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Genèse de l'Etat mandataire : Service des Renseignements et bandes armées en Syrie et au Liban dans les années 1920 de Jean-David Mizrahi
Les Identités meurtrières de Amin Maalouf
Enquête sur un massacre de Amnon Kapeliouk
De Beyrouth à Jénine : Témoignages de de soldats israéliens sur la guerre du Liban de Irit Gal, Ilana Hammerman, Catherine Neuve-Eglise (Traduction)
Kamal Joumblatt : Prophète et martyr d'un Liban déchiré de Igor Timofeev


 



LES ARCHIVES JUILLET 2007 DU LIBAN


Mardi 3 juillet 2007 : La société publique d'électricité "Electricité du Liban" (EDL) a démenti lundi 2 juillet 2007 les rumeurs selon lesquelles "une rupture de stock en mazout soit à l’origine du rationnement que subissent actuellement ses clients". Plusieurs régions subiraient jusqu'à 12 heures de coupures de courant. Selon EDL, ces coupures seraient dû aux fortes chaleurs qui ont provoqué un augmentation par 4 de la consommation électrique du fait de l'utilisation de climatiseurs. EDL a également dénoncé des branchements illégaux sur les câbles publiques provoquant une pression supplémentaire. ** Dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat de l’ancien premier ministre Rafic Hariri le 14 février 2005, dans un attentat à la voiture piégée à Beyrouth qui avait fait 22 autres victimes, l’ancien responsable de la sûreté générale, le général Jamil Sayyed, a une nouvelle fois accusé le procureur de la République Saïd Mirza et le juge d’investigation Elias Eid "de transformer le système politique en instrument de détentions" et a dénoncé "les pressions politiques exercées sur les magistrats libanais". Jamil Sayyed s'est déclaré surpris d’être toujours en détention après que la commission d’enquête internationale ait déclaré à 5 reprises que l’arrestation des 4 généraux était de la responsabilité des autorités judiciaires libanaises et que "le devoir de Mirza et d’Eïd est d’établir la justice et de ne pas être sujet à toute influence politique". Arrêtés le 30 août 2005, Jamil Sayyed, ancien chef de la sécurité publique, Ali Haj, ancien directeur général des forces de sécurité intérieure, Raymond Azzar, ancien directeur général du renseignement militaire, et Mustafa Hamdan, commandant de la Garde présidentielle, avaient été inculpés jeudi 1er septembre 2005 de "eurtre par préméditation, tentative de meurtre par préméditation, perpétration d’actes terroristes et possession d’armes et d’explosifs". NDLR. Par l'intermédiaire de son avocat, l’ancien responsable de la sûreté générale, le général Jamil Sayyed, avait accusé, le 21 mars 2005, l’ancien responsable de la commission d’enquête internationale, Detlev Mehlis, d’avoir fabriqué de fausses preuves pour prouver l’implication de l’ancien responsable de la sûreté générale dans ce crime. Son avocat avait indiqué avoir envoyé une lettre au Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, selon laquelle son client serait un prisonnier politique en raison d’une application erronée de la résolution 1559 (2004) du Conseil de Sécurité de l'ONU. Il déclarait également que le procureur de la République Saïd Mirza et le juge d’instruction Elias Eid ont été victimes de pressions politiques au sujet de l’enquête sur l’assassinat de l’ancien premier ministre libanais, Rafic Hariri, pour le garder en prison. Il note également que dans son dernier rapport, le juge belge Serge Brammetz, dirigeant actuellement la commission d’enquête dans l’affaire Rafic Hariri, n’a pas fait état de l’implication de son client dans l’enquête en cours. Source : Libnanews. Plus de détails : Le premier rapport de la Commission Detlev Mehlis sur l’assassinat de Rafic Hariri en date du 20 octobre 2005

Vendredi 6 juillet 2007 : L'armée a procédé à de nouveaux bombardements du camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared dans le nord du pays "à présent détruit à près de 80 %" selon un responsable du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), Samir al-Libbani, et où sont retranchés depuis le 20 mai 2007 des combattants du mouvement Fatah Al-Islam. Plusieurs centaines de réfugiés palestiniens sont menacés d'une pénurie d'eau et de vivres.

Mardi 10 juillet 2007 : L'armée a bombardé lundi 9 juillet 2007 par 2 fois le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared, dans le nord du Liban, où sont retranchés depuis le 20 mai 2007 des combattants du Fatah al-Islam. Près de 400 réfugiés sur les 40 000 qui habitaient le camp sont restés vivant dans des conditions misérables du fait du manque d'eau et de vivres.

