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François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, rattrapé par le scandale DEXIA !

François Rebsamen DEXIA
François Rebsamen, DEXIA CREDIT LOCAL FRANCE, Dijon, Bourgogne, France, Europe
François Rebsamen ex-administrateur de DEXIA Crédit local de France
Administrateur à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine
Président du Conseil d'administration du Crédit Municipal
Sous-préfet hors cadre, conseiller territorial
Président du Grand Dijon
Sénateur de Côte d'Or,
Maire de Dijon
Associé SCI

François Rebsamen, Franc-maçon du GODF à Dijon
François Rebsamen
ancien trotskiste de la LCR


Source quotidien international francophone
Fil-info-France du samedi 28 mai 2011

indignés de Wall Street - Occuper Wall StreetBELGIQUE - DEXIA - CRISE - 9,5 milliards de dollars d'actifs toxiques liés à l'immobilier américain et une commission d'enquête parlementaire à l'Assemblée nationale : Mis en demeure par la Commission européenne de céder ses actifs pour éviter la faillite, le groupe franco-belge Dexia vient d'annoncer que l'accélération de son programme de cessions d'actifs aurait un impact négatif de 3,6 milliards d'euros au deuxième trimestre 2011. "Le titre bondit de plus de 8 %" en bourse, annonce le quotidien économique "Les Echos". C'est en pleine crise financière que François Rebsamen (photo), alors numéro 2 du Parti socialiste, administrateur Dexia Crédit Local, filiale à 100 % de Dexia, "quittait le navire" épinglé par le Canard enchaîné qui révélait un bonus annuel de 20 000,00 euros soit 44 fois le revenu minimum d'insertion. Mais si l'administrateur François Rebsamen, accusé d'avoir "joué avec l'argent du contribuable" dans le plus grand secret, a quitté Dexia Crédit Local, les collectivités ont dû faire face à des emprunts spéculatifs à taux variables, qualifiés de "toxiques", anéantissant des projets entiers de collèges, de lycées ou autres établissements publics. Certains élus de tous bords politiques avaient même parlé "d'arnaques". Ainsi, Claude Bartolone, président du Conseil général de Seine-Saint-Denis, déclarait en août 2009 : "Qui pouvait croire Dexia capable de se livrer à une véritable arnaque des collectivités locales et, de ce fait, des contribuables français ?". Au Parti socialiste, le nom de François Rebsamen revient toujours, et contrairement à ce qu'affirme le sénateur-maire et président du Grand Dijon, il a bien été administrateur de Dexia Crédit Local dès 2001, menaçant de "poursuites judiciaires" le directeur de publication du quotidien international francophone Fil-info-France si le retrait de cette information n'intervenait pas en juin 2006 (bien lire année deux mille six). Et Claude Bartolone d'ajouter alors : "L’argument de Dexia selon lequel ces crédits ont permis aux collectivités locales de faire des économies très importantes est un mensonge. Bien entendu, il y a un gain à court terme, mais les analyses auxquelles nous avons procédé, comme les propositions des banques pour se débarrasser de ces produits toxiques depuis le printemps, convergent vers un surcoût de l’ordre de 30 % minimum", avait-il confirmé à l'AFP en août 2009. Mercredi 25 mai 2011, Claude Bartolone, député, a déposé à l’Assemblée nationale une proposition de résolution visant à créer une commission d’enquête sur les emprunts et produits financiers dits "toxiques" contractés ces dernières années auprès des banques par de nombreuses collectivités territoriales. Claude Bartolone écrit sur son blog : "Depuis des mois, je demande en effet que la lumière soit faite sur ces prêts dont beaucoup d’élus locaux dénoncent aujourd’hui les dangers pour les comptes publics. Le Parlement, garant de l’amélioration de l’équilibre des finances publiques, doit jouer tout son rôle pour comprendre comment nous en sommes arrivés à cette situation". Ajoutant : "Cosignée par l’ensemble de mes collègues du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche (SRC), cette proposition de résolution a été examinée aujourd’hui par la Commission des finances de l’Assemblée nationale, compétente en matière de finances locales et de produits bancaires. Les députés membres de cette commission ont considéré que les conditions requises pour la création de cette commission d’enquête étaient réunies et qu’elle était opportune". Conformément à la demande formulée par le groupe SRC, cette proposition de résolution sera ensuite débattue le 8 juin 2011 en séance publique à l'Assemblée nationale.

