WEBMASTERS
FIL INFO N° 1

GRATUIT !
Cliquez ici !
PARIS,QUOTIDIEN,ACTUALITE,INFO,MONDE,PARIS,MAIRIE,IMMOBILIER,SMS,GRATUIT,ANNUAIRE,INVERSE,ECARD,JUSTICE,PS,AVOCAT
0ACCUEIL0Bienvenue ! INDEX GENERAL00INFO00QUIZ00VIRUS00METEO00TV-SAT-CINE00ASTRO00A vos favoris... CONTACTS SOUMETTRE UN SITE0
  SELECTION !  
Accès correspondants de PRESSE
 
 


"Black list"
page 3



Présentation
page 2



"Les nouveaux
chiens de garde"
page 4



"Les petits soldats
du
journalisme"
page 4



"Guerre à l'Irak"
page 5


R. Murdoch
"Pro-guerre"
"Cyberguerre"



Photographes
Journalismes
Journalistes
Reporters
Journaux
Presse
Radio
TV
I




 
Les pages infos, cliquez ici !
PAGE INFO "ARTS" + de liens dans Annuaire/Catégorie/Culture
 


De notre correspondant Hervé LAMASSE
THEATRE

PORTRAITS


23 septembre 2003

RICHARD CAIRASCHI

C'est en 1976, alors âgé de 27 ans, qu'il s'ouvre à la comédie en observant le « one-man show » de Jean-Noël Tamissier. Sa voie est trouvée : il montera sur les planches ; La reconnaissance de son travail est aujourd'hui ce qui le satisfait le plus !

Artiste dans l'âme, Richard Cairaschi a commencé par jouer de la mandoline avant de s'ouvrir au théâtre. Avec Debi-Debo (aujourd'hui la Cie Debi-Debo), Richard fait ses premiers pas de comédien. En 1985, Radio-France lui commande « Le Bar des Oiseaux », un feuilleton d'émissions comiques. Il débute sa carrière solo avec « Hospice dessus » (1986) mais face à cette réussite radiophonique qui le poursuit, il se décide, en 1987, à conquérir, cette fois-çi sur les planches, le public niçois. Avec « Le Bar des oiseaux » le succès est au rendez vous et sa carrière artistique en pleine ascension. Entre 1988 et 1996, Richard Cairaschi écrit une demi-douzaine d'oeuvres ( «Catarina Segurana », « Si Nice était comté », « L'été il fait encore plus
chaud que l'hiver ») En 1997 il croise le chemin de Martine Pujol pour laquelle il écrira « L'accordéoniste ». Suivront « Les chaises de la promenade » (1999), « Arrête de râler » (2000) et « Nissa Pantaï » (2001). Actuellement il prépare « Le Festin » : une musicale-comédie. Depuis ses débuts il écrit et joue en moyenne 2 pièces tous les trois ans. Comédien, auteur, metteur en scène et humoriste Richard Cairaschi plaît par son accent méridional. Il associe ses travaux
d'écritures à l'identité Nis'art par l'utilisation d'un phrasé et d'un vocabulaire qui font rire et rêver. Ses rencontres avec Jean-Noël Mabelly, Patrick Vaillant et Ricardo Tesi lui permettent de mélanger harmonieusement sketchs, musiques et comédie car pour lui : « faire du théâtre est le moyen de regrouper tous les arts ! ».

Hervé Lamasse



23 septembre 2003

MEYER COHEN Directeur du Théâtre de la Cité

Cet homme de théâtre sait tout faire ( comédien, metteur en scène, décorateur et écrivain). Plus simplement, Meyer Cohen, Directeur du Théâtre de la Cité, se décrit lui-même comme « un Amateur passionné ».

Arrivé en 1974 sur Nice, Meyer Cohen, découvre un désert culturel. Il crée alors le 1er et unique Théâtre Indépendant de la Côte d'Azur. Il propose tous les soirs une programmation riche et novatrice. Il y met en scène et joue Anouilh, Prévert, Ionesco, Sartre, Pirandello, Obaldia, Woody Allen et tant d'autres ; Les représentations s'enchaînent. Lors d'une tournée autrichienne, il joue à Vienne « Huis Clos » de Sartre et la « Baby Sitter » de René Obaldia. Puis attiré par « une force mystique », il part vivre à Jérusalem une nouvelle aventure et sous l'égide de l'Alliance Française de Jérusalem, écrit, adapte et joue « La dispute de Barcelone » d'après Nahmanide.

De retour en 1995, il crée, rue Paganini, le Théâtre de la Cité. Pour cette inauguration, il met en scène et joue « Antigone » de Jean Anouilh. S'en suivent de nombreux rôles dans « Aaron le 1er Cohen » de N. Sadoul, « Lettre d'une inconnue » et « Le joueur d'Echecs » de S. Zweig, « Othello » de Shakespeare, « Huis Clos » de Sartre, « Inconnu à cette adresse » de K. Taylor. Par la suite, il adapte et met en scène « L'Etranger » d'A. Camus et « Du Monde Entier Au Coeur Du Monde » sur des textes de B. Cendrars, L. Aragon, J. Prévert et L. Ferré. Aujourd'hui il est fier des créations qui étoffent la programmation de la rentrée du Théâtre de la Cité telles « Ezéchiel » d'A. Cohen, « Sur les galets » de R. Cairaschi, « Eloge de l'absent » d'I. Horovitz et «Le chant des chants » en création mondiale de la cantate Sépharade de B.Heydelin .

Dans le plus grand des petits théâtres niçois, Meyer Cohen a «l'impression d'être un débutant », il sait que le théâtre est là pour transmettre de l'émotion. Mais aussi qu'au-delà de la distraction qu'il procure, le théâtre peut faire prendre conscience de problèmes existentiels.


Hervé Lamasse



Retour Sommaire





 

 

 
LES PAGES "INFO" vous proposent les meilleurs sites de leurs catégories !