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La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) remplace officiellement depuis le lundi 12 mai 2014
la
DCRI Direction Centrale du Renseignement Intérieur.
Source : quotidien international francophone Fil-info-France

Pour continuer et renforcer son action de lutte contre la menace terroriste,
le Gouvernement a lancé mercredi 28 janvier 2015 un site Internet dédié :

http://www.stop-djihadisme.gouv.fr/

NUMERO VERT 0 800 005 696
PREVENTION RADICALISATION VIOLENTE (appel gratuit depuis un poste fixe)


Bernard Cazeneuve, nouveau ministre de l'Intérieur, a également mis en place
une "plate-forme d'assistance aux familles et de prévention de la radicalisation violente".


La DGSI dispose de son propre groupe d'intervention GAO (Groupe d’Appui Opérationnel),
composé d'une vingtaine de policiers, pour procéder aux interpellations et aux effractions des portes.
 


Siège DCRI près de Paris, France
Siège de la DGSI (photo) à Levallois-Perret (92)
Adresse de la DGSI, 84 rue de Villiers,
92300 Levallois-Perret (Hauts-de-Seine)

 

ECRIRE A LA DCRI :

Adresse postale de la DCRI :
BP 307
92302 Levallois-Perret Cedex
Contacter la DCRI :
Téléphone :+33 1 77 92 50 00
Télécopie :+33 1 77 92 41 96
Adresse mail de la DCRI :
etat-major.dcri @ interieur.gouv.fr


DGSI - DCRI HISTORIQUE
Issue du rapprochement de la direction centrale des renseignements généraux ( RG ) née en 1907 et de la direction de la surveillance du territoire ( DST ) en 1944, la direction centrale du renseignement Intérieur (D.C.R.I.) est créée le 1er juillet 2008.

Logo DCRI, ecusson DCRI, logo officiel

DGSI - DCRI MISSIONS
Elles consistent dans la lutte contre toutes les activités susceptibles de constituer une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation. La DCRI est chargée de prévenir et réprimer, sur le territoire de la République, les activités inspirées, engagées ou soutenues par des puissances ou des organisations étrangères et de nature à menacer la sécurité du pays.

La contre-ingérence étrangère, traditionnellement associée au contre-espionnage, couvre un domaine élargi dans un contexte multipolaire. L'objectif de la DCRI est de déceler et de neutraliser toute menace résultant des activités de services de renseignement de pays adverses, d'organisations ou d'agents se livrant à l'espionnage, au sabotage ou à la subversion.

Attentats islamistes en Espagne, attentats en Europe

La menace terroriste, très évolutive, exige des services de sécurité une adaptation permanente. La DCRI, qui combine ses capacités de service de renseignement et de service de police judiciaire spécialisé, est en mesure de détecter, de surveiller et le cas échéant d'interpeller les individus, les groupes et les organisations de nature subversive susceptibles de se livrer à des actes de terrorisme ou d'atteinte à l'autorité de l'Etat.

Plusieurs accusés des attentats du 11 mars 2004 à Madrid : Emilio Suarez Trashorras, Jamal Zougam, Rabei Osman, Hasan al Haski, Youssef Belhadj et Abdelmajid Bouchar

Au titre des menaces émergentes, la lutte contre les proliférations des armes nucléaires, bactériologiques, chimiques ou balistiques s'inscrit dans une dynamique de coopération avec le secteur économique et industriel.

DCRI police politique en France, NPA

De surcroît, le développement d'une société dépendante des technologies de l'information et des communications justifie l'investissement consacré à la lutte contre la cyber criminalité.

DCRI Bourse de Paris, Euronext

Enfin, la DCRI est inscrite dans une véritable politique publique d'intelligence économique initiée depuis 2003, et peut ainsi faire face à de nouveaux enjeux dans un esprit de partenariat avec les entreprises privées et publiques.

Le Rainbow Warrior de Greenpeace coulé le 10 juillet 1985 dans le port d'Auckland, en Nouvelle-Zélande, 1 photographe tué par la DGSE.


DGSI - DCRI ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT

Les structures et le fonctionnement de la direction sont couverts par le "Secret Défense".
Les services de la DCRI relèvent du seul directeur central du renseignement intérieur, à l'exclusion de toute autre subordination territoriale. La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) remplace officiellement depuis le lundi 12 mai 2014 la DCRI.

