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PAYS DU MONDE - AFRIQUE : SAHARA OCCIDENTAL COMMENT DEVENIR CORRESPONDANT (E) DE PRESSE BENEVOLE !
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+ Fil info Sahara Occidental

Le drapeau du Sahara Occidental



Offre n° 1



 
 


Offre n° 2

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Nom officiel
Aucun. Anciennement : Sahara espagnol.
Administration
Officiellement le Sahara occidental est sous contrôle du Maroc dans l'attente de l'organisation d'un référendum d'autodétermination sous l'égide de l'ONU.
Capitale
Aucune.
Chronologie politique
Copyright : Fil-info-France.com
Vendredi 4 janvier 2002 :
A l'occasion du Nouvel An et de la fin du Ramadan, et à la demande du gouvernement espagnol, le Front Polisario a annoncé la libération de 115 prisonniers marocains dont certains sont détenus depuis plus de 10 ans. 900 prisonniers de guerre marocains ont déjà été libérés par les Sahraouis.

Jeudi 21 février 2002 : Le secrétaire général de l'ONU a présenté un rapport au conseil de sécurité au sujet du Sahara Occidental qu'il a qualifié de "pessimiste mais réaliste" par lequel il prend acte du blocage des négociations entre le Maroc et le Front Polisario. Il propose plusieurs options au Conseil de Sécurité dont le partage du territoire en 2 entre le Maroc et le Front Polisario, mais cette proposition a toujours été rejetée par le Maroc.

Vendredi 7 juin 2002 : Après une nouvelle visite auprès des prisonniers le 28 mai dernier, le CICR a appelé le Front Polisarioà libérer quelque 1300 soldats marocains, emprisonnés depuis près de 25 ans dans des conditions précaires dans les camps de Tindiouf. Le CICR s'inquiète de leur état de santé étant donné leur âge et leurs conditions de détention difficiles. Le mouvement indépendantiste sahraoui annonce qu'il ne libérera ces prisonniers, les plus vieux détenus de guerre du monde, que si le Maroc libère 226 combattants sahraouis.

Mercredi 19 juin 2002 :
Le Front Polisario a libéré une centaine de prisonniers de guerre marocains suite à une demande du gouvernement allemand dont le secrétaire d'état aux affaires étrangères est en visite à Alger. Le Front Polisario s'est empressé d'ajouter qu'il s'agissait d'une "mesure strictement humanitaire".

Lundi 8 juillet 2002 : Le Front Polisario qui lutte depuis plus de 20 ans pour l'indépendance du Sahara occidental contrôlé par le Maroc, a libéré dimanche 101 prisonniers de guerre marocains détenus depuis 20 ans à Tindouf. Les prisonniers ont été remis au Comité International de la Croix Rouge.

Samedi 1er février 2003 : Le Conseil de Sécurité de l'ONU a renouvelé pour 2 mois le mandat de la MINURSO afin de laisser du temps au gouvernement marocain et au Front Polisario d'examiner la proposition de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, l'ex-secrétaire d'état américain James Becker, qui prévoit une autonomie partielle du Sahara occidental au sein du royaume marocain pendant 4 ans puis la tenue d'un référendum d'autodétermination, ce que refuse le Front Polisario. La crise entre le Maroc et le Front Polisario, soutenu par l'Algérie, dure depuis près de 27 ans.

Mercredi 12 février 2003 :
Le Front Polisario a annoncé la libération mardi de 100 prisonniers marocains. Selon le CICR, le Front Polisario détient encore 1161 Marocains, les plus vieux prisonniers du monde, détenus pour la plupart depuis plus de 20 ans, et dénonce les conditions de détention de ces hommes "détenus en violation de toutes les conventions internationales et notamment celle de Genève sur les prisonniers de guerre."

Mercredi 21 mai 2003 : Le Front Polisario célèbre mardi et mercredi à Tindouf le 30ème anniversaire de sa création et en soutien à la population sahraouie. Des invitations ont été lancées à plus de 500 personnalités politiques, membres d'ONG et de la société civile européenne pour participer aux festivités.

Jeudi 22 mai 2003 : Le Front Polisario menace de reprendre les armes si un référendum d'autodétermination n'est pas organisé au plus vite.

Samedi 31 mai 2003 :
Alors que le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, appelait le Front Polisario à libérer tous les prisonniers de guerre marocains détenus à Tindouf, certains depuis plus de 20 ans, et lever les restrictions de mouvement imposées à la Mission de l'ONU pour le Référendum au Sahara Occidental (MINURSO), le Conseil de sécurité a prolongé pour deux mois le mandat de cette force de maintien de la paix.

