La
Guerre israélienne de
l'information :...
Pourquoi des kamikazes ?
: Les raisons...
Israël,
Palestine, le livre noir
Les
homicides imputables aux
Israéliens
Force de frappe excessive
des Forces armées
israéliennes
Démolition de maisons et
destruction de terres
agricoles
Violations de la liberté
de la presse par Israël
Le lourd tribut des
incursions israéliennes
Opération Mur de
protection, Naplouse
Jénine : les opérations
militaires des Forces de
défense israéliennes
L'armée israélienne à
l'assaut de la presse
Torture en Israël
Statut...
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Spécial
"Proche-Orient"
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- La
Rédaction de fil-info-france.com
vous propose un
rendez-vous sur le
Proche-Orient où seront
présentés les faits
majeurs de cette région
où les enjeux
internationaux sont aussi
complexes que
dramatiques.
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- Extraits
(Archives) du point de
presse quotidien de
la diplomatie française sur
ce conflit.
- Développement
majeur de l'actualité
sur le Proche-Orient :
- De
notre correspondant Benoît
MARTINET
40 ANS APRES LA
"GUERRE DES SIX
JOURS" ... 1er
février 2007
1967 - 2007.
Il y a aura 40 ans cette
année au mois de juin qu’a
eu lieu la « Guerre des
Six Jours »,
matérialisant l’annonce
du Président égyptien
de l’époque,
Nasser, selon laquelle «
le peuple arabe était
fermement décidé à
effacer Israël de la
carte et à restaurer l’honneur
de la Palestine ».
Parallèlement, la Charte
de l’OLP proclamait
la récupération de la
Palestine et la
destruction d’Israël.
Le décor était planté.
Mais six jours après le
début de cette guerre,
ce fut, une fois de plus,
l’humiliation pour
les pays arabes car
Israël (symbolisé par
le général Moshe Dayan
et son armée Tsahal)
sort vainqueur de cette
guerre, et occupera
désormais, en plus de
ses territoires, la Bande
de Gaza (seul port
palestinien sur la
Méditerranée), la
Cisjordanie, le Golan et
Jérusalem Est.
Dès lors le parlement
israélien n’hésite
pas à déclarer
immédiatement et
unilatéralement «
Jérusalem réunifiée
capitale éternelle d’Israël
», avec un droit d’administration
et de juridiction étendu
à toute la ville.
Le gouvernement
israélien, fort de cette
victoire, en profitera d’ailleurs
également pour désigner
Jérusalem comme capitale
nationale, à la place de
Tel-Aviv. Rappelons pour
mémoire l’importance
symbolique de Jérusalem
Est, à population
principalement
palestinienne, car elle
comprend la vieille ville
et ses Lieux Saints
(Saint Sépulcre,
Esplanades du Temple/ des
Mosquées et Mur des
Lamentations). Pour
Israël, « l’An
prochain à Jérusalem »
était enfin arrivé
engendrant l’exode d’encore
quelques 250 000
Palestiniens vers les
camps de Jordanie, du
Liban, et de la Syrie.
Du côté de la
communauté
internationale, la
réponse fut la célèbre
et essentielle
Résolution 242, votée
par l’ONU le 22
novembre 1967. Celle-ci
exige en effet qu’Israël
se retire des territoires
nouvellement conquis. La
résolution 478 du
Conseil de sécurité,
elle, qualifie de plus
cette annexion de
violation du droit
international.
Or, quarante ans plus
tard, ces résolutions ne
sont toujours pas
appliquées. Aucun autre
Etat au monde ne pourrait
bien sûr refuser ainsi
de se plier aux demandes
du Conseil de Sécurité
sans risquer une
sanction.
Juridiquement, l’ex-Cisjordanie
(dénommée aujourd’hui
les « territoires
occupés ») ne possède
donc aucune souveraineté
"de jure". Elle
reste bel et bien un
territoire occupé. Et à
ce titre les
implantations de
populations israéliennes
ont donc bien un
caractère illégal au vu
de la Convention de
Genève.
Ce n’est donc
sûrement pas un hasard
si, en 1967, les «
Frères Musulmans » ont
été créés cette
année-là dans la Bande
de Gaza, avec le succès
qu’on leur connaît…
- aljazeeraAljasira
Suite
du Spécial "Proche-Orient"
!
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