DGSI - DCRI FICHIER CRISTINA

La DGSI est dotée d'un fichier nommé CRISTINA (Centralisation du renseignement intérieur pour la sécurité du territoire et des intérêts nationaux), classé secret défense, qui rassemble des données personnelles sur les personnes fichées, leurs proches, leurs relations et réseaux. Au regard de dispositions de la loi informatique et libertés concernant les fichiers de sécurité nationale, CRISTINA pas soumis au contrôle de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL). Il est un regroupement d'une partie du fichier des Renseignements généraux et de celui de la DST.

DIRECTEUR DE LA DGSI EX-DCRI - Le numéro 2 Patrick Calvar remplace le numéro 1 Bernard Squarcini

Patrick Calvar (photo) remplace son supérieur, Bernard Squarcini, Direction centrale du renseignement intérieur DCRI. Patrick Calvar, fils de militaire, est né le 26 novembre 1955 à Antsirabe (Madagascar), il était le numéro deux de la DCRI depuis 2008, ancien agent de Renseignements généraux (RG), du contre-espionnage (DST) et de l'espionnage (DGSE). Sa spécialité est le contre-terrorisme et la surveillance du monde arabo-musulman. Il a occupé le poste de directeur du renseignement au ministère de la Défense (DGSE).
Le décret n°2008-609 du 27 juin 2008 (publié au journal officiel du 28 juin 2008) définit les missions et l'organisation de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), grand service de renseignement intérieur unique qui marque la disparition de la DST (direction de la surveillance du territoire) et des RG (Renseignements généraux).

Rapport Merah

LE RAPPORT MERAH publié en intégralité par Fil-info-France
La DCRI mise en cause dans un rapport sur l'affaire Mohamed MerahFRANCE - FIL INFO POLICE - La DCRI mise en cause dans un rapport officiel sur l'affaire Mohamed Merah : Manuel Valls (photo), ministre de l'Intérieur, a rendu public, mardi 23 octobre 2012, un rapport de 17 pages daté du vendredi 19 octobre 2012, sur l'affaire Mohamed Merah, le terroriste de Toulouse, tueur d'enfants juifs. Mohamed Merah, jeune Arabe jihadiste qui s'est revendiqué de la Mouvence Al-Qaïda, avait assassiné les 11 et 15 mars 2012 à Toulouse et Montauban (Haute-Garonne), 3 parachutistes, puis 3 enfants juifs et le rabbin Jonathan Sandler dans le collège-lycée juif Ozar Hatorah de Toulouse le 19 mars 2012. Mohamed Merah avait été tué le 22 mars 2012 par les policiers d'élites du RAID, au terme du long siège de son appartement dans des circonstances alors contestées par François Rebsamen, président du groupe socialiste au Sénat, sénateur-maire et président du Grand Dijon. François Rebsamen avait accusé la police de "fiasco" et d'avoir "assassiné Mohamed Merah". Selon le communiqué de la place Beauvau (siège du ministère de l'intérieur à Paris), le rapport "prend acte des dysfonctionnements passés afin de consolider la lutte antiterroriste au service de la sécurité des Français". Le jour de la remise du rapport par la police des polices, l'IGPN, Manuels Valls s'est rendu lundi 22 octobre 2012 au siège de la DCRI, Direction centrale du Renseignement intérieur à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine. Le rapport de l'IGPN sur l'affaire Mohamed Merah, rédigé par Jérôme Leonnet, inspecteur général et Guy Desprats, contrôleur général de la Police nationale, a également été remis à la délégation parlementaire au Renseignement, aux présidents des Commissions des lois de l'Assemblée nationale et du Sénat. Selon le communiqué du ministère de l'Intérieur, le rapport prévoit "la création à la DCRI d'une structure dédiée au pilotage des services territoriaux ; le développement d'une structure d'audit interne ; la formalisation des entretiens de prévention-dissuasion et le recours à des experts extérieurs". Il préconise également "le développement de bureaux de liaison entre la DCRI et les services chargés de l'information générale. Au-delà, des échanges d'information plus réguliers et plus formalisés avec l'ensemble des services de police et de gendarmerie et les services de l'administration pénitentiaire sont prévus". Plus de détails : Rapport intégral de l'IGPN sur l'affaire Merah / DCRI au format PDF ; François Rebsamen accuse la police de fiasco et d'avoir assassiné Mohamed Merah à Toulouse ; Réception d'honneur de la police à l'Elysée après les tueries de Toulouse ; Hommage aux soldats victimes d'assassinats ciblés à Toulouse et Montauban ; Obsèques en Israël du rabbin Jonathan Sandler et des 3 enfants juifs victimes à Toulouse d'un assassinat terroriste ; François Rebsamen obtient la censure de la loi pour lutter contre les usurpations d'identité Blogger, webmaster : Copyright et conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France, quotidien international pourquoi ?