François Rebsamen soutient Guérini !

François Rebsamen et les 65 millions d’euros du Crédit municipal de Dijon


Source quotidien international francophone
Fil-info-France du samedi 28 mai 2011

François Rebsamen, Crédit municipal de Dijon, 65 millions d’eurosFrançois Rebsamen échoue contre les syndicats du "Crédit Municipal" de Dijon !
L'une des autres affaires bancaires très peu connues est celle du "Crédit municipal de Dijon". François Rebsamen est actuellement président du conseil d'administration de la banque et établissement public de crédit dénommé "Crédit municipal de Dijon". Etablissement public que François Rebsamen a tenté en 2010 de "filialiser à une banque privée", selon les syndicats FDT INTERCO, CFE CGC, UNSA, FO. Toujours selon ces syndicats, François Rebsamen, considéré par les médias locaux comme étant le "plus riche élu de Bourgogne" au titre des cumuls des mandats, a tenté en 2010 de "prélever, au profit de la seule commune de Dijon dont il est le maire, la quasi totalité des fonds propres de l’Etablissement s’élevant à environ 65 millions d’euros". Une grève aurait mis fin au projet spéculatif du maire de Dijon. Rappelons qu'à titre personnel, quelques jours seulement après sa démission de Dexia Crédit Local,
François Rebsamen a créé à Dijon, une société civile immobilière, la SCI des roses inscrite au registre du commerce et des sociétés de Dijon sous le numéro D 509 304 283, en date du 8 décembre 2008. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France


Source quotidien international francophone
Fil-info-France jeudi 3 avril 2014

Le franco-suisse, François Rebsamen, nommé ministre du Travail dans le nouveau gouvernement de Manuel Vals Le Franco-Suisse, François Rebsamen, nommé ministre du Travail dans le nouveau gouvernement de Manuel Valls : Au lendemain du second tour des élections municipales et communautaires, désastreux pour les socialistes au pouvoir, François Hollande, président de la République, a annoncé le remplacement du Premier ministre démissionnaire Jean-Marc Ayrault par le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls. La composition du nouveau gouvernement de "combat" (sic) a été rendue publique le mercredi 2 avril 2014. Seul le Franco-Suisse, ex-co-directeur de campagne présidentielle de Ségolène Royal en 2007 et ancien administrateur de Dexia Crédit local de France, François Rebsamen, sénateur-maire et président du Grand Dijon, nommé ministre du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social, n'a jamais été ministre ou secrétaire d'Etat. Depuis plusieurs mois, et à l'approche de la campagne pour les élections municipales de mars 2014 à Dijon en Côte d'Or, où il a été réélu au second tour pour un troisième mandat, il n'a cessé de rappeler cette promesse aux Dijonnais : "Si la loi sur le non-cumul est votée, je choisirai Dijon" (sic). En fait, François Rebsamen, qui est également sénateur de Côte d'Or, réside à Paris depuis 2011, en raison de son élection à la présidence du groupe socialiste et apparentés au Sénat. Mais depuis des mois, François Rebsamen se prépare en coulisse à quitter définitivement Dijon. C'est pourquoi il a préparé son premier adjoint, Alain Millot, à sa succession. Ce dernier a été gratifié en janvier 2012 de la médaille de l'Ordre du mérite national. En raison de la loi limitant le cumul des mandats, qui a été adoptée et repoussée grâce au lobbying intensif de François Rebsamen, celui qui a conduit la liste "Dijon avec vous !", a, une fois réélu dimanche 30 mars 2014, choisi... Paris. Sans cette réélection locale à Dijon, il aurait été définitivement écarté d'une carrière ministérielle à Paris. Pourtant devant la presse parlementaire, précisément le 12 juin 2013, François Rebsamen avait très exactement déclaré : "Je serai candidat au renouvellement de mon mandat de maire de plein exercice" (sic). Sous son mandat, à Dijon, plus particulièrement depuis 2006, soit vers la fin de son premier mandat qui a débuté en 2001, aidé par son jeune ami socialiste Laurent Grandguillaume, héritier de son mandat de conseiller général avant de devenir député et maire-adjoint de Dijon, François Rebsamen s'est spécialisé dans la censure d'informations dites diffamatoires, comme en témoigne les nombreuses copies d'écran réalisées par SOS-Reporters.org. Certes, cette censure est devenue très peu visible sur Internet, sauf à taper ces mots clés " francois rebsamen ennemi d'internet ", mais depuis 2005 et jusqu'à ce mois d'avril 2014, François Rebsamen use et abuse sur le Web, de la fameuse loi LEN dite pour "la confiance dans l'Economie numérique" à l'origine de ces mentions : " En réponse à une demande légale, nous avons retiré 15 résultat (s) de cette page " sur Google ou " Certains résultats ont été supprimés " sur Bing (Microsoft). Pour dissimuler quoi ? Laissons donc le mot de la fin, à une femme socialiste de renom en Bourgogne, parité oblige, ancienne première secrétaire fédérale du Parti socialiste de la Côte-d'Or, qui a déclaré en 2001 : "François Rebsamen est éminemment sympathique, mais il est opportuniste. Il conclut des alliances en fonction de sa carrière. Moi qui me moque des postes, je ne comprends pas qu'on puisse faire de la politique en ne défendant pas ses convictions". Blogger, webmaster : Copyright et conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France, quotidien international pourquoi ?



