abdou Cheik, a été nommé lundi 31 mars 2008 président par intérim, avec pour mission d’organiser de nouvelles élections d’ici à 2 ou 3 mois, après le renversement le 25 mars 2008 par les troupes de l'Union des Comores appuyées par l'Union africaine, du président Mohamed Bacar, dont la réélection en juin 2007, avait été jugée illégale. Mohamed Bacar est assigné à résidence sur l'île française de la Réunion. (Source : Fil-info-France)

Samedi 5 avril 2008 : FRANCE : LA REUNION : Le parquet de la ville de Saint-Denis-de la-Réunion a annoncé vendredi 4 avril 2008 que le président déchu d'Anjouan, Mohamed Bacar, et 21 de ses hommes, ont été écroués vendredi suite à "une demande d'arrestation aux fins d'extradition" formulée par la justice comorienne. (Source : Fil-info-France)

Samedi 26 avril 2008 : Le ministre de la Justice de l'Union des Comores, Mourad Said Ibrahim, a vivement dénoncé la décision de la France d'accorder l'asile politique à 2 proches de Mohamed Bacar, président déchu d'Anjouan (Comores), jugeant que "les dés étaient pipés" dans cette affaire. (Source : Fil-info-France)

Vendredi 16 mai 2008 : FRANCE : La préfecture de la Réunion a annoncé jeudi 15 mai 2008 que l'OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) a rejeté la demande d'asile déposée le 27 mars 2008 par l'ancien président déchu d'Anjouan, le colonel Mohamed Bacar, tout en excluant qu'il puisse être expulsé vers les Comores en raison des risques de persécution. L'armée comorienne, sur l'ordre du président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et les troupes mandatées par l'Union Africaine, lors d'une opération baptisée "Démocratie aux Comores", avaient repris le contrôle de l'île d'Anjouan, la plus pauvre des trois îles de l'archipel des Comores (Grande-Comore, Mohéli, Anjouan) ,"pour rétablir la légalité républicaine". Mohamed Bacar avait pris le contrôle de cette île en juin 2007 à la suite d'une élection jugée illégale par l'Union Africaine. (Source : Fil-info-France)

Lundi 16 juin 2008 : 128 000 électeurs de l'Iles d'Anjouan étaient appelés aux urnes dimanche 15 juin 2008 pour choisir leur président parmi 5 candidats, à savoir l'ancien député Bacari Abdou, l'ancien magistrat Bastoine Soulaimana, l'ancien vice-président de l'Assemblée locale, Mohamed Djaanfari, donné favori, l'ingénieur en BTP, Moussa Toybou, et l'homme d'affaires Soundi Abdou Latuf Soilih. Cette élection intervient après le renversement militaire du président en poste, Mohamed Bacar, qui avait pris le pouvoir à la suite d'un coup d'Etat en 2001. Il a été président élu en mars 2002 et réélu en juin 2007. Sa réélection avait été contestée et jugée illégale par l'Union des Comores et l'Union africaine. L'armée comorienne, sur l'ordre du président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et les troupes mandatées par l'Union Africaine, lors d'une opération baptisée "Démocratie aux Comores", avaient repris, le 27 mars 2008, le contrôle de l'île d'Anjouan, la plus pauvre des trois îles de l'archipel des Comores (Grande-Comore, Mohéli, Anjouan) ,"pour rétablir la légalité républicaine". Mohamed Bacar avait pris le contrôle de cette île en juin 2007 à la suite d'une élection jugée illégale par l'Union Africaine. (Source : Fil-info-France)

Lundi 30 juin 2008 : Le second tour de l'élection présidentielle s'est déroulé dimanche 29 juin 2008 sur l'île d'Anjouan, la plus pauvre et la plus peuplée des îles de l'archipel des Comores (Grande-Comore, Mohéli, Anjouan) et oppose l'ancien vice-président de l'Assemblée nationale, Mohamed Djaanfari, à l'ingénieur en BTP, Moussa Toybou.

Mardi 1er juillet 2008 : Selon des résultats encore provisoires, Moussa Toybou, ingénieur des travaux publics peu connu sur la scène politique, aurait remporté l'élection présidentielle qui s'est tenue dimanche 29 juin 2008 à Anjouan avec 52,37 % des voix, devant son adversaire, l'ancien vice-président de l'Assemblée nationale, Mohamed Djaanfari. (Source : Fil-info-France)

Lundi 15 décembre 2008 : L’ancien premier ministre de l'Union des Comores, Hamadi Madi Bolero, a été interpellé jeudi 11 décembre 2008 à l’aéroport de Fomboni sur l'île de Mohéli. Un mandat d’arrêt avait été lancé contre lui en janvier 2008. Il aurait emporté avec lui du mobilier de l’Etat qui lui servait dans sa résidence de fonction. Réfugié depuis 2006 en France, Hamadi Madi Bolero raccompagnait dans son pays la dépouille de son cousin, l’ancien sportif Mohamed Soilihi, décédé la semaine dernière dans la capitale française, Paris. (Reproduction interdite)