REPRESENTANTS DE L'ORDRE PUBLIC EN FRANCE : MISE A JOUR - DATE : jeudi 5 juin 2014

REPRESENTANTS DE L'ORDRE PUBLIC EN FRANCE
SOUS LA PRESIDENCE DE NICOLAS SARKOZY


NICOLAS SARKOZY, portrait officiel

MINISTERE DE L'INTERIEUR :
Claude Guéant, Ministre de l'IntérieurClaude Guéant, Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités Territoriales, Proche de Nicolas Sarkozy qui l'a fait nommé le 27 février 2011.




MINISTERE DE L'INTERIEUR :
Frédéric Péchenard
Frédéric Péchenard, directeur général de la Police nationale. Conférencier à l'Institut de criminologie. Proche de Nicolas Sarkozy qui l'a fait nommé le 11 juin 2007.




PRFECTURE DE POLICE DE PARIS :
Michel GaudinMichel Gaudin, préfet de police de Paris.
Diplômé de l'ENA
Proche de Nicolas Sarkozy
qui l'a nommé le 25 mai 2007.


MINISTERE DE LA DEFENSE :
Gérard Longuet, ministre de la Défense
Gérard Longuet, ministre de la Défense. Nommé le 27 février 2011 à la demande de Nicolas Sarkozy.





GENDARMERIE NATIONALE :
Jacques Mignaux directeur général de la gendarmerie nationale depuis le 21 avril 2010. Proche de Nicolas Sarkozy. Il a été 2 fois son conseiller à la sécurité.




MINISTERE DE LA JUSTICE : :
Michel Mercier, Garde des Sceaux, ministre de la Justice. Nommée le 14 novembre 2010 à la demande de Nicolas Sarkozy.




MINISTERE DE LA JUSTICE :
François Molins, procureur de la République de ParisFrançois Molins, procureur de la République de Paris depuis le 23 novembre 2011, près le TGI, Tribunal de grande instance de Paris (Cour d'appel de Paris)




MINISTERE DES FINANCES :
Christine Lagarde_ François Baroin a été nommée ministre de l’Economie, de l’industrie et de l’emploi à la demande de Nicolas Sarkozy.






MINISTERE DES FINANCES :
Jérôme Fournel, douanes
Jérôme Fournel, Directeur général des douanes et droits indirects.






DIRECTION CENTRALE DU RENSEIGNEMENT INTERIEUR DCRI : Bernard Squarcini, Direction centrale du renseignement intérieur DCRI.
Le décret n°2008-609 du 27 juin 2008 (publié au journal officiel du 28 juin 2008) définit les missions et l'organisation de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), grand service de renseignement intérieur unique qui marque la disparition de la DST (direction de la surveillance du territoire) et des RG (Renseignements généraux).



ELYSEE COORDONATEUR NATIONAL DU RENSEIGNEMENT
Bernard Bajolet
Le premier "coordonnateur national du renseignement" sera Bernard Bajolet, 59 ans, ancien ambassadeur d'Irak et d'Algérie. Il sera installé dans une cellule à l'Elysée (résidence officielle du Chef de l'Etat à Paris) et dépendra directement de Nicolas Sarkozy. Un Conseil national du renseignement (CNR) créé pour faire face aux "nouvelles menaces terroristes"
Source quotidien international francophone Fil-info-France daté du 1er juillet 2008

Ange Mancini, succède en février 2011 à Bernard Bajolet, au poste de coordonnateur national du renseignement auprès de l’Elysée.





