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FRANCE,
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Vendredi 23 février 2007 :

POLITIQUE : "Nous, socialistes et Français de gauche..." est le titre paru dans la rubrique "Rebonds" du quotidien "Libération" daté du jeudi 22 février 2007, où 30 hauts fonctionnaires, en activité dans l'administration centrale, condamnent la mainmise sur le Parti socialiste et l'aveuglement du couple Royal-Hollande et annoncent leur ralliement au centriste François Bayrou. Extrait : "La situation de la France en 2007 n'est pas la situation de la France en 1981. Notre pays est endetté et nous vivons déjà, sans nécessairement en être conscients, aux dépens de nos enfants et de nos petits-enfants : près de 1 200 milliards d'euros d'endettement de l'Etat ; 900 milliards d'euros de financement à prévoir pour les retraites ; enfin les collectivités locales elles aussi glissent peu à peu d'une situation saine vers un déficit chronique. Madame Royal fait des chèques en blanc. Ces cent propositions sont autant de traites tirées sur le 'compte France' déjà largement à découvert. Comment seront-elles financées ? Rien n'est précisé". (...) "La démission d'Eric Besson, secrétaire national du Parti socialiste à l'économie, en est une démonstration éclatante. Critiques concernant la droite : "Sarkozy nous prépare bien une France sans foi ni loi, une France ultralibérale. Nous constatons que ce programme, Nicolas Sarkozy l'étend maintenant sur 10 ans". Concluant : "Pour toutes ces raisons, et malgré notre fidélité à un parti qui a été pendant longtemps un modèle de démocratie interne, nous persistons à penser que seul François Bayrou incarne aujourd'hui l'esprit de courage, de responsabilité et de clairvoyance nécessaire pour redresser la situation de la France".
 
JUSTICE : Après le vol, le 7 janvier 2007, du scooter de l'un des enfants de Nicolas Sarkozy, Ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et de l'aménagement du territoire, Président de l'Union pour un mouvement populaire UMP, vol résolu dans les jours qui suivirent par la police, à l'aide de "relevés d'empreintes", de "prélèvements ADN" et d'une "exploitations géolocalisés" de téléphones portables, l'un des délinquants, Chouahib Benazi, a été condamné mercredi 21 février 2007, à 3 mois de prison avec sursis et 300 euros d'amende pour "vol en réunion" par le tribunal correctionnel de Bobigny, (Seine-Saint-Denis).
 
JUSTICE : Le 27 octobre 2005, en pleine émeutes des banlieues, Georges Frêche, ancien maire socialiste de Montpellier, avait déclaré : "Je ne suis pas sûr que dans les villes parisiennes où ils ont incendié des voitures, que ce soit des musulmans qui le font. Ca serait des flics déguisés en musulmans que ça ne m'étonnerait pas. J'ai l’habitude de ce genre de provocations, j'ai connu mai 68. Quand les gens en auront marre, ils voteront Sarkozy". Pour ses propos, Georges Frêche, se retrouvait convoqué devant le tribunal correctionnel de Montpellier jeudi 22 février 2007. Il est poursuivi pour "diffamation envers une administration publique" à la demande de Nicolas Sarkozy, Ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et de l'aménagement du territoire. Maître Gilles Gauer, défenseur de Georges Frêche, qui plaide la relaxe au "nom de la liberté d’expression" a rappelé "qu'il y a une responsabilité et une provocation qui est évidente de la part de Nicolas Sarkozy". Ajoutant : "On l’a vu avec ses propos 'karcher et racaille'. On a vu aussi qu’il y a une responsabilité de certains policiers dans l’accident qui a conduit à la mort des 2 jeunes". Accusant enfin, Nicolas Sarkozy de vouloir "censurer un débat d’intérêt public". 5 000 euros d'amende requis, jugement en délibéré jusqu'au 29 mars 2007.
 
INTERNET : SFR et Alcatel Lucent ont remporté le marché de l'Internet sans fil Wi-fi (NDLR. Wireless fidelity) de la ville de Paris, destiné à équiper la capitale fin août 2007. 400 points d’accès Wi-fi seront ainsi accessibles à tous, "gratuitement", dont 134 sites seront en plein air (jardins, places publiques comme le parvis de l’Hôtel de Ville). 128 services municipaux seront reliés : bibliothèques de la Ville, maisons des associations, maisons de l’emploi et du développement économique, musées municipaux. La Ville de Paris et la Région Ile de France assumeront un financement public de 2,5 millions d'euros la première année couvrant les frais d’installation et de mise en service, puis de 0,5 millions d'euro les années suivantes.



 
 
 

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