Mercredi 11 juillet 2007 : Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a publié mardi 10 juillet 2007 son quatrième rapport sur l'application de la résolution 1701 (2006) du Conseil de sécurité de l'ONU qui avait mis fin provisoirement au conflit entre le Hezbollah et Israël. Le document souligne les tensions actuelles dans le pays et le trafic d'armes, jugé préoccupant. et regrette qu'alors "que nous approchons de la date marquant le début des hostilités en 2006, il y a presque un an, que nous ne soyons pas parvenus à établir un cessez-le-feu permanent entre Israël et le Liban". Il déplore "qu'aucun autre progrès n'ait été fait vers la libération des soldats israéliens enlevés, ni sur d'autres questions telles que les violations de l'espace aérien libanais par Israël". Ban Ki-Moon a également appelé "le Liban, Israël et les Etats jouant un rôle clef, la République arabe syrienne et la République islamique d'Iran, ainsi que la communauté internationale, pour qu'ils contribuent à la mise en oeuvre de tous les aspects de la résolution 1701". Le secrétaire général de l'ONU s'est dit consterné "qu'Israël n'ait toujours pas fourni de renseignements détaillés sur l'emplacement, la quantité et le type de bombes à sous-munitions utilisées pendant le conflit qui a éclaté au cours du deuxième trimestre de 2006", indiquant que "la communication à la FINUL d'informations à ce sujet serait très utile pour le Centre de coordination de l'action antimines des Nations Unies qui s'efforce de neutraliser les bombes à sous-munitions non explosées, dont le nombre est estimé à 1 million". Lire notre édition du 31 août 2006. Ban Ki-Moon précise : "En dépit des progrès accomplis par les Forces armées libanaises, les organismes des Nations Unies et les équipes financées sur une base bilatérale, il faudra attendre jusqu'en 2008 pour décontaminer les 36,6 millions de mètres carrés sur lesquels sont disséminées des bombes à sous-munitions" et souligne que "ce type de bombe continue de tuer et de blesser des personnes parmi la population civile libanaise, sans parler des pertes enregistrées dans la production agricole dans les régions touchées, ce qui ne fait qu'exacerber l'antagonisme de la population locale à l'égard d'Israël". La guerre lancée par Israël contre le Sud Liban du 12 juillet au 14 août 2006 a causé la mort de 1 000 Libanais et en a blessé plus de 3 500 autres. 900 000 Libanais ont été déplacés, dont 220 000 ont quitté le pays.

Jeudi 12 juillet 2007 : Plusieurs dizaines de réfugiés palestiniens accompagnés de 150 combattants de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) ont quitté le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared mercredi 11 juillet 2007 alors que l'armée libanaise poursuivait ses bombardements sur le camp. Selon une source palestinienne, cette évacuation pourrait laisser présager une intervention de l'armée contre les islamistes du Fatah al-Islam, retranchés à Nahr al-Bared. Ce mouvement sunnite, qui reconnaît des liens idéologiques avec Al-Qaïda, est accusé par les autorités libanaises d’être un outil des services de renseignement syriens pour tenter de déstabiliser le Liban.

Vendredi 13 juillet 2007 : Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) a indiqué jeudi 12 juillet 2007 dans un communiqué "qu'un an après le conflit de 2006 le Liban est en reconstruction mais chez les enfants, les séquelles émotionnelles subsistent, une constante instabilité rend le rétablissement plus difficile et les menaces à la sécurité - notamment les attentats à la bombe et la crise dans les camps de réfugiés palestiniens dans le nord du pays. D'après les statistiques du Gouvernement du Liban, la guerre allait faire plus de 1 100 morts, plus de 4 000 blessés, et obliger 900 000 personnes à fuir leurs foyers dans le sud du pays. On estime qu'un tiers des personnes touchées par le conflit étaient des enfants. L'UNICEF juge important de rappeler que "les enfants souffrent des séquelles invisibles de la guerre. Le rétablissement émotionnel prend bien plus de temps que la reconstruction d'un pont et, dans un pays en situation de crises chroniques, ce processus va prendre du temps. Des milliers d'enfants ont été affectés par la crise et l'UNICEF, en partenariat avec la Croix-Rouge libanaise, est rapidement intervenu pour aider les familles piégées dans le sud du pays ainsi que celles qui avaient réussi à fuir leurs villages. La priorité était de garder les enfants en bonne santé, en leur donnant de l'eau potable, des trousses sanitaires et d'hygiène et des médicaments pédiatriques essentiels et en assurant leur vaccination contre la rougeole et la polio". ONU/FERMES DE CHEBAA : L'ONU a transmis à Israël les conclusions de ses cartographes qui certifient que les fermes de Chebaa, contrairement à la thèse qu'elle soutenait auparavant, étaient bien libanaises. D'après le quotidien Haaretz, l’ONU aurait proposé à Israël de transformer le secteur en zone internationale, sous contrôle de la FINUL, une proposition rejetée par le premier ministre Ehud Olmert et la ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni. Israël occupe les Fermes de Chebaa depuis la guerre israélo-arabe de 1967 et soutient qu'il s'agit d'un territoire syrien, qui ne pourrait être restitué que dans le cadre d'un éventuel règlement de la question du Golan. Israël occupe ce secteur de 25 km2 depuis la guerre d'octobre 1973 durant laquelle l'Etat hébreu a conquis puis annexé le plateau syrien du Golan.