Source
Police-bavures.org
  REPRESENTANTS DE L'ORDRE PUBLIC EN FRANCE
SOUS LA PRESIDENCE DE FRANCOIS HOLLANDE



Portrait du Président Hollande


MINISTERE DE L'INTERIEUR :
Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, France, nomination 2 avril 2014 Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur. Nomination du 2 avril 2014 en remplacement de Manuel Valls, devenu Premier Ministre le 31 mai 2014.





MINISTERE DE L'INTERIEUR :
Jean-Marc Falcone, directeur général de la Police nationale. En poste depuis le 2 juin 2014Jean-Marc Falcone, directeur général de la Police nationale. En poste depuis le 2 juin 2014.





PRFECTURE DE POLICE DE PARIS :
Bernard Boucault, préfet de police de Paris.
Diplômé de l'ENA
Proche de François Hollande
qui l'a nommé le 30 mai 2012.



MINISTERE DE LA DEFENSE :
Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense. Nommé le 16 mai 2012 à la demande de François Hollande.




GENDARMERIE NATIONALE :
Général Denis Favier, 53 ans, élevé au rang de général d'armée, nommé directeur général
Général Denis Favier, 53 ans, élevé au rang de général d'armée, nommé directeur général en Conseil des ministres du mercredi 10 avril 2013




MINISTERE DE LA JUSTICE :
Christine Taubira, Garde des Sceaux, ministre de la Justice. Nommée le 16 mai 2012 à la demande de François Hollande.




MINISTERE DE LA JUSTICE :
François Molins, procureur de la République de ParisFrançois Molins, procureur de la République de Paris depuis le 23 novembre 2011, près le TGI, Tribunal de grande instance de Paris (Cour d'appel de Paris)



MINISTERE DES FINANCES :
Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publicsMichel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics à la demande de François Hollande (2 avril 2014).




MINISTERE DES FINANCES :
Hélène Crocquevieille Eyssartier est devenue la première femme directrice générale des Douanes françaises par décret du 22 février 2013





DIRECTION CENTRALE DU RENSEIGNEMENT INTERIEUR DCRI : Patrick Calvar remplace Bernard Squarcini, Direction centrale du renseignement intérieur DCRI.
Le décret n°2008-609 du 27 juin 2008 (publié au journal officiel du 28 juin 2008) définit les missions et l'organisation de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), grand service de renseignement intérieur unique qui marque la disparition de la DST (direction de la surveillance du territoire) et des RG (Renseignements généraux).



ELYSEE COORDONATEUR NATIONAL DU RENSEIGNEMENT
Sous la responsabilité de François Hollande, président de la République, Ange Mancini, succède en février 2011 à Bernard Bajolet, au poste de coordonnateur national du renseignement auprès de l'Elysée. Un Conseil national du renseignement (CNR) créé pour faire face aux "nouvelles menaces terroristes" <


Source quotidien international francophone Fil-info-France


DELEGATION PARLEMENTAIRE DU RENSEIGNEMENT :
Le rapport confidentiel annuel du Renseignement français remis par Jean-Luc Warsmann à Nicolas Sarkozy : La Délégation parlementaire au renseignement conduite par Jean-Luc Warsmann (photo), député des Ardennes, Président de la commission des lois à l'Assemblée nationale, a remis son rapport à Nicolas Sarkozy, Président de la République. Le Président de la République a reçu ce lundi 21 février 2011 au Palais de l'Elysée à Paris, la capitale, la Délégation parlementaire au renseignement, conduite par Jean-Luc Warsmann, Président de la commission des lois de l'Assemblée Nationale. La Délégation a remis au Chef de l'Etat le document confidentiel contenant ses observations et recommandations au titre de l'année 2010, comme le prévoit la loi n°2007-1443 du 9 octobre 2007 portant création d'une délégation parlementaire au renseignement, qui a créé cet organe parlementaire chargé de suivre l'activité des services de renseignement de la DCRI. Cette réunion a permis de "constater le fonctionnement satisfaisant du dispositif mis en place à partir de 2007" (NDLR. Délégation parlementaire au renseignement, création de la DCRI, Direction centrale du Renseignement intérieur puis du CNR, le Conseil national du renseignement) et de "souligner les priorités du renseignement, en particulier la lutte contre le terrorisme, la cyberdéfense et la protection de nos entreprises face aux différents types d'ingérence". Source quotidien international Fil-info-France daté du mardi 22 février 2011.


