La
Guerre israélienne de
l'information :...
Pourquoi des kamikazes ?
: Les raisons...
Israël,
Palestine, le livre noir
Les
homicides imputables aux
Israéliens
Force de frappe excessive
des Forces armées
israéliennes
Démolition de maisons et
destruction de terres
agricoles
Violations de la liberté
de la presse par Israël
Le lourd tribut des
incursions israéliennes
Opération Mur de
protection, Naplouse
Jénine : les opérations
militaires des Forces de
défense israéliennes
L'armée israélienne à
l'assaut de la presse
Torture en Israël
Statut...
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Spécial
"Proche-Orient"
!-
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- La
Rédaction de fil-info-france.com
vous propose un
rendez-vous sur le
Proche-Orient où seront
présentés les faits
majeurs de cette région
où les enjeux
internationaux sont aussi
complexes que
dramatiques.
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- Extraits
(Archives) du point de
presse quotidien de
la diplomatie française sur
ce conflit.
- Développement
majeur de l'actualité
sur le Proche-Orient :
- De
notre correspondant Benoît
MARTINET
FUTURE NOMINATION EN
PALESTINE - 11
janvier 2007
Mohamed
Shabir, ancien directeur
de l’université
islamique de Gaza a été
retenu par Mahmoud Abbas
pour diriger le prochain
gouvernement d’union
nationale. Agé de
soixante ans, ce docteur
en micro-biologie a
obtenu son diplôme aux
Etats-Unis.
Bien que sympathisant du
mouvement islamiste
Hamas, il n’a jamais
appartenu à cette
organisation. C’est
sûrement l’un des
éléments qui ont joué
dans la conclusion
d’un compromis entre
les dirigeants du parti
Hamas et Mahmoud Abbas,
actuel chef du Fatah,
mais aussi et surtout
président qualifié de
« modéré » et «
raisonnable » de
l’Autorité
palestinienne. Il aurait
dès lors été tentant
de penser qu’il
puisse s’agir
d’une nomination
positive, visant à
estomper la
radicalisation du
conflit, caractérisé
par le refus du Hamas, à
la fois de reconnaître
l’existence
d’Israël, et de
renoncer au terrorisme,
ce qui est de nature à
justifier le refus
israélien de négocier
avec lui le devenir du
processus de paix.
Malheureusement Mohamed
Shabir n’aurait pas
laissé entendre une
prochaine reconnaissance
de l’Etat
d’Israël pour
l’instant,
préférant évoquer la
création d’un futur
Etat palestinien sur les
territoires occupés,
avec les frontières
d’avant 1967 : bande
de Gaza, Cisjordanie,
Golan et Jérusalem Est
(comme capitale).
Il faut se rendre à
l’évidence, nous
sommes dans une impasse
sur le terrain et nous ne
voyons toujours pas de
lumière au bout du
tunnel. Chaque jour qui
passe, jalonné
d\'atrocités
bilatérales, démontre
qu’Israël et
Palestine sont incapables
de conclure seuls à un
accord de paix.
Et la communauté
internationale en porte
d’autant plus de
responsabilités,
notamment les Etats-Unis,
qui, en voulant affaiblir
le Fatah de Yasser
Arafat, avaient largement
contribué au
développement politique
du Hamas.
Il est plus que jamais
important de rappeler que
la Résolution 242 votée
en 1967 par l’ONU
demandant à l’Etat
d’Israël de se
retirer des territoires
n’est toujours pas
appliquée. Quant à la
Résolution 478, elle
avait déclaré illégale
l’occupation de
Jérusalem Est, la
qualifiant de violation
du droit
international…
- aljazeeraAljasira
Suite
du Spécial "Proche-Orient"
!
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