Jeudi 3 juillet 2003 : Le secrétaire général de l'ONU n'a pu que constater l'impasse dans laquelle se trouvait le plan de paix proposé par l'ancien diplomate américain James Baker, émissaire spécial de Kofi Annan, aucune des deux parties ne souhaitant adopter ce plan qui prévoit la création d'une autorité transitoire décentralisée avant l'organisation d'un référendum d'autodétermination dans un délai de cinq ans. Le Front Polisario souhaite la tenue immédiate du référendum. Le Maroc et le Front Polisario se disputent depuis 1975 le Sahara occidental. Le Maroc considère ce désert comme partie intégrante de son territoire et refuse tout transfert de pouvoir. Un cessez-le-feu a été conclu entre les deux parties en 1991. La MINURSO (Mission des Nations-Unies pour un référendum au Sahara Occidental) est présente sur place depuis 1991 pour faire respecter ce cessez-le-feu. Le secrétaire général de l'ONU a fait remarquer que "la présence de force de maintien de la paix de l'ONU au Sahara occidental depuis 1991 a coûté à la communauté internationale 500 millions de dollars".

Vendredi 1er août 2003 :
Le conseil de Sécurité de l'ONU a reconduit à l'unanimité jusqu'au 31 octobre la mission des Nations-Unis pour le référendum au Sahara Occidental (MINURSO) renouvelant son soutien au plan de paix proposé par l'envoyé spécial de Kofi Annan, James Baker. Voir le site de l'ARSO, Association de soutien à un référendum libre et régulier au Sahara Occidental.

Samedi 16 août 2003 : Le Front Polisario va procéder à la libération de 243 prisonniers de guerre marocains pour la plupart détenus depuis près de 20 ans à Tindouf. 100 prisonniers ont été libérés en février dernier, 458 en deux ans. Il reste encore 914 prisonniers marocains dans les prisons de Tindouf.

Mardi 14 octobre 2003 :
Le Front Polisario a ouvert dimanche pour la première fois depuis 1973 à Tifariti dans les territoires libérés du Sahara occidental son 11ème congrès ordinaire avec pour objectif "de marquer une étape cruciale dans le resserrement des rangs pour mettre fin au colonialisme marocain et permettre au peuple sahraoui d'exercer son droit à l'autodétermination et à l'indépendance" selon le porte-parole du mouvement de lutte pour l'indépendance du Sahara Occidental. Le Congrès devra adopter les statuts de l'organisation, son réglement intérieur, la future constitution de la République Sahraouie et la nouvelle politique du mouvement.

Vendredi 31 octobre 2003 : Le Conseil de Sécurité de l'ONU a prorogé jusqu'au 31 janvier 2004 le mandat de la MINURSO (Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendu au Sahara Occidental).

Samedi 1er novembre 2003 : Le Front Polisario a nommé un nouveau premier ministre à la tête de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), autoproclamée en 1976 par le Front Polisario, en la personne de Abdelkader Taleb Oumar, nommé mercredi par décret du président Mohamed Abdel Aziz.

Samedi 8 novembre 2003 :
Le Front Polisario a annoncé vendredi la libération de 300 prisonniers marocains. Leur rapatriement sera assuré par le Comité International de la Croix Rouge (CICR).

Samedi 14 février 2004 : Le ministère qatariote des Affaires étrangères a annoncé vendredi dans un communiqué que le Front Polisario allait libérer 100 prisonniers de guerre marocains pour "raisons humanitaires" et représentait "la bonne foi et de la bonne volonté sincère de n'épargner aucun effort pour contribuer à l'avènement d'une paix juste et définitive au Sahara Occidental sur la base du strict respect des droits du peuple sahraoui et l'autodétermination" suite à une médiation du Qatar.

Vendredi 30 avril 2004 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté jeudi à l'unanimité la résolution 1541 qui proroge de six mois le mandat de la Mission des Nations Unies au Sahara (MINURSO). Le Maroc a une nouvelle fois réitéré son opposition à une indépendance du Sahara occidental et a rejeté tout référendum d'autodétermination, même à l'issue d'une période transitoire de 5 ans, comme suggéré par l'ancien secrétaire d'Etat américain en 2003, James Baker, représentant spécial du secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan. Le Maroc qui considère l'annexion du Sahara-Occidental en 1975 comme "le parachèvement de son intégrité territoriale", propose d'accorder "une large autonomie" au territoire contesté dans le cadre d'un projet de régionalisation, qui devrait faire prochainement l'objet d'une révision constitutionnelle.

Lundi 14 juin 2004 : Un porte-parole des Nations-Unis a annoncé vendredi que l'Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies pour le Sahara Occidental, James A. Baker III, ancien secrétaire d'Etat américain, a démissionné de son poste. L'ONU avait proposé un plan de paix pour l'autodétermination du peuple du Sahara occidental, qui, selon le Conseil de sécurité, constituait une "solution politique optimale reposant sur un accord entre les deux parties", le Maroc et le Front Polisario, et donnait à James Baker la responsabilité d'organiser un référendum. Au mois d'avril, le Maroc avait rejeté ce plan et proposé d'accorder au Sahara occidental une autonomie limitée.