ARCHIVES DCRI 2008 :

DCRI RENSEIGNEMENTS : Lancement officiel mardi 1er juillet 2008 de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), rendue opérationnelle par décret présidentiel. Considéré comme le "nouveau visage" des services de renseignement français, la DCRI avait été présenté le 13 septembre 2007 par Michèle Alliot-Marie, Ministre de Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités locales. Les 2 services de renseignement, les Renseignements généraux (RG) comptant 4 000 policiers et la Direction de la surveillance du territoire (DST), 2 000 policiers, fusionnent. Les missions anciennement dévolues à ces 2 services vont être scindées en 2 au sein de la DCRI. Un pôle "renseignement" veillera aux "intérêts fondamentaux de l’Etat" et rassemblera le contre-espionnage, la lutte contre le terrorisme et l’intelligence économique. Environ 3 000 agents y seront affectés. L’autre pôle travaillera sur les "informations générales" touchant à la "cohésion nationale" et à "l’ordre public", la lutte contre les bandes et les violences urbaines, les mouvements de contestation. Le directeur de la DCRI sera nommé par le président de la République, Nicolas Sarkozy. Les anciens bureaux du groupe de communication mondial Euro RSCG à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) sont loués par l'Etat avec une option d'achat au 31 décembre 2026. Les travaux de rénovation du bâtiment, soit 25 000 mètres carrés ont coûté 366,2 millions d'euros et ont été dénoncés par la Cour des comptes comme étant "particulièrement élevés, longs et coûteux". Le préfet Bernard Squarcini, chef de la DST, sera le premier patron de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). Bernard Squarcini est un proche de Nicolas Sarkozy. Il sera assisté de René Bailly et de Patrick Calvar. La France sera découpée en 7 zones de renseignements dont Paris et 6 directions régionales Lille, Rennes, Metz, Lyon, Marseille, et Bordeaux appelées DZRI, Directions zonales du renseignement intérieur. Le budget annuel de la DCRI pour 2008 a été fixé à 41 millions d'euros. NDLR. L'effectif total des services de renseignement civils et militaires et de contre-espionnage comptent en France en 2008 plus de 14 000 fonctionnaires. Il existe 3 autres services de renseignement dont la Direction générale de la sécurité extérieure DGSE et la Direction du Renseignement Militaire (DRM). Le premier "coordonnateur national du renseignement" sera Bernard Bajolet, 59 ans, ancien ambassadeur d'Irak et d'Algérie. Il sera installé dans une cellule à l'Elysée (résidence officielle du Chef de l'Etat à Paris) et dépendra directement de Nicolas Sarkozy. Un Conseil national du renseignement (CNR) créé pour faire face aux "nouvelles menaces terroristes" engendrées par la Central Intelligence Agency (CIA) dans le monde et la création d'Israël (Mossad) dans le Proche et Moyen-Orient, sera présidé par Nicolas Sarkozy. Il définira les grandes orientations assignées aux services de renseignement (stratégies et priorités). Le CNR réunira, en formation plénière, le Premier ministre, François Fillon, les ministres de l’intérieur, Michèle Alliot-Marie, de la défense, Hervé Morin, des affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner, de l’économie et du budget. Il pourra se réunir en format restreint pour les questions touchant à la conduite des opérations extérieures et pour certaines questions touchant la dissuasion nucléaire.
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du 1er juillet 2008

Alerte attentats du mardi 14 septembre 2010.
Source : quotidien international francophone Fil-info-France du Mercredi 15 septembre 2010