Samedi 14 juillet 2007 : A l'occasion du premier anniversaire de la guerre déclenchée par Israël au Liban sud, le 12 juillet 2007, l'organisation de défense des droits de l'homme, Amnesty International, a rendu public, jeudi 12 juillet 2007, un rapport qui condamne l'absence complète de toute mesure dans les deux pays concernés, ou à l'échelle internationale, pour poursuivre les responsables de crimes de guerre et autres graves violations des droits humains commises lors du conflit, de 34 jours, du 12 juillet au 14 août 2006. Amnesty International appelle l'ONU "à établir une enquête exhaustive, impartiale et indépendante, dotée du pouvoir d'enquêter sur les éléments attestant de violations du droit international par le Hezbollah et Israël, en prenant des dispositions pour octroyer des réparations aux victimes. Cependant, la communauté internationale n'a pas montré la volonté politique de prendre les mesures nécessaires pour ouvrir cette enquête". L'ONG poursuit : "En Israël, l'enquête sur le comportement des forces israéliennes pendant la guerre s'est limitée à la stratégie militaire, sans se pencher sur les violations du droit international humanitaire, notamment les crimes de guerre commis par les forces israéliennes, ni établir un mécanisme pour traduire en justice les responsables de ces violations. Au Liban, aucune enquête officielle n'a été menée. Une enquête lancée par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies n'a reçu qu'un mandat unilatéral, portant sur les seules violences commises par les forces israéliennes". Selon Amnesty, plus de 1 000 civils ont été tués lors de cette guerre. Depuis la fin des combats, 24 autres personnes ont péri au Sud-Liban dans des explosions dues aux munitions à fragmentation. Amnesty exige d'Israël qu'il fournisse les cartes des zones visées par les bombes à fragmentation au Sud-Liban, et du Hezbollah qu'il donne des informations sur les 2 soldats israéliens dont la capture avait déclenché la guerre. Répondant à ces critiques, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Mark Regev, a assuré que "le système judiciaire israélien est indépendant, professionnel et transparent". ** L'armée a bombardé de nouveau vendredi 13 juillet 2007 le camp de réfugiés palestiniens de Nahr Al-Bared, dans le nord du Liban, où de violents échanges de tirs l'ont opposée à des combattants du Fatah al-Islam, retranchés dans ce camp depuis le 20 mai 2007. 11 soldats libanais ont été tués au cours de ces 2 jours de combats. Le camp, qui regroupait près de 40 000 réfugiés palestiniens, a été détruit à plus de 80 %. Selon des personnes évacuées, il resterait encore une centaine de civils à l'intérieur du camp.

Lundi 16 juillet 2007 : Pour la première fois depuis le début des affrontements entre des combattants du mouvement Fatah al-Islam, retranchés depuis le 20 mai 2007 dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al Bared, les troupes de l’armée libanaise sont entrés dans le camp, dimanche 15 juillet 2007. En 1969, un accord a été conclu entre les délégations libanaises et l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) réunies au Caire en Egypte, empêchant l’armée libanaise d’entrer dans les camps palestiniens. Au milieu des années 80, le parlement libanais a abrogé les accords du Caire. Ils restent appliqués par l’Etat libanais.

Mardi 17 juillet 2007 : L'armée libanaise poursuit son avancée à l'intérieur du camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared où sont retranchés depuis le 20 mai 2007 des combattants du mouvement Fatah al-Islam. 4 soldats libanais ont été tués durant l'assaut. ** Un engin a explosé lundi 16 juillet 2007 au passage d'un contingent tanzanien de la FINUL, Force intérimaire des Nations Unies au Liban, dans la localité de Kassmiyeh à proximité de Tyr au Sud Liban, ne faisant aucune victime. Un véhicule a été légèrement endommagé.