Mardi 22 juin 2004 :
Le Front Polisario a annoncé la libération de 100 prisonniers marocains dont des officiers suite à une demande de l'Irlande qui assure la présidence de l'Union européenne. 400 prisonniers marocains sont toujours détenus dans les camps de Tindouf certains depuis plus de 25 ans.

Mardi 7 septembre 2004 : Alvaro de Soto, l'envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU Kofi Annan, est arrivé lundi dans la région où il rencontrera le roi du Maroc Mohammed VI et de hauts responsables les 6 et 7 septembre 2004. Il sera reçu par les chefs du Front Polisario le 12 septembre. Alvaro de Soto remplace à ce poste l'émissaire américain, James Addison Baker III, ancien secrétaire d'Etat américain, qui avait démissionné le 11 juin 2004. L'ONU avait proposé un plan de paix pour l'autodétermination du peuple du Sahara occidental, qui, selon le Conseil de sécurité, constituait une "solution politique optimale reposant sur un accord entre les 2 parties", le Maroc et le Front Polisario, et donnait à James Baker la responsabilité d'organiser un référendum. Au mois d'avril, le Maroc avait rejeté ce plan et proposé d'accorder au Sahara occidental une autonomie limitée.

Samedi 23 octobre 2004 : La 4ème Commission de l'Assemblée Générale des Nations Unies a voté vendredi une résolution sur le Sahara occidental qui réaffirme "le droit inaliénable à l'autodétermination du peuple Sahraoui, et son droit à l'indépendance, validant ainsi une fois de plus le plan de paix entériné par la communauté internationale".

Samedi 30 octobre 2004 :
Le Conseil de sécurité de l'ONU a confirmé jeudi son engagement en faveur d'une "solution politique" au Sahara-Occidental et a voté à l'unanimité la prolongation pour 6 mois du mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara-Occidental (MINURSO) jusqu'au 30 avril 2005. Il a maintenu les effectifs des 225 observateurs militaires de la MINURSO qui surveillent le cessez-le-feu conclu en 1991, sous l'égide de l'ONU, entre le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario. Le Polisario et l'Algérie militent pour l'organisation d'un référendum d'autodétermination, une solution désormais jugée "caduque et inapplicable" par le Maroc qui a annexé l'ex-Sahara espagnol en 1975.

Vendredi 29 avril 2005 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté jeudi à l'unanimité la résolution 1598 qui proroge pour une durée de 6 mois, jusqu'au 31 octobre 2005, le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO). La résolution demande "instamment au Front Polisario de libérer sans délai tous les prisonniers de guerre restants, conformément au droit international humanitaire", et appelle "une fois de plus le Maroc et le Front Polisario à continuer de coopérer avec le Comité international de la Croix-Rouge CICR en vue de régler le sort des personnes portées disparues depuis le début du conflit".

Jeudi 1er septembre 2005 : Le chef du Polisario, Mohamed Abdelaziz, a adressé une lettre au Premier ministre britannique Tony Blair, président en exercice de l'Union Européenne, lui demandant l'intervention de l'Union européenne pour que soit "parachevé" le "processus de décolonisation au Sahara Occidental" qui doit "permettre au peuple sahraoui d'exercer son droit inaliénable, conformément aux principes et à la Charte de l'ONU, par l'application du plan onusien pour l'autodétermination du peuple sahraoui à travers un référendum libre, régulier et transparent". Le Front Polisario avait fait un geste en direction du Maroc en libérant, le 18 août 2005, 404 prisonniers marocains, les derniers qu'il détenait dans le Sud-Ouest algérien à Tindouf, à la suite d'une médiation des Etats-Unis et demandait la libération de prisonniers sahraouis. Selon Mohamed Abdelaziz, "37 prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim, ainsi que 151 combattants, en plus des 500 sahraouis disparus", des civils arrêtés par la police marocaine sont détenus par les autorités marocaines.

Jeudi 29 septembre 2005 :
Dans une lettre adressée au Conseil de Sécurité de l'ONU, le chef du Front Polisario et Président de la République arabe sahraouie et démocratique (RASD), Mohamed Abdelaziz, a demandé "des sanctions" contre le Maroc et exige de Rabat qu’il reconnaisse le droit du "peuple sahraoui d'exercer son droit inaliénable à l'autodétermination". Le Front Polisario demande l’engagement de poursuites judiciaires contre les responsables marocains qu’il accuse de "crimes contre l’humanité en relation avec le conflit du Sahara occidental".