Source quotidien international francophone
Fil info France mercredi 23 avril 2014

François Rebsamen, nouveau ministre du Travail, a menti sur le passé de collaborateur du régime nazi de son père : Après l'affaire Cahuzac, le président de la République François Hollande, avait fait la promesse aux Français, d'être "encore plus intransigeant à l'avenir" sur les mensonges de ses ministres. Si le mensonge de Jérôme Cahuzac reste "un outrage à la République", celui de François Rebsamen n'est-il pas un affront au "devoir de mémoire" ? "L'exemplarité des dirigeants sera totale, je m'y engage. C'est mon but", avait encore dit François Hollande. Or, François Rebsamen, nouveau ministre du Travail, a bien menti sur le passé de collaborateur du régime nazi de son père. En effet, le passé nazi du père du nouveau ministre du Travail - le Franco-Suisse François Rebsamen - ressurgit dans l'encyclopédie Wikipedia avant d'être supprimé. L'article du défunt journal et prédécesseur du quotidien de Dijon, " Les Dépêches - Le Bien Public ", "La Bourgogne républicaine" datée du 9 août 1945, utilisée par la Résistance pour retrouver les collaborateurs nazis, est diffusé sur le Web. Or, après son élection à la mairie de Dijon en 2001 (Côte d'Or, Bourgogne), François Rebsamen, aujourd'hui ministre du Travail, avait été interviewé par l'hebdomadaire "L'Express". Début de citation : "Votre père a-t-il été collaborateur ? Non. C'est une rumeur que fait courir la droite à Dijon depuis que j'y suis candidat. Il se trouve que la famille de mon père est originaire d'Alsace, de la région de Mulhouse-Bâle, précisément. Pendant la Seconde Guerre mondiale, mon père, pour ne pas être enrôlé dans l'armée allemande, a choisi de prendre la nationalité suisse. C'est tout." Il aura donc fallu attendre cette nomination pour connaître la vérité sans qu'elle ne puisse aujourd'hui encore, figurer dans l'encyclopédie Wikipedia. "La Bourgogne républicaine" daté du 9 août 1945, apporte donc cette preuve : “Eric Rebsamen est né à Stuttgart le 9 janvier 1917, mais il est de nationalité suisse. Inculpé d'atteinte à la sécurité extérieure de l'Etat, il est actuellement en fuite. Arrivé à Dijon en novembre 1939, il a été interprète et chef d'atelier au garage Renault jusqu'en novembre 1943, date à laquelle il part pour Paris. Il aurait rejoint la Suisse. Le voici, photographié en tenue d'officier allemand. Tous renseignements utiles sur son activité au cours de l'occupation peuvent être adressés à M. Geoffroy de la Mothe, juge d'instruction, Cour de justice, cabinet n°5, Dijon." Si prompt à dénoncer à juste titre tout ce qui touche au mensonge lié au nazisme et à la politique, le CRIF, Conseil Représentatif des Institutions Juives de France, n'a toujours pas réagi aux révélations parues dans la presse juive en ligne, dont le forum J, liées aux fausses déclarations du nouveau ministre du Travail. Plus de détails : Blogger, webmaster : Copyright et conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France, quotidien international pourquoi ?