Bernard Squarcini, DCRIFRANCE : TERRORISME PRESUME : 2 jours après que Bernard Squarcini (photo), chef de la Direction centrale du Renseignement intérieur (DCRI), eût annoncé dans une interview accordée au Journal du Dimanche JDD daté 12 septembre 2010, plusieurs alertes à la bombe visant la Tour Eiffel et la gare Saint-Michel du RER parisien, ont provoqué mardi 14 septembre 2010, des évacuations par la police. Mais la préfecture de police de Paris a confirmé la "fausse alerte". En août 2010, François Fillon, Premier Ministre, avait "décidé de procéder à une adaptation de posture du plan Vigipirate pour la période comprise entre le 2 août et le 15 septembre 2010". Bernard Squarcini, un proche du président de la République Nicolas Sarkozy et ami d'Israël, a indiqué que "tous les clignotants sont dans le rouge". Mieux, que le terrorisme immédiat était "palestinien", directement lié au sionisme. Bernard Squarcini précisant : "Un terroriste prévoyait de perpétrer un attentat lors d'une cérémonie de levée de fonds pour Tsahal (l'armée israélienne) par l'ABSI, Association Bien-être du Soldat israélien à Paris, présidée par Gil Taiëb". Selon Bernard Squarcini, "l'homme a été arrêté en Egypte, puis extradé en France, sans préciser la date exacte de l'interpellation". Le plan Vigipirate est actuellement du niveau d'alerte "rouge" correspondant à la "préventions d'attentats graves". Le niveau suivant est écarlate. Il concerne les attentats "majeurs". "Nous déjouons environ 2 attentats par an, mais un jour ou l'autre nous allons être frappés", s'inquiète le patron de la DCRI. La Communauté juive de France, la première d'Europe, est en état d'alerte maximum en raison des fêtes du nouvel an juif. Les actes antisémites resurgissent sur fond de conflit palestinien malgré les efforts du CRIF, le Conseil représentatif des institutions juives de France en matière d'éducation et de prévention. Blogger, webmaster : Copyright et conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France, quotidien international pourquoi ?

Affaire Woerth-Bettencourt du lundi 17 octobre 2011.
Source : quotidien international francophone Fil-info-France du Mardi 18 octobre 2011

FRANCE - POLICE - DCRI - Le préfet Bernard Squarcini inculpé pour l'espionnage d'un journaliste : Bernard Squarcini (photo), directeur central du renseignement intérieur (DCRI), entendu lundi 17 octobre 2011 comme témoin assisté par la juge d'instruction Sylvia Zimmermann, a été mis en examen pour "atteinte au secret des correspondances", "collecte illicite de données" et "recel du secret professionnel" en marge de l'affaire l'affaire Woerth-Bettencourt. En novembre 2010, l'hebdomadaire satirique "Le Canard enchaîné" accusait déjà Bernard Squarcini "d'opérations illégales de surveillance des journalistes" au profit direct du Chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy. L'affaire remonte à l'été 2010, quand, Bernard Squarcini, directeur central de la DCRI, agissant à la demande du directeur général de la Police nationale, Frédéric Péchenard, a requis d'un opérateur téléphonique historique "Orange", les factures détaillées d'un journaliste du quotidien "Le Monde", Gérard Davet. Sylvia Zimmermann, juge d'instruction, reproche au haut fonctionnaire des agissements contraires à la loi du 4 janvier 2010 relative à la protection du secret des sources des journalistes. Les recherches de la DCRI avaient alors permis de démasquer la source, David Sénat, un magistrat, conseiller de la ministre de la Justice de l'époque, Michèle Alliot-Marie, qui a remis illégalement un procès-verbal d'audition du dossier Bettencourt au journaliste du "Monde". Lire la suite... Blogger, webmaster : Copyright et conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France, quotidien international pourquoi ?

Bernard Squarcini (photo), 1er directeur central du renseignement intérieur DCRI.

Bernard Squarcini , directeur central du renseignement intérieur DCRI






La DCRI a été dirigée sous la présidence du président Sarkozy, par le préfet
Bernard Squarcini, né à Rabat au Maroc, au sein de la communauté juive franco-marocaine. Sous couvert d'anonymat, un inspecteur de la DCRI indique à Fil-info-France disposer de "nouveaux outils impressionnants" en matière de fichage à la "limite de la légalité". "Mais" précise-t-il, le "soutien à la cause palestinienne entre dans un cadre proche de la lutte antiterroriste, jonction entre l'antisionisme et l'antisémitisme qui est une priorité absolue au ministère de l'Intérieur, ce qui nous donne une latitude totale, d'autant qu'il est impossible de savoir qui demande quoi et que nous sommes pour partie assimilés 'secret défense' donc bien loin des juges". (...) NDLR. La sous-direction de la "subversion violente" de la DCRI est dirigée par une femme commissaire divisionnaire, Françoise Bilancini. La sous-direction "terrorisme" est dirigée par le contrôleur général Michel Guerin.
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du 6 janvier 2009


Plan vigipirate et ses niveaux d'alertes.