Mercredi 12 octobre 2005 : L'ambassadeur Peter van Walsum, Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara occidental, entame mercredi 12 octobre 2005 une visite de la région. Il visitera Rabat, Tindouf, Alger et Nouakchott "pour des consultations avec le Gouvernement du Maroc, avec le Front Polisario, et des réunions avec les gouvernements des 2 pays voisins, l'Algérie et la Mauritanie". Il évaluera la situation et recherchera avec les parties, les pays voisins et d'autres protagonistes, "le meilleur moyen de sortir de l'impasse politique actuelle". Le Maroc et le Front Polisario, soutenu par l'Algérie, se disputent depuis 1975 la souveraineté du Sahara occidental, ancienne colonie espagnole.

Lundi 31 octobre 2005 : Le Conseil de Sécurité de l'ONU a adopté vendredi la résolution 1634 qui proroge jusqu'au 30 avril 2006 le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO). Le Conseil de sécurité a appelé "au plein respect des accords militaires de cessez-le-feu conclus avec la MINURSO. Le Conseil de sécurité était saisi du dernier rapport du Secrétaire général de l'ONU Kofi Annan sur la situation au Sahara occidental en date du 13 octobre 2005 en application de la résolution 1598 (2005) du Conseil de sécurité en date du 28 avril 2005. Ce dernier a rappelé que "les parties ne sont toujours pas parvenues à sortir de l'impasse dans laquelle elles se trouvent en ce qui concerne la recherche d'une solution mutuellement acceptable, qui permettrait au peuple du Sahara occidental d'exercer son droit à l'autodétermination" ajoutant "l'absence de progrès a de plus été aggravée par le climat politique généralement tendu dans la région". Kofi Annan se disait également "préoccupé par les allégations faisant état de violations des droits de l'homme par les parties, aussi bien dans le territoire que dans les camps de réfugiés de la région de Tindouf". Rappelons que le Sahara occidental est une ancienne colonie espagnole annexée par le Maroc en 1975. Le Front Polisario, mouvement armé soutenu par l'Algérie, en réclame l'indépendance.

Lundi 12 décembre 2005 : Le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, a appelé dimanche le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, à "protéger la population civile sahraouie" dans les territoires occupés du Sahara-Occidental après "l'assassinat , sans raison aucune, de Lekhlifa Abba Cheikh Ould Embarek Oul Ely (NDLR. Le 2 décembre dernier à Tan Tan, sud du Maroc) (qui) traduit les inquiétudes et les angoisses dont nous avons fait part dans de précédentes correspondances, pour garantir et protéger les populations civiles sahraouies en réel danger". Le président sahraoui également demandé au secrétaire général de l'ONU d'intervenir auprès du gouvernement marocain pour qu'il "respecte les droits de l'homme et la légalité internationale au Sahara-Occidental".

Mercredi 1er mars 2006 : Le Front Polisario a célébré lundi 27 février 2006 à Tifariti, localité inhabitée située à quelque 80 kilomètres de Smara, est interdite au Front Polisario par les accords d'Houston qui en ont fait une zone démilitarisée mais toujours sous administration marocaine, une partie des festivités marquant le 30e anniversaire de la création de la RASD (République arabe sahraouie démocratique auto-proclamée en 1976).

Samedi 29 avril 2006 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a prorogé vendredi 28 avril 2006 par la résolution 1675 (2006) le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), appelant le Maroc et le Front Polisario à ouvrir des négociations pour une solution politique.

Lundi 15 mai 2006 : Une délégation du Haut Commissariat de l'ONU aux Droits de l'Homme doit effectuer du 15 au 21 mai une visite à El Ayoun, chef lieu du Sahara occidental, ainsi qu'à Tindouf où elle doit rencontrer des dirigeants du Front Polisario.

Jeudi 19 octobre 2006 : Dans un rapport publié mercredi 18 octobre 2006, le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a recommandé au Conseil de sécurité de l'ONU d'inviter le Maroc et le Front Polisario à engager des "négociations directes, sans conditions préalables, afin de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette d'assurer l'autodétermination du peuple du Sahara occidental".

Mercredi 1er novembre 2006 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a prorogé mardi 31 octobre 2006, par sa résolution 1720 adoptée à l'unanimité de ses 15 membres pour une durée de 6 mois, soit jusqu'au 30 avril 2007, le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui existe depuis 1991. Il a de nouveau demandé aux parties et aux Etats de la région de continuer à coopérer pleinement avec l'ONU "pour mettre fin à l'impasse actuelle et aller de l'avant vers une solution politique". Une cinquantaine d'Etats reconnaissent le gouvernement en exil de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée en 1976 par le Front Polisario, tandis qu'aucun pays n'accepte les revendications du Maroc sur cette terre.