Lien permanet :
http://www.fil-info-france.com/francois,rebsamen,dexia.htm


Sortez de l'anonymat, correspondants de presse, Fil-info-France


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François Rebsamen, censure Google
François Rebsamen, ex-administrateur de DEXIA, rattrapé par le scandale à Dijon !
François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, rattrapé par le scandale des emprunts toxiques DEXIA !
Francois Rebsamen interdit à Dijon l'University Summit 2011 !
Sommet mondial des universites de Dijon annulé par Francois Rebsamen !
François Rebsamen soutient Jean-Noël Guérini à Marseille !
Jean-Noël Guérini, alors secrétaire du Sénat, inculpé d'association de malfaiteurs, trafic d'influence et prise illégale d'intérêt !
Banalisation du racisme sur Internet par un élu de la République !
Dans les colonnes du quotidien "Le Monde" daté du samedi 20 février 2010, François Rebsamen déclarait "nous ne perdrons pas notre âme" en soutenant George Frêche".
Dieudonné en Libye



Dieudonné récidive à Paris !
"L'antisémite, première comédie populaire sur l'Holocauste" en tournage selon le site officiel de Dieudonné !
L'ex-maîtresse noire de Dominique Strauss-Khan parle !




DSK, une ex-maîtresse noire parle :
Une ex-maîtresse noire de Dominique Strauss-Khan parle de son amant, de son avortement et de sa tentative de suicide
Les indignés de Tel Aviv :
Les indignés israéliens dénoncent la spéculation immobilière, la vie chère et l'injustice sociale !
Une vingtaine de familles juives contrôlent des cartels ou des conglomérats qui génèrent à eux seuls près de 50 % du PIB de l'Etat d'Israël.
Stéphane Hessel indignez-vous !
Stéphane Hessel interdit de réunion par le CRIF !
(Colloque annulé) à l'Ecole normale supérieure de Paris
Nicolas Sarkozy, président de la République
Nicolas Sarkozy épinglé par WIKILEAKS -
Sarkozy "viscéralement pro-américain et pro-israélien


information LIVRES :
La République du fric
Le 6 septembre 1793, l'an II de la République française, la Convention nationale décrète que " tout fonctionnaire public sera tenu de rendre compte de sa fortune, et que tous ceux qui ne pourront pas en justifier l'augmentation par des voies licites, en seront privés et punis ". Les Français d'aujourd'hui accepteraient-ils une loi aussi draconienne ? Mais approuvent-ils pour autant notre République du fric et ses mœurs corrompues main basse sur les marchés publics, blanchiment d'argent sur la Côte d'Azur, magistrats bafoués et criminalité organisée... Connaissent-ils vraiment les dessous de l'affaire Elf, où politique, fonds secrets, sexe, armement, détournements en tout genre se mélangent allégrement ? Savent-ils que le financement des partis politiques est truqué, que les " petits porteurs " ont vu leur épargne dilapidée par certaines banques et que le lobby militaro-industriel continue de les ruiner ? Ont-ils conscience du fonctionnement démentiel de nos chambres de commerce qui pousse un peu plus dans la tombe les entreprises en péril...



 

SOS-Reporters : Liberté d'expression et liberté d'opinion sans frontière !

LIBERTE
D'EXPRESSION ET D'OPINION, DROITS :

Rappel des droits ( textes ) fondamentaux :

A -
"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"
- Article 19 de la
Déclaration universelle des droits de l'homme
Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.

B - "Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières."
- Article 11-1 de la "
Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne". 2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000.

C - "La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi."
- Article 11 de la
Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789.

 


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