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Lundi 21 mai 2007 :

JUSTICE : Patrick Ouart "conseiller pour les affaires judiciaires" du Président de la République, Nicolas Sarkozy, nommé jeudi 17 mai 2007, est renvoyé en correctionnelle devant un tribunal de Bruxelles en Belgique pour "piratage informatique et interception de communications privées" dans une affaire d'espionnage économique. Ces faits de nouvelle forme de délinquance sont punis jusqu'à 1 million d'euros d'amende et 5 ans de prison. Selon le magazine "Capital", cette affaire remonte à 2004, alors que Patrick Ouart, ex-conseiller d'Edouard Balladur à Matignon, occupait le poste de secrétaire général du groupe Suez. Il a été mis en examen en 2006.

RACISME :
Manuel Aeschlimann, "conseiller pour l'opinion publique" de Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle et maire d'Asnières, dans les Hauts-de-Seine, est visé par une enquête préliminaire à la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) sur de supposées listes d'électeurs triés par origine ethnique. Une liste spécifique au "Maghreb", et une autre intitulée "Sans Maghreb" aurait été mise en place en toute illégalité selon l'Autorité de contrôle française en matière de protection des données personnelles, CNIL, Commission nationale de l'informatique et des libertés.

MEDIAS - POUVOIR :
3 journalistes ont été nommés "conseillers" du nouveau Pouvoir politique. Catherine Pégard, rédactrice en chef à l'hebdomadaire Le Point, et Georges-Marc Benamou, écrivain et éditorialiste à La Provence et Nice-Matin, auprès du Président de la République, Nicolas Sarkozy. Myriam Lévy, journaliste au quotidien Le Figaro, devient conseillère en communication du Premier ministre François Fillon. Laurent Solly, ancien directeur de campagne adjoint de Nicolas Sarkozy, est pressenti au poste de directeur général adjoint de la première chaîne de télévision privée TF1.

DISCRIMINATION
POSITIVE : Première personnalité arabe d'origine maghrébine à obtenir un ministère clé, celui de la Justice, Rachida Dati, nommée Garde des Sceaux à 41 ans, ne souhaitait pas être "l'Arabe qui s'occupe des Arabes" au futur Ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Co-développement. Ex-porte-parole de Nicolas Sarkozy, devenu Président de la République, Rachida Dati a effectué sa première visite au centre des jeunes détenus de Fleury Mérogis, dans la banlieue parisienne, pour, "se rendre compte par elle-même de l'activité des agents de l'administration pénitentiaire et des conditions de détention des mineurs". "Séduisante, toujours souriante" et très "proche" de Nicolas Sarkozy, elle le rejoint en 2002, devient collaboratrice de son directeur de cabinet, Claude Guéant, chargée de la "prévention de la délinquance et des banlieues". Depuis, Rachida Dati n'a plus quitté Nicolas Sarkozy, le suivant au Ministère de l'Economie et des Finances MINEFI, puis au Conseil général des Hauts-de-Seine qu'il a présidé jusqu'en mai 2007, au poste clé de directrice des Affaires juridiques et des Marchés publics. Mais la nomination de Rachida Dati à la "tête de la justice française" fait grincer des dents au sein même du parti politique du Président, l'Union pour un mouvement populaire UMP où d'autres personnalités jugées plus "compétentes" étaient en droit d'obtenir ce poste très prisé, des personnalités "élues et militantes" alors que Rachida Dati, plus jeune garde des sceaux de la 5ème République après Jean Foyer, n'est "ni l'une ni l'autre". Rachida Dati, qui est issue d'une famille algéro-marocaine de 12 enfants, a effectué son premier stage au Tribunal de grande instance TGI de Bobigny (Seine Saint Denis), en portant la robe d'une personnalité de premier plan, Simone Veil, rescapée du camp d'Auschwitz, elle-même devenue magistrate à la carrière politique fulgurante et qui avait pris la tête du comité de soutien de Nicolas Sarkozy. Au cours de ce stage, Rachida Dati n'hésita pas à dénoncer par écrit au Procureur général une simple remarque misogyne sur sa personne de l'un de ses collègues.

APPEL URGENT DIJON :
"Existe-t-il à Dijon, (Côte d'Or) ou ailleurs, un (e) avocat (e) non maçon, ayant de vraies convictions et très volontaire" pour assister dans son combat pour les libertés fondamentales, un véritable défenseur apolitique de liberté d'expression et d'opinion, Pascal Mourot, contre "François Rebsamen, homme politique socialiste et opportuniste aux 12 000 euros minimum d'indemnités mensuelles". Contact par formulaire discret sur cette page.

CENSURE :
"François Rebsamen, maire de Dijon, est accusé d'une censure sans précédent du moteur de recherche Google.fr dans le but d'empêcher les Dijonnais de prendre connaissance d'un dossier sur sa face cachée, publié par Fil-info-France : Francois Rebsamen Ennemi d'Internet. Ainsi Page 14 on apprend qu'à Dijon, alors que le blog du Parti socialiste défend de la Liberté d'expression dans les blogs, qu'à la même date, François Rebsamen, qui se vante d'être membre de RSF, Reporters sans frontière, menace par la voie du chantage un simple blogueur, pour retirer sous peine de poursuites, certaines pages défavorables. Résultats, plusieurs dizaines de mots clés n'affichaient que des résultats favorables au maire de Dijon, lorsqu'ils étaient tapés par les internautes et associés à "Francois Rebsamen + police" ou médias ou presse ou photos ou citations ou liberté d'expression ou internet ou censure ou blog ou 2007 ou 2008 ou Dijon ou municipales ou ville Dijon ou fil info ou communauté ou grand-orient de France". En bas de page apparaît alors cette mention de censure : "En réponse à une demande légale adressée à Google, nous avons retiré 1 résultat(s) de cette page". Mais jamais il ne s'est agi d'une décision de justice.

POLITIQUE :
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