Mardi 13 mars 2007 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté mardi 13 mars 2007 à l'unanimité la prolongation de la mission de l'ONU au Sahara Occidental, MINURSO, créée en 1991 pour faire respecter le cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario, mouvement indépendantiste soutenu par l'Algérie.

Mardi 1er mai 2007 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté lundi 30 avril 2007 la résolution 1754 (2007) "qui prend note" de la "proposition marocaine présentée le 11 avril 2007 au Secrétaire général de l'ONU ainsi que de la proposition du Front Polisario, présentée le 10 avril 2007. Par cette résolution, le Conseil de sécurité de l'ONU demande aux parties "d'engager des négociations de bonne foi sans conditions préalables, en tenant compte des développements survenus ces derniers mois, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental". Il demande à cet égard au Secrétaire général d'organiser ces négociations sous ses auspices et de lui présenter d'ici au 30 juin 2007 un rapport sur les progrès réalisés. Le Conseil de sécurité a également décidé de proroger jusqu'au 31 octobre 2007 le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO).

Vendredi 10 août 2007 : La deuxième phase des discussions sur le Sahara occidental entre le Maroc et le Front Polisario s'est ouverte vendredi 10 août 2007 pour 2 jours à Long Island près de New York. Les débats seront menés à huit clos, et fermés à la presse, par l'envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU, Peter Van Walsun.

Lundi 13 août 2007 : Le second round des négociations entre le Maroc et le Front Polisario, qui s'est tenu les 10 et 11 août 2007, à Manhasset dans l'Etat de New York, s’est achevé sans aucune avancée. Dans un communiqué les parties ont indiqué que "continuer leurs négociations sous les auspices du secrétaire général et conformément à la résolution 1754 du 30 avril 2007 du Conseil de sécurité. Des représentants des pays voisins, l’Algérie et la Mauritanie, étaient également présents aux séances d’ouverture et de clôture et ont été consultés séparément pendant les pourparlers. Les parties reconnaissent que le statu quo actuel est inacceptable et elles se sont engagées à poursuivre ces négociations de bonne foi. Elles sont convenues que le processus de négociation se poursuivra et que des consultations appropriées seront conclues sur la date et le lieu du round à venir". Selon Radhi Bachir Seghaïer, un conseiller du chef du Polisario Mohamed Abdelaziz, les prochains pourparlers sur le Sahara qui durent depuis 32 ans, se dérouleront probablement en Europe avant la fin 2007. Le Front Polisario réclame un référendum d'autodétermination du peuple sahraoui. Le Maroc n'est disposé qu'à envisager une autonomie sous souveraineté marocaine.

Mercredi 29 août 2007 : L'ONU a annoncé lundi 27 août 2007 la nomination du général chinois Zhao Jingmin à la tête de la Mission de l'ONU pour un référendum au Sahara occidental (MINURSO). Il remplacera le général danois Kurt Mosgaard, dont l'affectation a pris fin lundi. C'est la première fois que le commandement d'une mission de maintien de la paix de l'ONU est confié à un Chinois.

Jeudi 1er novembre 2007 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a prorogé jeudi 1er novembre 2007, jusqu'au 30 avril 2007, par la résolution 1783 (2007) le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO). Le Conseil demande aux parties de "poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire général, sans conditions préalables et de bonne foi, en tenant compte des efforts réalisés depuis 2006 et des événements des derniers mois", et ce, dans l'objectif de parvenir à une "solution politique juste, durable et mutuellement acceptable" permettant "l'autodétermination du peuple du Sahara occidental dans le contexte d'arrangements compatibles avec les buts et principes énoncés dans la Charte des Nations Unies". Le représentant de l'Afrique du Sud, Dumisani Kumalo, a regretté, avant le vote, que le projet de résolution ne fasse aucune mention des droits de l'homme au Sahara occidental.

Samedi 22 décembre 2007 : Réuni pour son 12e Congrès à Tifari, le Front Polisario a menacé de reprendre la guerre contre le Maroc. Les membres du congrès ont souligné la "préoccupation" des Sahraouis devant "l'attitude de l'Organisation des Nations unies qui, en dépit de seize ans de présence sur le terrain, n'est pas parvenue à s'acquitter de ses obligations et à assumer ses responsabilités dans l'organisation d'un référendum d'autodétermination au Sahara occidental".

Samedi 5 janvier 2008 : La porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Michèle Montas, ancienne présentatrice, journaliste de Radio Haïti, dont le mari, Jean Léopold Dominique, également journaliste, a été assassiné par des inconnus le 3 avril 2000, a indiqué vendredi 4 janvier 2008 dans un communiqué que "la prochaine série de négociations sur le Sahara occidental aura lieu du 7 au 9 janvier prochains à Manhasset, dans l'île de Long Island aux Etats-Unis" et que compte tenu du "caractère délicat des discussions en cours, les pourparlers seront encore une fois privés". Les médias ne seront pas autorisés sur le site. Des discussions ont déjà eu lieu entre le Maroc et le Front Polisario en juin et août 2007. Le 31 octobre 2007, le Conseil de sécurité de l'ONU avait demandé aux parties de "poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire général, sans conditions préalables et de bonne foi".