Vendredi 17 avril 2009 : Le président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, a annoncé jeudi 16 avril 2009 que "le référendum sur une réforme de la Constitution des Comores sera organisé le 17 mai après l'annulation par la Cour constitutionnelle d'un décret fixant la consultation au 22 mars" 2009 estimant que le décret présidentiel était "illégal pour vice de procédure". Le projet de réforme constitutionnelle vise à réduire les pouvoirs des présidents des 3 îles de l'Union des Comores (Grande-Comore, Anjouan, Mohéli) pour en faire des gouverneurs et d'allonger d'un an le mandat de 4 ans du président fédéral. Le texte propos" également de faire de l'Islam la religion d'Etat et donne le droit au président de l'Union des Comores de dissoudre l'Assemblée. Copyright www.fil-info-france.com/

Lundi 18 mai 2009 : Les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 17 mai 2009 pour se prononcer par référendum sur une révision constitutionnelle visant à prolonger de 4 à 5 ans le mandat du président fédéral et de réduire les pouvoirs des présidents des 3 îles de l'archipel (Grande-Comore, Anjouan, Mohéli) qui deviendraient des gouverneurs. L'opposition a appelé au boycott du scrutin, accusant le président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi Sambi, islamiste modéré, de vouloir rester au pouvoir après son mandat de 4 ans qui s'achève en 2010. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Jeudi 21 mai 2009 : La Cour constitutionnelle a proclamé mardi 19 mai 2009 les résultats du référendum organisé le dimanche 17 mai 2009 portant sur une révision constitutionnelle visant à prolonger de 4 à 5 ans le mandat du président fédéral et de réduire les pouvoirs des présidents des 3 îles de l'archipel (Grande-Comore, Anjouan, Mohéli) qui deviendraient des gouverneurs. Le "oui" a l'emporté avec 93,91 % des suffrage. Le "non" a recueilli 6,09 % des voix avec un taux de participation de 51,76 %. L'opposition avait appelé au boycottage du scrutin. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Mercredi 1er juillet 2009 : Un avion Airbus A310-300 de la compagnie Yemenia Air, qui effectuait la liaison, Sanaa-Moroni, s'est abîmé dans l'océan Indien mardi 30 juin 2009 au large des côtes des Comores. Il transportait 153 passagers et membres d'équipage, dont 66 Français. Une adolescente de 14 ans serait la seule survivante. Le secrétaire d'Etat français aux Transports, Dominique Bussereau, a indiqué que l'avion avait été "exclu" du sol français "il y a quelques années (...) parce que nous estimions qu'il présentait un certain nombre d'irrégularités dans ses équipements", et la compagnie Yemenia était sous surveillance au sein de l'Union européenne, la Commission ayant décelé en juillet 2008 des "manquements" à certaines normes de sécurité. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Vendredi 3 juillet 2009 : Une des 2 boîtes noires de l'avion Airbus A310-300 de la compagnie Yemenia Air, effectuant la liaison, Sanaa-Moroni, qui s'est abîmé dans l'océan Indien mardi 30 juin 2009 au large des côtes des Comores, a été retrouvée. 153 passagers et membres d'équipage, dont 66 Français, étaient à bord. Une adolescente de 14 ans est la seule rescapée. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Lundi 6 juillet 2009 : Le président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, a annoncé un deuil national de 30 jours après le crash de l'avion Airbus A310-300 de la compagnie Yemenia Air, effectuant la liaison, Sanaa-Moroni, qui s'est abîmé dans l'océan Indien mardi 30 juin 2009 au large des côtes des Comores qui a fait 152 morts. Une seule survivante, une adolescente de 14 ans, a été retrouvée. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Lundi 7 décembre 2009 : Les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 6 décembre 2009 pour élire leurs députés à l'Assemblée de l'Union des Comores et les conseillers des 3 îles de cet archipel de l'océan Indien, Anjouan, Grande Comore et Mohéli. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 21 décembre 2009 : Les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 20 décembre 2009 pour le second tour des élections législatives. Le parti présidentiel est arrivé en tête du premier tour avec une majorité de candidats en ballotage favorable. Le chef de la Convention pour le renouveau des Comores, Houmed Msaidié, a appelé samedi 19 décembre 2009 la commission électorale à s'opposer aux "actes de fraude dans les opérations de vote". Une délégation d'observateurs civils de l'Union Africaine, dirigée par Anyl Gayan, ancien ministre mauricien des Affaires étrangères, est arrivée vendredi 18 décembre 2009 aux Comores. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 26 décembre 2009 : Des affrontements ont éclaté vendredi 25 décembre 2009 sur l'île d'Anjouan entre la police et des partisans de l'opposition, qui avaient érigé depuis lundi 21 décembre 2009 des barricades sur la route reliant la localité de Sima à Mutsamudu, capitale de l'île d'Anjouan, pour protester contre la défaite de leur candidat, Mohamed Djaanfari, aux élections législatives qui se sont tenues dimanche 6 décembre 2009, lorsque les forces de l'ordre ont tenté de les dégager. Des actes de vandalisme ont suivi ces heurts. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 9 février 2010 : Alors que les enseignants des cycles primaire, secondaire et universitaire sont en grève illimitée depuis plus de 3 semaines pour demander l'élaboration des statuts particuliers des enseignants, l'harmonisation et la régularisation de la situation administrative des enseignants de l'Université des Comores, plusieurs centaines d'élèves et étudiants sont descendus dans les rues de la capitale Moroni pour demander la réouverture des écoles publiques. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 2 mars 2010 : Le parlement a annoncé lundi 1er mars 2010 que l'élection du président de l'Union des Comores, ainsi que celle des gouverneurs des îles, auront lieu le 27 novembre 2011. Les députés de l'opposition de l'île de Mohéli, battue aux législatives de décembre 2009, qui accusent les autorités de vouloir prolonger le mandat du président (originaire d'Anjouan) au-delà du 26 mai 2010, n'ont pas participé au vote. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 18 mai 2010 : Le chef d'état-major de l'armée, le général Salimou Amiri, et le chef du cabinet militaire de la présidence, le colonel Abdoulbastoi Ahmed Abdou, ont signé lundi 17 mai 2010, à Moroni la capitale, en présence du chef de l'Etat Ahmed Abdallah Sambi, un accord de "réconciliation" pour rétablir "la sérénité" au sein de l'armée. Les 2 hommes se sont engagés à faire respecter "l'obligation de réserve" et à oeuvrer pour "la restauration de la confiance au sein de l'institution militaire". Le général Salimou Amiri avait accusé dans un courrier daté du 27 avril 2010 et adressé le colonel Abdoulbastoi Ahmed Abdou, et dont de larges extraits avaient été publiés par les médias comoriens le 4 mai 2010, l'un des collaborateurs militaires du président Ahmed Abdallah Sambi "de vouloir l'éliminer physiquement". Selon le texte de cet accord, des mesures seront prises pour la "réorganisation de la chaîne de commandement" et "l'armée restera à l'écart des influences politiques en ce qui concerne le recrutement, l'intégration, l'avancement et l'affectation" des militaires". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Jeudi 27 mai 2010 : Le président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, dont le mandat de 4 ans prend fin mercredi 26 mai 2010 à minuit, a annoncé mardi 25 mai 2010 dans une allocution à la Radio et à la Télévision nationale, la formation d'un gouvernement par intérim chargé de gérer le pays après l'échec mardi d'un nouveau round de négociations sur l'élaboration d'un nouveau calendrier électoral à Moroni entre la présidence et les représentants des 3 îles de l'archipel (Grande Comore, Anjouan et Mohéli) portant sur une réforme constitutionnelle et visant à harmoniser l'élection du président de l'Union avec celle des gouverneurs des trois îles (Grande Comore, Anjouan et Mohéli) au 27 novembre 2011. La Cour constitutionnelle avait prolongé en mars 2010 le mandat du président Ahmed Abdallah Sambi jusqu'à la fin 2011 provoquant la colère de l'opposition et de la population de l'île de Mohéli qui devait assurer la présidence de l'Union des Comores, en vertu du principe de la présidence tournante entre les 3 îles. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Mardi 15 juin 2010 : Après l'assassinat dimanche 13 juin 2010 de l'un des plus hauts gradés de l'armée comoriennes, le colonel Combo Ayouba, abattu à son domicile à Moroni la capitale par plusieurs hommes armés non identifiés, l'armée s'est déployée lundi 14 devant les ministères et les principaux bâtiments administratifs de Moroni. Plusieurs centaines de personnes, originaires de l'Ile d'Anjouan comme le colonel Combo Ayouba, ont manifesté et scandé des slogans hostiles au président Ahmed Abdallah Sambi. Ils réclamaient le nom des auteurs de ce crime. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Mercredi 15 septembre 2010 :11 candidats ont déposé leur dossier pour se présenter à l'élection présidentielle prévue le dimanche 7 novembre 2010. La cour constitutionnelle a jusqu'au 30 septembre 2010 pour examiner ces dossiers et dresser la liste définitive des candidats. 27 candidats ont également déposé leur dossier au poste de gouverneur des 3 îles, Anjouan, Mohéli et Grande Comore, dont l'élection est également prévue le 7 novembre 2010. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mercredi 10 novembre 2010 : Election présidentielle aux Comores : Le premier tour de l'élection présidentielle s'est déroulée dimanche 7 novembre 2010 sur l'île de Mohéli. Pour la première fois, un ressortissant de Mohéli doit prendre la tête de l'Etat, après les îles de Grande Comore et d'Anjouan, en vertu d'un système de présidence tournante instauré par la Constitution de 2001. Selon des résultats provisoires, Ikililou Dhoinine, vice-président sortant, serait en tête, suivi de l'ancien président de l'île de Mohéli, Mohamed Said Fazul, opposant au pouvoir du président comorien sortant, Ahmed Abdallah Sambi. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 20 novembre 2010 : L'opposition, regroupée en un collectif, dénonce auprès de l'Union africaine, les "conditions frauduleuses et honteuses" de l'élection présidentielle : Après le premier tour de l'élection présidentielle qui s'est déroulé le 7 novembre 2010, 9 des 10 candidats, qui se sont réunis en un "collectif des candidats de l'opposition", ont adressé un courrier au président de la Commission de l'Union Africaine, Jean Ping, pour dénoncer les "conditions frauduleuses et honteuses" de ce scrutin. Le Collectif a affirmé qu'il "ne reconnaît pas les résultats dudit scrutin (...) et ne reconnaîtra pas les résultats du scrutin du 26 décembre" 2010, date du second tour. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 27 décembre 2010 : Second tour de l'élection présidentielle : Les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 26 décembre 2010 pour le second tour de l'élection présidentielle et départager 3 candidats arrivés en tête du premier tour qui s'est tenu le 7 novembre 2010. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Mercredi 29 décembre 2010 : L'opposition dénonce des fraudes massives lors du second tour de l'élection présidentielle : Après le second tour de l'élection présidentielle qui s'est tenue dimanche 26 décembre 2010, dans les 3 îles de l'Union, Grande Comore, Anjouan et Mohéli, l'opposition a dénoncé des "fraudes massives" qualifiant le scrutin de "mascarade". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Jeudi 30 décembre 2010 : Ikililou Dhoinine, actuel vice-président du pays et dauphin désigné du président sortant Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, remporte l'élection présidentielle : La Commission a annoncé officiellement mercredi 29 décembre 2010 qu'Ikililou Dhoinine, actuel vice-président du pays et dauphin désigné du président sortant Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, a remporté l'élection présidentielle qui s'est tenue dimanche 26 décembre 2010 avec 61 % des voix, contre 33 % à son principal rival, le candidat de l'opposition Mohamed Said Fazul. Le taux de participation a été de 52,8 %. Ikililou Dhoinine devient ainsi le premier Mohélien à prendre la tête de l'Union des Comores depuis son indépendance en 1975. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