Vendredi 20 juillet 2007 : L’armée libanaise poursuit son opération contre les miliciens du Fatah al-Islam, dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr-al-Bared. Selon un porte-parole, les militaires traquent les derniers résistants dans un carré de 300 mètres.

Lundi 23 juillet 2007: Les offensives menées par l'armée pour tenter de faire sortir les combattants du parti Fatah al-Islam du camp de réfugiés palestinien de Nahr al-Bared se sont poursuivis dimanche 22 juillet 2007. 3 soldats libanais ont été tués et 5 autres blessés lors d'échanges de tirs.

Mardi 24 juillet 2007 : Dans une interview diffusée par la chaîne satellitaire qatariote Al Jazeera lundi 23 juillet 2007, le secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah a annoncé que son parti était capable de bombarder n’importe quelle zone israélienne. Il a également indiqué qu'il ne donnerait des informations sur les 2 soldats israéliens enlevés le 12 juillet 2006 par le mouvement chiite libanais que dans le cadre de négociations sur un échange de prisonniers. ONU : Dans un courrier transmis au premier ministre néerlandais, Jan Peter Balkenende, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a demandé aux Pays-Bas d'accueillir sur son sol le tribunal international chargé de juger les assassins présumés de l'ancien premier ministre libanais Rafik Hariri. Dans un rapport intermédiaire publié le 12 juillet 2007, Serge Brammertz, chef de la Commission d'enquête internationale indépendante sur les attentats commis au Liban, avait indiqué que les enquêteurs de l'ONU avait identifié plusieurs personnes impliquées dans l'assassinat de Rafik Hariri.

Jeudi 26 juillet 2007 : L'armée a repris le pilonnage mercredi 25 juillet 2007 du camp de réfugiés palestiniens de Nahr Al-Bared au nord Liban afin d'y déloger les derniers bastions de résistance des combattants du Fatah al-Islam retranchés dans le camp depuis le 20 mai 2007. ** Un soldat français de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), âgé de 39 ans, a été tué mercredi 25 juillet 2007 dans une opération de déminage dans la région de Naqoura dans le sud du Liban.

Vendredi 27 juillet 2007 : Le ministre français des Affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner, effectuera une visite au Liban du 27 au 29 juillet 2007, qui fait suite à la rencontre entre les dirigeants libanais et les chefs des 14 formations politiques, dont le Hezbollah, pourtant qualifié d'organisation terroriste par le président Nicolas Sarkozy, à La Celle Saint-Cloud en région parisienne, les 14 et 15 juillet 2007. Bernard Kouchner sera reçu par le premier ministre, Fouad Siniora, et rencontrera les responsables des diverses forces politiques libanaises, afin de poursuivre les discussions engagées en France sur la reprise d'un dialogue autour de l'échéance de la prochaine élection présidentielle et de la constitution éventuelle d'un gouvernement d'union nationale. Il aura des contacts avec la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) et rendra hommage au soldat français membre de cette force tué le 25 juillet 2007. Il achèvera sa visite par une conférence de presse. Le ministre français se rendra ensuite en Egypte au Caire pour des entretiens avec les ministres égyptien et saoudien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul Gheit, et le prince Saud al-Fayçal, ainsi qu'avec le Secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa.

Samedi 28 juillet 2007 : Le porte parole du Département d’Etat américain, Sean McCormack, a annoncé vendredi 27 juillet 2007 que le projet de construction d’une nouvelle ambassade américaine dans la région de Baabda à proximité de la banlieue sud de Beyrouth a été suspendu, indiquant que "le nouvel emplacement serait une cible facile pour le Hezbollah". 22 millions de dollars avaient été débloqués pour financer ce projet de déménagement vers un nouveau siège dans la localité de Baabda. ** 2 soldats libanais ont été tués dans la nuit de jeudi 26 à vendredi 27 juillet 2007 dans des combats avec les combattants du Fatah al Islam, retranchés dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared dans le nord du pays, portant à 122 le nombre de soldats libanais tués depuis le début des affrontements. 85 islamistes et 41 civils ont été également tués lors de ces combats.

Lundi 30 juillet 2007 : Les combats se poursuivaient dimanche 29 juillet 2007 dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr Al-Bared dans le nord du Liban entre l'armée et un groupe de combattants du mouvement Fatah al-Islam, retranchés dans le camp depuis le 20 mai 2007. Un soldat libanais a été tué au cours de ces combats.



 
 
 

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