Vendredi 1er février 2008 : Selon le quotidien britannique "The Times" dans son édition du jeudi 31 janvier 2008, citant un responsable de l'ONU, des "officiers, pas des secondes classes", membres mission de l’ONU au Sahara occidental (MINURSO), ont vandalisé le site préhistorique, connu sous le nom de "Montagne du diable", où sont représentés des animaux et des humains gravés dans la roche, gribouillant de graffitis portant leur nom et matricule sur les peintures du site. Julian J. Harston, représentant spécial de l’ONU au Sahara occidental, a indiqué que les "officiers allaient être sanctionnés par l'ONU et référé à leurs pays d'origine".

Mardi 22 avril 2008 : L'émissaire de l'ONU pour le Sahara occidental, Peter van Walsum, a estimé lundi 21 avril 2008 que l'indépendance du Sahara occidental n'est pas un objectif réaliste et que le Front Polisario devrait y renoncer.

Samedi 7 juin 2008 : A l'occasion d'une cérémonie qui s'est tenue jeudi 5 juin 2008 à Alger, pour le 35e anniversaire de la création du Front Polisario et du déclenchement de la lutte armée au Sahara occidental, l'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à Alger, Brahim Ghali, a tenu à rappeler que la paix au Sahara occidental et dans la région n'était pas possible sans la tenue d'un référendum "libre, juste et régulier" pour le peuple sahraoui, qui lutte depuis plus de 35 ans pour sa liberté. Il a ajouté : "Il n'est possible d'atteindre une paix réelle et durable dans notre région qu'à travers une solution juste, définitive et démocratique, et ce en permettant au peuple sahraoui de décider de son avenir en un référendum libre, juste et régulier". Brahim Ghali a précisé : "Toute tentative visant à ignorer ou confisquer les droits de notre peuple est vouée à l'échec, comme celles qui ont échoué depuis 1975", année de l'invasion marocaine du Sahara occidental. Le diplomate a demandé à la communauté internationale de "défendre la légalité internationale qui assure au peuple sahraoui le droit à l'autodéfense, à la dignité de sa patrie et à recouvrer ses droits légitimes par tous les moyens". Il a affirmé que le conflit au Sahara occidental oppose la "logique du colonialisme, de l'injustice, de l'oppression et de l'expansionnisme adoptée par le gouvernement marocain, et la logique de la légalité internationale et du respect des principes de l'ONU et de sa Charte, revendiquée par le peuple sahraoui. La perpétuation de la présence coloniale au Sahara occidental au 21e siècle constitue un affront que ni le peuple sahraoui, ni la communauté internationale ne tolèrent". Il a conclu : "L'occupant marocain exerce, en toute impunité, les plus atroces formes de violation des droits de l'homme, viole les libertés, pille les ressources naturelles, impose un siège militaire et sécuritaire sur les territoires sahraouis occupés et empêche les observateurs et journalistes indépendants d'y accéder".

Vendredi 29 août 2008 : L'ancien ambassadeur des Pays-Bas, Peter Van Walsum, nommé le 29 juillet 2005 au poste d'envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental, a annoncé jeudi 28 août 2008 qu'il démissionnait de son poste. Peter Van Walsum avait estimé lundi 21 avril 2008 que l'indépendance du Sahara occidental n'est pas un objectif réaliste et que le Front Polisario devrait y renoncer, provoquant la colère de ce dernier.

Jeudi 8 janvier 2009 : Le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon, a informé mercredi 7 janvier 2009 le Conseil de sécurité de l'ONU de son intention de nommer l'Américain, Christopher Ross, ancien ambassadeur des Etats-Unis en Syrie et en Algérie, au poste d'Envoyé personnel pour le Sahara occidental, en remplacement de Peter van Walsum. (Copyright www.fil-info-france.com)