LIVRE :
Pour Allah jusqu'à la mort :
Enquête sur les convertis à l'islam




LIENS :
Humiliation du monde arabe
Opération " plomb durci " à Gaza, Bande de Gaza, Palestine.


SERVICES SECRETS ETRANGERS OU DE POLICE INTERNATIONALE


1 - SERVICES SECRETS ETRANGERS :
Services secrets américains - Etats-Unis :

CIA — Central Intelligence Agency, renseignement étranger
NCS, National Clandestine Service, renseignement humain lié à la politique étrangère des Etats-Unis d'Amérique
SCS, Special Collection Service, renseignement électromagnétique clandestin
FBI — Federal Bureau of Investigation, renseignement de sécurité nationale (contre-espionnage, contre-terrorisme)
NSA, National Security Agency, renseignement électromagnétique
NCIS, Naval Criminal Investigative Service, Service d'enquête criminel de la Marine
NGA, National Geospatial-Intelligence Agency, imagerie géospatiale militaire
NRO, National Reconnaissance Office, développement et opération de satellites ( depuis 50 ans, les yeux et les oreilles des USA )
DIA, Defense Intelligence Agency, renseignement militaire pour la défense des Etats-Unis
DEA, Drug Enforcement Administration, renseignement sur le trafic de drogue, ministère de la Justice américain
Services secrets israéliens - Israël : MOSSAD - The Institute for Intelligence and Special Operations (Israël)
Services secrets britanniques - sécurité extérieure - Royaume Uni : Secret Intelligence Service SIS ou MI6
Le service de Sécurité intérieure britannique est le MI5 Security Service ; Le renseignement électronique est le GCHQ Government Communications Headquarters
Services secrets russes - Fédération de Russie - service fédéral de sécurité FSB ex KGB ( Komitet Goussoudartsvennoï Beznopaznoti ) :
Federal'naya Sloujba Biezopasnosti
Le service des renseignements extérieurs de la Fédération de Russie est le SVR, service de renseignements extérieur ; le renseignement militaire est GRU rattaché à la Direction générale des renseignements de Russie ; Le MVD est rattaché au Ministère de l'Intérieur.
Services secrets allemands : Renseignement fédéral allemand - Allemagne (
Gerhard Schindler ) : Bundesnachrichtendienst, BND
Services secrets chinois - RPC - Chine : Ministère de la sécurité d'Etat MMS - Guoanbu - Pékin - ( Geng Huichang ) :
Services secrets du Pakistan : Inter-Services Intelligence (ISI)
Services secrets syriens - Syrie - Syria : Al-Mukhabarat Al-Ama
Services secrets indiens - Inde : Central Bureau of Investigation CBI ; Research and Analysis Wing RAW, R&AW ; JIC
Services secrets iraniens - Iran - République islamique d'Iran : Vezarat-e Ettelaat Va Amniat-e Keshwar, VEVAK

2 - SERVICES DE POLICE ETRANGERS :
Services de police internationale :
Interpol official site - International Criminal Police Organization - ICPO
Service de police européenne : Europol, regoupe des services de répression dans toute l'Europe. Europol coordonne plus de 12 000 enquêtes transfrontalières chaque année. Europol bénéficie de l'aide de Eurojust dans le cadre d'une Union européenne judiciaire, comprenant 27 procureurs et juges, afin d'améliorer la coordination des enquêtes et des poursuites d'infractions graves.
FBI — Federal Bureau of Investigation, service fédéral américain à la compétence renforcée pour agir partout dans le monde avec l'accord d'un gouvernement étranger.


 
 

SOS-Reporters : Liberté d'expression et liberté d'opinion sans frontière !

LIBERTE
D'EXPRESSION ET D'OPINION, DROITS :

Rappel des droits ( textes ) fondamentaux :

A -
"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"
- Article 19 de la
Déclaration universelle des droits de l'homme
Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.

B - "Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières."
- Article 11-1 de la "
Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne". 2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000.

C - "La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi."
- Article 11 de la
Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789.



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