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Climat
Climat humide et chaud dans les régions côtières. Températures plus fraîches en altitude. Précipitations abondantes, apportées par les moussons d'origine indienne (entre novembre et avril). Des cyclones tropicaux traversent régulièrement l'archipel, provoquant d'importants dégâts matériels.
Code ISO
KM
Devise nationale
Unité, solidarité, développement
Drapeau
Ancien drapeau de la République fédérale islamique des Comores Nouveau drapeau des Comores
Ancien drapeau et nouveau drapeau des Comores
Economie
Bananes, manioc, maïs, riz. Epices : poivre, cannelle, clous de girofle). Plantes à parfum : vanille, ylang-ylang. Tourisme.
Fête nationale
6 juillet (1975, date de l'indépendance)
Langue officielle
Arabe et français.
Liens
Présidence de l'Union des Comores
Journal officiel Union des Comores
Gouvernement d'Anjouan
Banque centrale des Comores
Comores Aviation Compagnie aérienne de l'Union des îles Comores
Site de l'Office du tourisme des Comores
Médias
Censure à la suite du coup d'Etat de 1990. Aujourd'hui, libéralisation progressive des médias.

Al Watan : premier quotidien des Comores
La Gazette des Comores
Offre n° 3

Monnaie
Franc comorien.
Partis politiques
Rassemblement national pour le développement
Front national pour la justice
Population
Comoriens
752 438 habitants.
Coréens (100 %).
Principales villes
Moroni, Fomboni, Tsimbeo
Offre n° 4
Religion
Musulmans sunnites 98 % ; Catholiques romains 2 %
Situation géographique
Etat de l'océan Indien, constitué d'un archipel volcanique situé entre le continent africain et l'île de Madagascar, à l'entrée septentrionale du canal de Mozambique, à la hauteur de la frontière entre la Tanzanie et le Mozambique. Les Comores représentent un point de passage stratégique pour le trafic pétrolier international.
Statut
République. Président et chef du gouvernement : Azali Assoumani (depuis le 26 mai 2016).
Superficie
2 236 km2
Webcam
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(Voir également l'espace webcam)


Offre n° 5



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