Vendredi 20 mars 2009 : Une délégation d'ambassadeurs et de diplomates de plus de 19 pays, dont le Brésil, la France, l'Indonésie, l'Italie, la Suisse, l'Afrique du Sud, l'Espagne, le Nigéria et les Etats-Unis, des représentants du Service d'Aide Humanitaire de la Commission européenne (ECHO), accompagnés d'employés du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) et du Programme alimentaire mondial (PAM), ont débuté mercredi 18 mars 2009 une mission de 3 jours dans 2 des 4 camps de réfugiés sahraouis situés dans l'ouest de l'Algérie pour se rendre compte par eux-mêmes de la situation dans les camps et évaluer les conditions de vie des réfugiés. La dernière étude menée en 2008 par Médecins du Monde (MDM) et le PAM en coordination avec le HCR avait conclu que des réfugiés souffraient de malnutrition dans les camps, avec 61 % des enfants et 66 % des femmes enceintes souffrant d'anémie, une déficience en fer. L'évaluation a également montré que 55 % de l'ensemble des femmes étaient anémiques, avec une possibilité de déficiences micro nutritionnelles pour l'ensemble de la population. Copyright www.fil-info-france.com/

Samedi 2 mai 2009 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a prorogé d'un an, jeudi 30 avril 2009, le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) qui est chargée d'organiser un référendum d'autodétermination et de surveiller le cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario. Copyright www.fil-info-france.com/

Mercredi 12 août 2009 : Une réunion informelle de 2 jours s'est ouverte lundi 10 août 2009 à Vienne à huis clos entre le ministre marocain des Affaires étrangères, Taïeb Fassi Fihri, et des représentants du Front Polisario, à l'initiative de l'envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross. Elle vise à trouver "une solution politique équitable, durable et acceptable pour les 2 parties et qui respecte le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui", selon un communiqué officiel. Le Maroc propose un plan de large autonomie sous sa souveraineté. Le Front Polisario réclame pour sa part un référendum d'autodétermination dans lequel l'indépendance serait l'une des options. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 18 septembre 2009 : Plusieurs centaines de Sharaouis ont manifesté pacifiquement dans la nuit de mardi 15 à mercredi 16 septembre 2009 dans la ville d'El Ayoun pour réclamer "le retrait immédiat de l'occupant marocain au Sahara occidental". Ils ont également dénoncé "les procès iniques et les violations flagrantes des droits de l'homme commises par l'Etat marocain contre les citoyens sahraouis sans défense qui appellent à l'autodétermination de leur peuple". Une trentaine de Sahraouis ont été blessés ou arrêtés au cours de ce rassemblement. Le Front Polisario avait affirmé, dans un communiqué rendu public mardi 15 septembre 2009 que que la Mission des Nations Unies pour le Sahara Occidental (MINURSO) ne protège pas assez les droits de l'homme au Sahara occidental. Il avait également condamné "les graves violations des droits de l'homme commises par l'Etat marocain à l'encontre des citoyens sahraouis sans défense au Sahara occidental occupé, dans le sud du Maroc et dans les universités marocaines". Le Front Polisario a estimé que le règlement du conflit au Sahara occidental "se construit obligatoirement sur le respect de la volonté du peuple sahraoui et son libre choix dans le cadre de la démocratie et de la transparence". Le Haut commissaire des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR), Antonio Guterres, avait effectué une visite au Maroc pour des entretiens portant sur la situation des Marocains retenus dans les camps de Tindouf et les violations des droits de l'Homme qui y sont enregistrées. Il s'était rendu dans les camps de réfugiés de Tindouf où il avait dénoncé les conditions de vie déplorables des réfugiés. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 26 septembre 2009 : AFRIQUE DU SUD : Le congrès des syndicats sud-africains (Congress of South African Trade Unions, COSATU) a adopté jeudi 24 septembre 2009 une motion dans laquelle il réaffirme son soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, soulignant que l'occupation marocaine du Sahara occidental est une "violation du droit et de la légalité internationale". Le COSATU a affirmé dans cette motion, adoptée lors de son 10e congrès qui s'est ouvert mardi 22 septembre 2009, que "la liberté et l'indépendance des pays africains demeurent incomplètes tant que le peuple du Sahara occidental souffre de la domination coloniale". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 9 octobre 2009 : Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a annoncé jeudi 8 octobre 2009 avoir informé le Conseil de sécurité de l'ONU de son intention de nommer l'Egyptien Hany Abdel-Aziz comme représentant spécial pour le Sahara occidental et chef de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) en remplacement de Julian Harston, qui a été nommé directeur du bureau de l'ONU à Belgrade en Serbie, le 1er mars 2009. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 3 novembre 2009 : SUEDE/SAHARA OCCIDENTAL : Le Parti social démocrate suédois (première force politique en Suède), réuni pour son 36e congrès du 28 octobre au 1er novembre 2009 a adopté une motion de reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Dans un communiqué les membres du Parti "réitère avec force la solidarité des sociaux démocrates avec le peuple sahraoui, et leur engagement à oeuvrer pour la liberté du Sahara occidental" et demandent à leur parti d'oeuvrer pour la reconnaissance par l'Union européenne de l'indépendance du peuple sahraoui. Le Parti social démocrate suédois a dénoncé "l'oppression et la répression que subissent de plein fouet les populations sahraouies vivant sous le joug de l'occupation". Il a condamné "vigoureusement les récentes vagues d'arrestations et les violations massives des droits de l'Homme commises par les autorités marocaines" mais aussi "les tergiversations et les manoeuvres du gouvernement marocain et son non-respect des résolutions de l'ONU". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Vendredi 18 décembre 2009 :Aminatou Haidar (42 ans), militante sahraouie, en grève de la faim depuis le 16 novembre 2009 à l’aéroport de Lanzarote aux Iles Canaries en Espagne, 2 jours après avoir été expulsée du Sahara Occidental vers l'Espagne par les autorités marocaines qu'elle accuse de lui avoir retiré son passeport marocain, a quitté Lanzarote jeudi 17 décembre 2009 à bord d'un avion médicalisé à destination de Laayoune, chef-lieu du Sahara occidental. Dans un communiqué publié dans la soirée de jeudi à Paris en France, l'Elysée (siège de la présidence) a annoncé que le président français Nicolas Sarkozy avait demandé au Maroc de remettre un passeport à Aminatou Haidar. Le communiqué français précise que Nicolas Sarkozy a effectué cette démarche le 15 décembre 2009 en recevant à Paris le ministre marocain des Affaires étrangères, Taïb Fassi Fihri, et en exprimant "le voeu que le Royaume du Maroc puisse, dans sa tradition d'ouverture et de générosité, faire remettre à Mme Aminatou Haidar son passeport marocain à son arrivée sur le territoire du Royaume". Lire l'édition de Fil-info-France du samedi 12 décembre 2009 (Espagne). Le Maroc et le Front Polisario se disputent la souveraineté sur le Sahara occidental depuis la fin de la domination espagnole sur ce territoire en 1976. La Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) est chargée de surveiller le cessez-le-feu conclu en 1991 entre le Maroc et le Front Polisario et d'organiser un référendum d'autodétermination. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 26 décembre 2009 : La militante sahraouie des droits de l'homme, Aminatou Haidar, a indiqué vendredi 25 décembre 2009 être assignée à résidence à Laayoune, chef-lieu du Sahara occidental, depuis son retour au Sahara occidental, le jeudi 17 décembre 2009. En grève de la faim depuis le 16 novembre 2009 à l’aéroport de Lanzarote aux Iles Canaries en Espagne, 2 jours après avoir été expulsée du Sahara Occidental vers l'Espagne par les autorités marocaines qu'elle accuse de lui avoir retiré son passeport marocain, elle avait été autorisée à quitter Lanzarotte pour le Sahara occidental. Elle a affirmé que les membres de sa famille, les voisins "avaient des problèmes" pour lui rendre visite. Les forces de sécurité marocaines se sont déployées à Laayoune, et empêchent les journalistes, les observateurs internationaux, les militants des droits de l'homme ainsi que des centaines de citoyens de se rendre à son domicile pour s'enquérir de son état de santé et lui témoigner leur solidarité. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?


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Fruits et légumes. Chameaux, moutons, chèvres. Phosphates, fer.
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Liens
Résolution 1541 du Conseil de Sécurité de l'ONU renouvelant le mandat de la MINURSO, pour une durée de six mois - 29 avril 2004 -
Rapport du Secrétaire général de l'ONU sur la situation concernant le Sahara occidental - 23 avril 2004 -
Résolution 1469 du Conseil de Sécurité de l'ONU prolongeant le mandat de la MINURSO (votée le 25 mars 2003)
Le Front Polisario
ARSO, Association de soutien à un référendum libre au Sahara Occidental
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L'énergie éolienne de la côte atlantique du Sahara
Le conflit au Sahara occidental : Livres, liens, forums, etc.
Médias
Sahara Presse Service
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Monnaie
Dirham marocain.
Partis politiques
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Population
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250 559 d'habitants.
Arabes et Berbères.
Principales villes
Laayoune, Ad Dakhla, Argoub, Boukra, Dawra.
Offre n° 4

Religion
Musulmans.
Situation géographique
Etat d'Afrique du nord bordé par la mer Méditerranée. Frontières avec le Maroc, l'Algérie et la Mauritanie.
Statut
Le Maroc a annexé les deux-tiers de la partie nord du Sahara occidental (ex-Sahara Espagnol) en 1976 et le reste du territoire en 1979, après le retrait de la Mauritanie. La guérilla du Front Polisario combat depuis cette date le Maroc et conteste la souveraineté de Rabat sur cette zone. Un cessez-le-feu a été conclu en 1991. Un référendum d'autodétermination sous l'égide de l'ONU n'a toujours pas été organisé. Président : Brahim Gali (depuis le 12 juillet 2016). Premier ministre : Mohamed Wali Akeik (depuis le 4 février 2018).
Superficie
266 000 km2
Webcam
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